- France
- Koh-Lanta
- J12
Les notes de l’épisode 12 de Koh-Lanta
Qui a dit que le but en or n’existait plus ? Victorieux à l’immunité, alors que sa tête était mise à pris, Brice a fait le taf pendant que Loïc, Lola, Dorian et Alexandra ont mangé tellement de chocolat qu’ils ont confondu les Fidji avec l’île de Pâques. Pour Fab, ce n’est qu’un au revoir. Tu vas nous manquer, cœur pur.
Dorian
C’est assez fou d’être resté 34 jours non-stop sur le même camp et de ne toujours rien capter à ce qu’il s’y passe. En tout cas, le Tanguy de l’aventure a enfin quitté son île. Comme un candidat à une élection, il a serré des paluches et cassé la graine sur chaque stand du marché.
4503 note(s)
Lola
Quatre conforts à la suite. De quoi confondre Denis Brogniart avec Julien Lepers. Globalement, depuis la réunification, Lola mange mieux que vous à la maison et en plus, elle ne fait ni les courses ni la bouffe. Patronne autoproclamée de la stratégie lors de ce douzième épisode, elle a décidé de casser les codes de l’émission. Du coup, elle casse parfois autre chose.
4723 note(s)
Angélique
Il s’en passe des choses injustes dans le monde. Mais Angélique quasiment assurée d’aller à l’orientation, c’est dans le top 10. Si Lola était une rappeuse à succès, Angélique serait cette pote du quartier qui se définit comme sa « manager », alors qu’elle traîne simplement dans ses pattes toute la journée pour gratter une paire de Nike gratuite et une bouteille de champagne en boîte. Faux poto.
4955 note(s)
Alexandra
Une matinée à faire des puzzles. Un repas du midi à se faire péter le bide. Des papouilles et une sieste pour digérer. Voilà un épisode qui ressemblait à une journée à la crèche pour Alexandra, quatre ans et demi, et « déjà très en avance pour son âge ».
4780 note(s)
Loïc
À l’époque dorée de la télé-réalité, son single « Frère Jacques ft Fidjian cocoa » serait déjà dans les bacs. Comme toutes les deux semaines, il a profité de l’aventure pour s’adonner à l’une de ses deux passions. Et vu il ne pouvait rien porter, il s’est rabattu sur la nourriture. Son envie de kebab est à retenir pour la production en vue des futurs conforts. Seulement si on a le droit d’appeler Denis « chef ».
4774 note(s)
Fabrice
« J’espère que le Nord sera fier de moi. » Il n’y pas d’inquiétude à avoir, c’est toute la France qui est fière, bordel. Le cœur sur la main, les mains dans le cambouis, Fabulous Fab est une formidable raison de croire encore en l’être humain. Mais quelle idée de ne pas sortir la glorieuse chemise sur une épreuve aussi importante ?
4804 note(s)
Ava
Si Seb n’était pas parti manger ses saucissons, il lui aurait fabriqué un collier de l’immunité plus vrai que le vrai. Écolo, elle a profité de ses derniers jours dans le Pacifique pour faire remonter le niveau de l’Océan à coups de grandes larmes. À ses détracteurs qui pensent qu’elle ne mérite pas la moyenne après son élimination : elle a quand même attendu le 34e jour de l’aventure pour perdre la partie de cache-cache contre les caméras de la production. C’est ce qu’on appelle une battante.
4561 note(s)
Brice
Il « prend perpette si la brigade du kiff passe ». Il aurait surtout risqué la peine capitale si la police des expressions ringardes avaient eu son visa pour les Fidji. Clutchsur l’épreuve d’immunité, il y a sauvé sa tête en patron. Pas sa cote de popularité.
4615 note(s)
Denis Brogniart
Comme Brice, Denis termine l’émission tout heureux que la police des expressions ringardes soit coincée en France à cause du coronavirus. Tout M. Brogniart qu’il soit, le « ptet’ ben que oui, ptet’ ben que non », c’est surtout « non ».
3780 note(s)
Hadja
Il y a les Marseillais qui descendent sur le Vieux-Port pour célébrer les défaites du PSG en Ligue des champions, et il y a Hadja qui descend sur la Vieille Plage pour célébrer l’élimination d’Alix à Koh-Lanta.
4079 note(s)
Joaquína
Satanas a Diabolo pour lui tenir compagnie, Hadja a Joaquína. Et elle est moins sympa.
3734 note(s)
Donner une note
-
⇞ou⇟
Passer d'un joueur à l'autre. -
←→↓↑
Choisir une note. -
Enter
Valider la note. -
Echap
Fermer le clavier.
Par Swann Borsellino et Kevin Charnay
