- Boutique So Foot
La collection de tirages photo So Foot d’avril 2022 est arrivée !
En collaboration avec l’agence photographique Icon Sport, So Foot vous propose, chaque mois, une sélection renouvelée de photographies exclusives de football en édition ultra limitée, onze tirages par taille, sur la nouvelle boutique maison boutique.so. Au mois d'avril, la chasse aux tirages est ouverte. Avec quatre nouvelles pièces à notre collection : du Ronaldo à l'Inter en 1999, du Ronaldinho contre l'OM au Vélodrome en 2003, l'inamovible Diego Armando Maradona au Mondial 1986 contre l’Allemagne de l’Ouest et l'Anglais Paul Mariner derrière un policier espagnol.
#1 - Célébration de Ronaldo, 1999
Juste en revoyant cette célébration, les bras écartés, on a tout de suite en tête tous ces moments de génie que Ronaldo Luiz Nazario Da Lima, Ronaldo, R9, Gronaldo, a pu nous offrir. C’est en 1997, après le PSV et le Barça, que celui que beaucoup considèrent comme le meilleur attaquant de l’histoire de ce sport rejoint l’Inter Milan et le championnat italien, réputé comme étant le plus dur au monde. Résultat ? Après seulement une saison, il obtient un nouveau surnom « O Fenomeno » . Et même si le club nerrazurri marquera le début des blessures pour ce talent brut, il va continuer à nous offrir des moments de football dingues, avec le Real Madrid, l’AC Milan ou la Seleção. Alors, voici pour vous une photo qui transpire le talent et le génie lors de cette célébration de son but contre Piacenza en 1999, son premier cette saison-là.
Photo limitée à 11 exemplaires par taille
#2 - Course de Ronaldinho face à l'OM, 2003
« Les grands joueurs sont toujours là dans les grands matchs. » Pour les fins connaisseurs et fines connaisseuses de football que vous êtes, on ne doute pas que Ronaldinho est un des premiers à venir en tête. En effet, le numéro 10 brésilien a toujours su briller dans les rencontres prestigieuses, et ce, dès son plus jeune âge. Pour son arrivée en Europe au PSG, Ronaldo Assis De Moreira donne le ton en marquant les esprits lors des « classiques » à la française contre l’Olympique de Marseille. Et particulièrement lors de cette saison 2002-2003. Au match aller, « Ronnie » y était déjà aller de son doublé. Mais il gardait le meilleur pour le match retour au Vélodrome. En ce 9 mars 2003 et malgré une ambiance hostile, Ronnie va faire de cette deuxième mi-temps un récital. Une interception d’une passe de Frank Lebœuf, une course de folie sur toute la moitié de terrain marseillaise et un petit piqué extérieur du droit sur Runje. 2 à 0 pour Paris à la 55e minute. Mais le magicien en veut toujours plus. En fin de match, il repart dans une nouvelle percée depuis son camp, résiste physiquement à Brahim Hemdani, élimine Runje, crochète Hemdani qui, 19 ans après, doit toujours essayer de retrouver l’équilibre. Il conclut avec une frappe toute douce, si douce que Jérôme Leroy a le temps de venir pousser la balle au fond des filets. Score final, 3-0. Le Vélodrome ne s’y est pas trompé et l’a même applaudi ce jour-là.
Photo limitée à 11 exemplaires par taille
#3 - Maradona face à l'Allemagne, 1986
Rarement joueur aura donné cette impression de porter son équipe nationale durant une Coupe du monde. Diego Armando Maradona a toujours été prédestiné à accomplir des grandes choses. Après l’échec de sa première Coupe du monde en Espagne, Diego arrive à Mexico en 1986 pour accomplir son destin. L’Albiceleste arrive à sortir des phases de poules sans trop de difficulté, ce qui fait office d’échauffement pour le numéro 10 argentin avec un seul petit but contre les Italiens. Maradona se réveille pour la phase à élimination directe, avec en point d’orgue, cette performance inoubliable en quarts de finale contre les Anglais. Deux buts : un de la main et l’autre considéré comme le plus beau but de l’histoire. Un nouveau doublé en demies contre les Belges, puis se présente l’Allemagne de l’Ouest en finale. Après un combat de tous les instants, comme en atteste ce cliché de Diego dans les airs après un tampon avec Harald Schumacher + le défenseur Forster, et un match au scénario fou avec une domination argentine (2-0 à la 56e) et un retour des Allemands (2-2 à la 81e), Burruchaga marque le troisième but en fin de match (84e) sur une passe décisive géniale du numéro 10. Quand on vous disait que c’était « sa » Coupe du monde…
Photo limitée à 11 exemplaires par taille
#4 - Paul Mariner et le policier espagnol, 1982
On remonte quatre ans en arrière pour cette dernière photo. La Coupe du monde 1982 organisée en Espagne est sans doute, pour nous Français, l’une des plus marquantes. La chaleur, l’Italie, Séville, la nuit, Schumacher. Et même si cette demi-finale reste sans doute l’un des moments les plus douloureux de notre histoire sportive, ce Mundial marque le début d’une nouvelle ère pour le football tricolore. Pourtant, rien ne laissait présager un tel parcours de nos Bleus, surtout après le premier match contre l’Angleterre. En ce 17 juin 1982, l’équipe de France va subir une correction avec une ouverture du score de Robson dès la première minute de jeu. Malgré tout, on devine déjà un état d’esprit de guerrier avec l’égalisation de Soler. Mais les Three Lions finissent par trouver la faille, encore une fois grâce à Robson (67e) et avec un dernier but de Paul Mariner (83e). Justement, on retrouve notre buteur sur ce cliché inattendu d’un agent de la police espagnole qui essaye de retrouver le ballon dans les chaudes tribunes de San Mamés pour que l’ancien attaquant d’Arsenal puisse tirer son corner. Pleine d’anecdotes, cette Coupe du monde.
Photo limitée à 11 exemplaires par taille