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On dormait en tente mais on mangeait en refuge. On était obligés de poser la tente à côté donc bon...
On a aussi fait une nuit en refuge après s'être pris la grêle pendant un bon moment. On était bien trempés et secoués haha !
On a aussi fait une nuit en refuge après s'être pris la grêle pendant un bon moment. On était bien trempés et secoués haha !
C’est un peu chiant la Vanoise pour ça même si je comprends le principe. Mais du coup les refuges te taxent pour le bivouac. Et quand tu lis leurs explications, ils font un peu reposer la pollution sir les bivouaqueurs alors qu’on est les plus sensibilisés à ça. Bref…
Bah perso, j'ai un peu de mal à comprendre. Au delà de devoir payer 5€ pour un emplacement très souvent nul (sur une estrade au col de la vanoise !), je doute un peu que l'impact des campeurs soit si énormes. Dans les écrins, c'était libre, et j'ai pas vu de pollution liée au bivouac.
Bon, nous on a du payer 80 balles d amendes pour bivouac en Slovénie (certes en vago)
J ai pas compris la réf !
Le saviez-vous on peut avoir une bonne idée de son potentiel comme coureur ou cycliste avec un test adn.
Bienvenue à Gattaca.
(Pas si nouveau mais on vient de me le dire)
L’Etape du Tour 2023
Annemasse - Morzine (09.07.23)
—-
Quelle était rigolote, la blagounette cet automne d’inscrire en scred mon cousin pour l’Etape du Tour … mais à un m’ment donné il a fallut monter sur le vélo pour l’accompagner et c’était hier !
16´500 participants et des poussières … au moment de mettre le premier coup de pédale, il doit y avoir au grand maximum plus que 20 mecs derrière nous : autant dire qu’on affichait nos biscotos et nos ambitions fiers comme des camions tout neuf, au départ à 8h52m30s sous un soleil de plomb qui n’annonçait rien de bien bon.
Après 2 bornes y’a déjà un gars au bord de la route qui change sa chambre : allons-bon moi si ça m’arrive j’arrête tout tout de suite … vu comme je galère à changer la mienne, pas envie de repartir 20min après l’avant-dernier gus et passer la djourn Tuchel. J’imaginais bien que j’allais passer une bonne partie de la journée à pédaler à côté du conducteur de la voiture-balais, à négocier ou tenter de balancer des clous sous ses pneus mais pas de bon matin hein !
Tabernacle j’ai déjà le palpitant 10 bmp au dessus de ma moyenne alors qu’on est sur le plat et caché dans des groupes : l’excitation de la compèt probablement.
La montée de Saxel se passe pas mal et on bascule avec 10 minutes d’avance sur l’horaire et zéro point au classement à pois (« forcément si vous filez des points qu’aux premiers qui sont partis à 7h c’est d’la triche : on-dérange ! »)
Un coucou des nièces au pied du Cou nous requinque et pan ! Premier coup de fusil, la rampe à 12% non répertoriée : arf elle fait mal et 2-3 posent déjà le pied à terre. Bien content de la connaître celle-là - encore dans le village - et de la monter avec allégresse. Le second passage à 12 fait enrager des anglais autours de moi (« good game » hèhèhè)
Tiny ravito, les Moises et plongée vers Orcier. Second coucou d’une autre nièce avec son p’tit de 3 mois et … début de la galère …
J’le connais bien, le Feu, et son gros problème est que ça tabasse jusqu’à 13-14 sur 400 mètres et qu’après …. Ba t’es en plein cagnard sur un long bout.
Forcément il est midi ; forcément ça commence à se corser.
J’avance queue-dalle et ne double plus que des gars arrêtés à la recherche d’une ombre salvatrice. Et là c’est le drame : comme si c’était pas déjà assez éprouvant en ce dimanche de canicule, v’la ti pas qu’arrive le point de non-routoutourne-va-pas-tourner : le mal de cul !!!!
Rhâ pitain nan pas maintenant !!! Pas déjà !!!
C’est le genre de truc qui ne vas pas en s’améliorant et mon objectif du jour - arriver en haut de la Ramaz - en prend un coup au moral et au derrière, donc.
J’arrive DÉ-MON-TÉ en haut du Feu, où mon cousin ravitaillé depuis 10min s’inquiète un peu quand même. Nos chemins se séparent définitivement, pour une issue qu’on savait depuis longtemps déjà : il fallait que je le libère mon Jalabert une fois mon travail de coéquipier terminé.
Le reste n’est que calvaire : Jambaz j’arrive pas à faire 10 coup de pédale sans devoir changer de position : la descente vers Mieussy et sa rampe d’approche finissent par m’achever.
Je viens donc m’échouer au pied de la Ramaz, avec environs 150-180 gus qui n’iront pas plus loin non plus.
Moi cousin l’a réussi lui : en s’arrêtant 6-8 fois (il a arrêté de compter), en voyant 1 mec sur 4 pousser son vélo. Un carnage …
En bref : 90km, 1800 D+, 5h40, cinquante-douze degrés au ch’nord-à-l’ombre et un mal de cul pour la semaine … j’en peux pu :-(
Conclusion : à l’année prochaine pardi !!!
Lamine Turgut a écritL’Etape du Tour 2023
Annemasse - Morzine (09.07.23)
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Quelle était rigolote, la blagounette cet automne d’inscrire en scred mon cousin pour l’Etape du Tour … mais à un m’ment donné il a fallut monter sur le vélo pour l’accompagner et c’était hier !
16´500 participants et des poussières … au moment de mettre le premier coup de pédale, il doit y avoir au grand maximum plus que 20 mecs derrière nous : autant dire qu’on affichait nos biscotos et nos ambitions fiers comme des camions tout neuf, au départ à 8h52m30s sous un soleil de plomb qui n’annonçait rien de bien bon.
Après 2 bornes y’a déjà un gars au bord de la route qui change sa chambre : allons-bon moi si ça m’arrive j’arrête tout tout de suite … vu comme je galère à changer la mienne, pas envie de repartir 20min après l’avant-dernier gus et passer la djourn Tuchel. J’imaginais bien que j’allais passer une bonne partie de la journée à pédaler à côté du conducteur de la voiture-balais, à négocier ou tenter de balancer des clous sous ses pneus mais pas de bon matin hein !
Tabernacle j’ai déjà le palpitant 10 bmp au dessus de ma moyenne alors qu’on est sur le plat et caché dans des groupes : l’excitation de la compèt probablement.
La montée de Saxel se passe pas mal et on bascule avec 10 minutes d’avance sur l’horaire et zéro point au classement à pois (« forcément si vous filez des points qu’aux premiers qui sont partis à 7h c’est d’la triche : on-dérange ! »)
Un coucou des nièces au pied du Cou nous requinque et pan ! Premier coup de fusil, la rampe à 12% non répertoriée : arf elle fait mal et 2-3 posent déjà le pied à terre. Bien content de la connaître celle-là - encore dans le village - et de la monter avec allégresse. Le second passage à 12 fait enrager des anglais autours de moi (« good game » hèhèhè)
Tiny ravito, les Moises et plongée vers Orcier. Second coucou d’une autre nièce avec son p’tit de 3 mois et … début de la galère …
J’le connais bien, le Feu, et son gros problème est que ça tabasse jusqu’à 13-14 sur 400 mètres et qu’après …. Ba t’es en plein cagnard sur un long bout.
Forcément il est midi ; forcément ça commence à se corser.
J’avance queue-dalle et ne double plus que des gars arrêtés à la recherche d’une ombre salvatrice. Et là c’est le drame : comme si c’était pas déjà assez éprouvant en ce dimanche de canicule, v’la ti pas qu’arrive le point de non-routoutourne-va-pas-tourner : le mal de cul !!!!
Rhâ pitain nan pas maintenant !!! Pas déjà !!!
C’est le genre de truc qui ne vas pas en s’améliorant et mon objectif du jour - arriver en haut de la Ramaz - en prend un coup au moral et au derrière, donc.
J’arrive DÉ-MON-TÉ en haut du Feu, où mon cousin ravitaillé depuis 10min s’inquiète un peu quand même. Nos chemins se séparent définitivement, pour une issue qu’on savait depuis longtemps déjà : il fallait que je le libère mon Jalabert une fois mon travail de coéquipier terminé.
Le reste n’est que calvaire : Jambaz j’arrive pas à faire 10 coup de pédale sans devoir changer de position : la descente vers Mieussy et sa rampe d’approche finissent par m’achever.
Je viens donc m’échouer au pied de la Ramaz, avec environs 150-180 gus qui n’iront pas plus loin non plus.
Moi cousin l’a réussi lui : en s’arrêtant 6-8 fois (il a arrêté de compter), en voyant 1 mec sur 4 pousser son vélo. Un carnage …
En bref : 90km, 1800 D+, 5h40, cinquante-douze degrés au ch’nord-à-l’ombre et un mal de cul pour la semaine … j’en peux pu :-(
Conclusion : à l’année prochaine pardi !!!
Ce fut un plaisir, tu reviens quand tu veux.
Totti Chianti a écritCe fut un plaisir, tu reviens quand tu veux.
Comment ça quand tu veux? Il se doit de revenir tout de suite! Ou sinon c'est qu'une petite bite!
Petit trek de l'été : la grande traversée du Mercantour.
17 jours à travers le parc, avec quelques passages en Italie, et un final sur la mer à Menton.
Je connaissais pas du tout ce coin des Alpes, et ça n'a pas déçu. Vraiment magnifique, et un vrai paradis pour les amoureux des chamois bouquetins et autres mouflons, qui se laissent approcher sans problème et sont très nombreux (surtout autour du refuge de Nice).
Seul bémol pour moi, la Vallée des Merveilles, dont on m'avait dit beaucoup de bien. Au final rien de spécial niveau paysage, impossible de voir les gravures sans guide, et le refuge faisait un peu l'usine. Mais le reste c'était vraiment génial, notamment Vens, Lago di San Bernoflo, Rifugio Questa, la vallée en face des monts Argentera, Refuge de Nice...
A noter que ça peut clairement se faire en moins de temps, les estimations données par le topo étant super larges.
https://www.francetvinfo.fr/meteo/inonda…berarde_6619797.html
Dingue. J'y étais allé pour la première fois il y'a dix jours pour une course d'alpinisme (ma nouvelle lubie). La violence du truc est absolument délirante.
J'avais déjà vu des scènes similaires dans le Mercantour, mais sans avoir vu "l'avant"...
Grosse pensée pour les gens qui ont probablement tout perdu...
Ai l'habitude de moquer les cyclistes amateurs obnubilés par le matos.
Retour de tonfa karmique. Le dérailleur qui coince, obligé de finir la montée sur un développement un peu trop grand.
Vais méditer sur le matos.
En explorant de nouveaux casinos en ligne, je suis tombé sur https://fr.lescasinosfrance.com/21bets/ et j'ai été très satisfait de mon expérience. Le processus d'inscription était rapide, et j'ai été accueilli avec un bonus généreux. J'ai aimé la diversité des jeux proposés, et les promotions rendent l'expérience encore plus intéressante. Si vous cherchez un casino en ligne fiable avec un excellent service, ce site vaut le détour. Je reviendrai certainement.
Lamine Turgut a écritL’Etape du Tour 2023
Annemasse - Morzine (09.07.23)
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Quelle était rigolote, la blagounette cet automne d’inscrire en scred mon cousin pour l’Etape du Tour … mais à un m’ment donné il a fallut monter sur le vélo pour l’accompagner et c’était hier !
16´500 participants et des poussières … au moment de mettre le premier coup de pédale, il doit y avoir au grand maximum plus que 20 mecs derrière nous : autant dire qu’on affichait nos biscotos et nos ambitions fiers comme des camions tout neuf, au départ à 8h52m30s sous un soleil de plomb qui n’annonçait rien de bien bon.
Après 2 bornes y’a déjà un gars au bord de la route qui change sa chambre : allons-bon moi si ça m’arrive j’arrête tout tout de suite … vu comme je galère à changer la mienne, pas envie de repartir 20min après l’avant-dernier gus et passer la djourn Tuchel. J’imaginais bien que j’allais passer une bonne partie de la journée à pédaler à côté du conducteur de la voiture-balais, à négocier ou tenter de balancer des clous sous ses pneus mais pas de bon matin hein !
Tabernacle j’ai déjà le palpitant 10 bmp au dessus de ma moyenne alors qu’on est sur le plat et caché dans des groupes : l’excitation de la compèt probablement.
La montée de Saxel se passe pas mal et on bascule avec 10 minutes d’avance sur l’horaire et zéro point au classement à pois (« forcément si vous filez des points qu’aux premiers qui sont partis à 7h c’est d’la triche : on-dérange ! »)
Un coucou des nièces au pied du Cou nous requinque et pan ! Premier coup de fusil, la rampe à 12% non répertoriée : arf elle fait mal et 2-3 posent déjà le pied à terre. Bien content de la connaître celle-là - encore dans le village - et de la monter avec allégresse. Le second passage à 12 fait enrager des anglais autours de moi (« good game » hèhèhè)
Tiny ravito, les Moises et plongée vers Orcier. Second coucou d’une autre nièce avec son p’tit de 3 mois et … début de la galère …
J’le connais bien, le Feu, et son gros problème est que ça tabasse jusqu’à 13-14 sur 400 mètres et qu’après …. Ba t’es en plein cagnard sur un long bout.
Forcément il est midi ; forcément ça commence à se corser.
J’avance queue-dalle et ne double plus que des gars arrêtés à la recherche d’une ombre salvatrice. Et là c’est le drame : comme si c’était pas déjà assez éprouvant en ce dimanche de canicule, v’la ti pas qu’arrive le point de non-routoutourne-va-pas-tourner : le mal de cul !!!!
Rhâ pitain nan pas maintenant !!! Pas déjà !!!
C’est le genre de truc qui ne vas pas en s’améliorant et mon objectif du jour - arriver en haut de la Ramaz - en prend un coup au moral et au derrière, donc.
J’arrive DÉ-MON-TÉ en haut du Feu, où mon cousin ravitaillé depuis 10min s’inquiète un peu quand même. Nos chemins se séparent définitivement, pour une issue qu’on savait depuis longtemps déjà : il fallait que je le libère mon Jalabert une fois mon travail de coéquipier terminé.
Le reste n’est que calvaire : Jambaz j’arrive pas à faire 10 coup de pédale sans devoir changer de position : la descente vers Mieussy et sa rampe d’approche finissent par m’achever.
Je viens donc m’échouer au pied de la Ramaz, avec environs 150-180 gus qui n’iront pas plus loin non plus.
Moi cousin l’a réussi lui : en s’arrêtant 6-8 fois (il a arrêté de compter), en voyant 1 mec sur 4 pousser son vélo. Un carnage …
En bref : 90km, 1800 D+, 5h40, cinquante-douze degrés au ch’nord-à-l’ombre et un mal de cul pour la semaine … j’en peux pu :-(
Conclusion : à l’année prochaine pardi !!!
Génial !
J’pense m’inscrire à l’ardéchoise cette année pour une expérience similaire sûrement :D