Rien à foot

Au Brésil c'est comme aux États-Unis et en France, à cause de querelles d'égo les gens sont rarement soignés (avec l'hydroxychloroquine). Ceux qui utilisent un protocole approchant de celui de Raoult ont de bien meilleurs chiffres que les autres. Tous les pays qui utilisent ce protocole ont des bons chiffres.
La Suisse a vu son nombre de décès augmenter lorsqu'elle a interdit l'hydroxychloroquine, puis diminuer lorsqu'elle l'a ré-autorisée.
La guerre d'égos que tu justifies avec tes arguments fallacieux a précipité la mort de dizaines, voire de centaines de milliers de personnes.

Au Brésil c'est comme aux États-Unis et en France, à cause de querelles d'égo les gens sont rarement soignés (avec l'hydroxychloroquine). Ceux qui utilisent un protocole approchant de celui de Raoult ont de bien meilleurs chiffres que les autres. Tous les pays qui utilisent ce protocole ont des bons chiffres.
La Suisse a vu son nombre de décès augmenter lorsqu'elle a interdit l'hydroxychloroquine, puis diminuer lorsqu'elle l'a ré-autorisée.
La guerre d'égos que tu justifies avec tes arguments fallacieux a précipité la mort de dizaines, voire de centaines de milliers de personnes.

Au Brésil c'est comme aux États-Unis et en France, à cause de querelles d'égo les gens sont rarement soignés (avec l'hydroxychloroquine). Ceux qui utilisent un protocole approchant de celui de Raoult ont de bien meilleurs chiffres que les autres. Tous les pays qui utilisent ce protocole ont des bons chiffres.
La Suisse a vu son nombre de décès augmenter lorsqu'elle a interdit l'hydroxychloroquine, puis diminuer lorsqu'elle l'a ré-autorisée.
La guerre d'égos que tu justifies avec tes arguments fallacieux a précipité la mort de dizaines, voire de centaines de milliers de personnes.

53 études sur l'hydroxychloroquine, 76% sont positives :
https://c19study.com/

https://twitter.com/juni8t/status/1284493669895041024?s=21
Vu ça par hasard, j’ai pensé à toi, sans toutefois me faire d’illusions....

Débunkage sur Twitter de la part d'un polytechnicien ou les avis sur Sofoot en moins de 140 caractères de la part d'un mec qui déplace des palettes, je me tâte....

Il est peut être pas ce qu'il prétend ton polytechnicien.

Quelques passages d'un article du pédopsychiatre Maurice Berger publié il y a quelques semaines.

Cultures de la honte et cultures de l’honneur

Nous sommes en train de passer à côté d’un processus essentiel en jeu actuellement, l’articulation, désastreuse entre les sociétés de la honte et de l’honneur (« shame culture ») et les civilisations de la culpabilité (« guilt culture »), distinction établie par Dodds, un ethnologue. La honte est définie par lui comme un fait social extériorisé (perdre la face) et la culpabilité comme un sentiment intériorisé, différence fondamentale pour ce qui suit.

Les membres des sociétés de la honte ne se sentent pas honteux « par essence », mais l’honneur est pour eux une valeur dominante qui ne concerne pas que soi, mais aussi le groupe familial, culturel auquel on appartient. Reconnaître une faute devant les personnes qui y sont extérieures, c’est déshonorer son groupe, c’est « l’ahchouma », mot clé au Maghreb qui signifie la honte. On ne peut reconnaître que la moindre erreur ait pu être commise par soi ou les autres membres de son groupe sous peine de déshonneur, la faute en incombe forcément à l’extérieur. Le modèle relationnel dominant prend la forme d’être le plus fort ou d’être humilié. Qui va mépriser l’autre ? Qui va faire honte à l’autre ou avoir honte ? Qui va soumettre l’autre ?


Le piège, c’est que les membres des sociétés de la honte ont compris que les membres des civilisations de la culpabilité, judéo-chrétiennes, ont une forte tendance à accepter de se sentir coupable, et il est alors « pratique » de leur faire éprouver de la honte au lieu de la ressentir soi-même. Et plus les membres de la civilisation de la culpabilité se sentent coupables, plus les membres de la société de la honte se décrivent comme victimes, dans une inflation interminable, alors que le problème initial de situe à l’intérieur même de leur société.
Il faut préciser ici que toutes les personnes issues de ces deux modèles de culture ne se sentent pas forcément prises dans ces enjeux d’honneur ou de culpabilité, mais celles qui crient le plus fort le sont.

Cet écart entre société de la honte et civilisation de la culpabilité crée d’importantes tensions concernant l’acceptation d’une loi commune, ensemble de contraintes qui se situent au-dessus de tous, et de la reconnaissance d’une dette.

Rapport à la loi décomplexé

Dans les sociétés de la honte, la relation à la loi n’inclut pas sa notion pourtant fondatrice de culpabilité. Accepter les contraintes extérieures signifie non pas reconnaître la nécessité de respecter d’indispensables limites pour une vie en commun, mais est vécue comme une immixtion intolérable dans le fonctionnement familial et groupal. L’obéissance n’est pas inculquée en référence à la future place de l’enfant dans la société, et l’enfant comprend vite comment apitoyer sa mère pour contourner ses frêles interdits. Des professionnelles en difficulté dans l’aide à la parentalité m’expliquent ainsi leur désarroi face à des mères d’origine immigrée qui ne comprennent pas pourquoi, comme l’indique le règlement, les portes de l’école maternelle ferment à 8h30, et leur enfant ne peut pas comprendre pourquoi l’enseignante dit « non » à certains moments. Du côté paternel ou fraternel, l’obéissance est souvent la conséquence d’une soumission à un arbitraire qui repose sur les coups, et c’est le modèle de faire peur/avoir peur qui prime. Parfois aussi certains pères sont absents ou lâchent prise. Résultat de cette absence d’intégration de la loi, un jeune délinquant violent de 16 ans m’explique sa conception de la vie : « Je veux, je prends ». Imparable.

Et ça continue encore et encore...

1- ok, pas la peine de parler avec toi, t'es çon comme un balais, ça m'apprendra

2- reprend la conversation, mais en fait non, oublie (voir petit 1)

3- pour les réponses aux autres questions, toujours voir petit 1

4- tu réponds aux questions par d'autres questions, c'est pas comme si c'était nouveau hein... niveau CM2 max (t'as deviné, voir...)

5- c'est exactement à cause de ce genre d'échange de cours d'école que j'ai fermé mon compte et suis parti quelques temps. Je ne pense pas me tromper si je te dis que je ne suis pas le seul. La chute de ce site est vertigineuse depuis que tu y a pris tes aises. Tes problèmes d'agressivité, de substances, tes problèmes psychiatriques, c'est épuisant. Tes dialogues entre multi-comptes où tu t'insultes, te lances des fleurs, te pose des questions, te donne des réponses, putain c'est affligeant.

6- Après avoir suivi d'autres échanges de ce genre de la part d'autres forumeurs qui essaient par tout les moyens connus par les hommes et les animaux de te faire comprendre que t'es lourd, très lourd, extrêmement lourd, je sais que c'est peine perdu, tu pigeras pas ce que je te dis, t'es sans-espoir, honnêtement. J'ai de la peine pour toi. Rien d'autre que de la peine, désolé.

7- Si tu es payé pour pourrir ce site ou générer du clic pour sofoot, va te faire mettre bien profond, t'as niqué quelque chose de bien sympa. Si So foot, étonnement silencieux en ce qui te concerne cautionne, je pense que ça vaut mieux que je me barre de ce site. Si la politique est d'avoir un troll/clown maison et des articles putaclic irresponsables tout les matins, franchement, j'ai honte de venir aussi souvent.

8- Dans la série des anecdotes : fût un temps j'avais un compte BO. Quel intérêt tu me diras ? Et c'est bien vrai, quel putain d'intérêt ? Même moi j'ai honte.
Bizarrement sofoot ou ses modos se sont empressés de me retirer le pouvoir de notation la minute, que dis-je, la seconde à laquelle j'ai commencé à te mettre des -1 parce que j'en avais marre de voir tes trolls et tes diarrhées verbales sous chaque article. Notation illimitée mon cul...

9- si ton passe-temps est réellement de passer 15 heures par jour sur ce site pour n'y apporter que de l'agressivité, encore une fois, fais-toi soigner. Cours, fonce et restes-y un moment car ton cas est très grave. Mais encore une fois je doute que tu puisses comprendre ce que je te dis. On s'est tous fait ou presque des multi-comptes pour pouvoir balancer quelques quenelles bien senties. Tu es le seul à avoir des conversations entières avec toi même. Consultes vite, ça presse. C'est probablement trop tard mais on ne sait jamais, la science avance.

10- En fait je suis jaloux, je dois l'avouer. Arriver à jongler un poste de chef d'entreprise à Paris, qui plus est un cabinet d'architecture (la classe putain, tu lésines pas toi au moins), une vie de famille épanouie comme la tienne ET passer 15 heures pas jours, 7 jours sur 7, 365 jours par an sur ce site, chapeau bas. T'es au top, franchement je te le dis, t'es au top du top. Tu perds ton temps sur ce site avec nous, ton destin est supra-national.


Merci de m'avoir une fois de plus écœuré de venir sur ce site. Tu files la gerbe tellement t'es con.
Quelle chance tu as d'avoir une vie tellement parfaite que tout ce que tu as à branler de tes journées est de pourrir les moments de détentes des autres. Merci aux çons qui bossent pour payer ton RSA. Profites-en bien, ça pourrait changer plus vite que tu ne le penses.

Certains nient le covid ou le sida, toi tu es dans le déni complet concernant le fait que tu es un cancer pour ce site. Ras-le cul de tes métastases.

Sur ce, bonne continuation à toutes et à tous mais la pour le coup pour moi c'est bel et bien fini sur ce site. Et j'espère que tout le monde s'en branle car c'est exactement comme ça que ça devrait être.

https://www.causeur.fr/remettre-la-honte-a-sa-juste-place-179119
Ne pas dire que c’est surtout un chroniqueur d’extrême-droite en évitant soigneusement de mettre le lien Causeur, c’est ça la honte?
;)

Merci de confirmer ce que l'article aborde.

Quelques passages d'un article du pédopsychiatre Maurice Berger publié il y a quelques semaines.

Cultures de la honte et cultures de l’honneur

Nous sommes en train de passer à côté d’un processus essentiel en jeu actuellement, l’articulation, désastreuse entre les sociétés de la honte et de l’honneur (« shame culture ») et les civilisations de la culpabilité (« guilt culture »), distinction établie par Dodds, un ethnologue. La honte est définie par lui comme un fait social extériorisé (perdre la face) et la culpabilité comme un sentiment intériorisé, différence fondamentale pour ce qui suit.

Les membres des sociétés de la honte ne se sentent pas honteux « par essence », mais l’honneur est pour eux une valeur dominante qui ne concerne pas que soi, mais aussi le groupe familial, culturel auquel on appartient. Reconnaître une faute devant les personnes qui y sont extérieures, c’est déshonorer son groupe, c’est « l’ahchouma », mot clé au Maghreb qui signifie la honte. On ne peut reconnaître que la moindre erreur ait pu être commise par soi ou les autres membres de son groupe sous peine de déshonneur, la faute en incombe forcément à l’extérieur. Le modèle relationnel dominant prend la forme d’être le plus fort ou d’être humilié. Qui va mépriser l’autre ? Qui va faire honte à l’autre ou avoir honte ? Qui va soumettre l’autre ?


Le piège, c’est que les membres des sociétés de la honte ont compris que les membres des civilisations de la culpabilité, judéo-chrétiennes, ont une forte tendance à accepter de se sentir coupable, et il est alors « pratique » de leur faire éprouver de la honte au lieu de la ressentir soi-même. Et plus les membres de la civilisation de la culpabilité se sentent coupables, plus les membres de la société de la honte se décrivent comme victimes, dans une inflation interminable, alors que le problème initial de situe à l’intérieur même de leur société.
Il faut préciser ici que toutes les personnes issues de ces deux modèles de culture ne se sentent pas forcément prises dans ces enjeux d’honneur ou de culpabilité, mais celles qui crient le plus fort le sont.

Cet écart entre société de la honte et civilisation de la culpabilité crée d’importantes tensions concernant l’acceptation d’une loi commune, ensemble de contraintes qui se situent au-dessus de tous, et de la reconnaissance d’une dette.

Rapport à la loi décomplexé

Dans les sociétés de la honte, la relation à la loi n’inclut pas sa notion pourtant fondatrice de culpabilité. Accepter les contraintes extérieures signifie non pas reconnaître la nécessité de respecter d’indispensables limites pour une vie en commun, mais est vécue comme une immixtion intolérable dans le fonctionnement familial et groupal. L’obéissance n’est pas inculquée en référence à la future place de l’enfant dans la société, et l’enfant comprend vite comment apitoyer sa mère pour contourner ses frêles interdits. Des professionnelles en difficulté dans l’aide à la parentalité m’expliquent ainsi leur désarroi face à des mères d’origine immigrée qui ne comprennent pas pourquoi, comme l’indique le règlement, les portes de l’école maternelle ferment à 8h30, et leur enfant ne peut pas comprendre pourquoi l’enseignante dit « non » à certains moments. Du côté paternel ou fraternel, l’obéissance est souvent la conséquence d’une soumission à un arbitraire qui repose sur les coups, et c’est le modèle de faire peur/avoir peur qui prime. Parfois aussi certains pères sont absents ou lâchent prise. Résultat de cette absence d’intégration de la loi, un jeune délinquant violent de 16 ans m’explique sa conception de la vie : « Je veux, je prends ». Imparable.

Jamais rien lu d'aussi stupide.
Pas difficile de trouver l'origine de cet étron effectivement.

Jamais rien lu d'aussi stupide.
Pas difficile de trouver l'origine de cet étron effectivement.

Ouais, c'est comme Coucou c'est nous, tu vois son pseudo, tu sais qu'il ira pas chercher loin...
Pour le coup, j'ai quand même eu beaucoup de peine en recherchant ce texte, je suis tombé sur un autre où il prétendait que les mères arabes subissaient tellement l'inégalité homme-femme que leurs enfants n'avaient même pas droit à un sourire dans leur enfance.
Quand on sait les louves que c'est, tu vois que ce mec a des pures constructions intellectuelles racistes qui n'ont rien à voir avec sa condition de pédo-psychiatre.
On remerciera jamais Coucou c'est nous pour cette découverte.