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Le vice-président de la fondation Barça démissionne après ses propos sur Rafael Nadal
Une drôle de manière de dire que l’on préfère Federer.
Indépendantiste catalan déclaré, Alfons Godall a sûrement dépassé les bornes après la victoire de Rafael Nadal lors de l’Open d’Australie ce dimanche. Le désormais ex-vice-président de la fondation Barça avait qualifié le tennisman majorquin de représentant de « l’État ennemi ». Visiblement déçu de la victoire de l’Espagnol face à Daniil Medvedev, Godall avait affiché son aigreur sans oublier de tirer sur les symboles espagnols. « Rafael Noël(Nadal signifie Noël en catalan, NDLR) me répugne depuis le premier jour. Je le mets dans le même sac que la Roja, le Real Madrid, Fernando Alonso et tout ce qui représente l’État ennemi. »
Dans la nuit de mercredi à ce jeudi, Alfons Godall avait annoncé avoir démissionné de son poste de la fondation Barça, qui œuvre pour l’inclusion grâce au sport. Sans remord apparent, il dénonçait ensuite les pressions qu’il a pu subir après son ultime dérapage. « Le tweet où j’exprime mon opinion sur une célébrité et son profil peut porter atteinte à la Fondation Barça, de par les pressions exercées par certaines entreprises et certains médias. »
La définition de mourir avec ses idées.
NDS