Sebastien Squillaci

Sébastien Squillaci nous avait accordé 4 heures de son temps, en fin de saison dernière. Après un premier opus publié début février, voici le deuxième volet de cette interview fleuve. Au programme : du Lyon, du Séville, du Arsenal et des bons restos.

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Au cours de la dernière saison, Sébastien Squillaci nous avait accordé 4 heures de son temps, afin de balayer son long parcours jusqu’à Bastia. Premier opus de ce moment avec Toto : du tout début jusqu’aux années Monaco.

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Soigneusement rangé dans le grenier d’Arsène Wenger depuis deux saisons, Sébastien Squillaci est revenu en France six ans après son départ de Lyon pour Séville. De retour sur la terre de son grand-père paternel, celui qui a déjà évolué en Corse, sous le maillot de l’AC Ajaccio, retrouve les terrains, le temps de jeu et son île. La vie est belle pour Sébastien. Ce n’est pas le Sporting qui s’en plaindra.

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Lorsque l’on voit Sébastien Squillaci, Romaric ou Miloš Krasić évoluer sous le maillot bleu, on a du mal à se rappeler que Bastia évoluait en National il y a seulement trois ans. De cette époque, il ne reste que quatre joueurs. Yannick Cahuzac, Wahbi Khazri, Féthi Harek et le moins connu d’entre eux : Gilles Cioni.

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Après deux ans de traversée du désert du côté d’Arsenal, Sébastien Squillaci a décidé de rentrer au bled. Il rejoint ainsi l’escouade AOC corse de Frédéric Hantz, bien décidé à jouer plus que le maintien et à montrer qu’il est tout sauf cuit.

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