John Guidetti

En octobre 2014, John Guidetti et Layvin Kurzawa étaient des espoirs pleins d’insouciance et d’insolence.

Garantie sans Zlatan Ibrahimović.

Sans être impressionnante devant, mais solide derrière, la Suède finit par remporter une précieuse victoire dans la course au Mondial russe. Lindelöf et Durmaz sont les gros poissons scandinaves.

Le Standard de Liège est éliminé au détriment du Celta, qui permet à l’Espagne de faire un (nouveau) carton plein, et l’Hapoël Beer Sheva réalise l’exploit en éliminant Southampton sur sa pelouse.

En première mi-temps, Denis Brogniart a manqué à tout le monde. En seconde, les Bleus ont rassuré le stade de France. Au bout, une victoire importante dans la course à la qualification à la Coupe du monde 2018.

Will Grigg est peut-être en feu, mais il ne joue pas. Contrairement à John Guidetti, grand espoir de l’attaque suédoise pour les années à venir, qui a lui aussi eu droit à sa chanson.

C’est l’une des statistiques dingues de cet Euro jusqu’à présent : en deux matchs, la Suède n’a cadré aucun tir. Une attaque à l’inefficacité aberrante.