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Rien à foot

Jan Koller jouait au Krylia Sovelov avant de rejoindre l'AS Cannes. Daniel Moreira a joué ses premiers matches pro à Valenciennes. Le budget du Dijon Football Côte d'Or pour la saison 2009-2010 était de 9,1 million d'euros. Garrincha doit son surnom à un passereau.

Sincèrement, qui en a quelque chose à foutre ?

FrenchiesRuud a écrit

Je viens de tomber sur étude (que Polsti connaît sans doute) qui dit que en moyenne plus on est attirant et moins durera le marriage.

Donc conseil du coach Frenchies : si vous voulez que votre marriage dure, juste après le oui je le veux, pété vous le nez , brûlé vous une partie du visage et/ou prenez 40 kg.

Notre marriage*

FrenchiesRuud a écrit

Je viens de tomber sur étude (que Polsti connaît sans doute) qui dit que en moyenne plus on est attirant et moins durera le marriage.

Donc conseil du coach Frenchies : si vous voulez que votre marriage dure, juste après le oui je le veux, pété vous le nez , brûlé vous une partie du visage et/ou prenez 40 kg.

Polsti a-t-il vraiment besoin de se défigurer pour être moche comme l'enfer ?

Sebek a écrit

Polsti a-t-il vraiment besoin de se défigurer pour être moche comme l'enfer ?

T'inquiète Sebek, je l'ai pas mal pris. Je sais qu'il n'y a pas de méchanceté que c'est juste pour la rigolade.

Et aussi, j'ai plus besoin des autres pour me définir.

Tu peux me dire que je suis un attardé ou un génie cela ne changera pas grand chose à ce je pense de moi.

Je sais très bien ce que je vaux: beaucoup!

Pourquoi les mois de Septembre à Décembre sont les neuvième, dixième, onzième et douzième de l'année, alors que vu leurs noms, ils devraient plutôt être ceux de sept à dix ?

Italia'90 a écrit

Pourquoi les mois de Septembre à Décembre sont les neuvième, dixième, onzième et douzième de l'année, alors que vu leurs noms, ils devraient plutôt être ceux de sept à dix ?

Parce qu'ils sont fous ces romains dirait Obelix.

Italia'90 a écrit

Pourquoi les mois de Septembre à Décembre sont les neuvième, dixième, onzième et douzième de l'année, alors que vu leurs noms, ils devraient plutôt être ceux de sept à dix ?

Parce que fut un temps l'année commençait en mars ?

(Que l'année commençait en mars j'en suis à peu près sûr, que ce soit l'explication beaucoup moins, mais c'est plausible, non ?)

Georges Randal a écrit

Parce que fut un temps l'année commençait en mars ?

(Que l'année commençait en mars j'en suis à peu près sûr, que ce soit l'explication beaucoup moins, mais c'est plausible, non ?)

J'ai sûrement entendu cette explication, mais m'en rappelle pas.

(De l'avoir entendu, l'explication je viens de la donner. À moins que ce ne soit pas l'explication. Auquel cas je m'en rappellerais pas.

C'est clair ?)

Georges Randal a écrit

Parce que fut un temps l'année commençait en mars ?

(Que l'année commençait en mars j'en suis à peu près sûr, que ce soit l'explication beaucoup moins, mais c'est plausible, non ?)

J'ignorais ceci et te gratifie donc d'un sincère "merci" pour cet élément de réponse, effectivement plus que plausible.

(Je me suis posé la question ce matin en me dirigeant vers ma voiture pour retourner au boulot après quelques menus congés. Signe d'une évidente indifférence envers cette reprise.)

Georges Randal a écrit

J'ai sûrement entendu cette explication, mais m'en rappelle pas.

(De l'avoir entendu, l'explication je viens de la donner. À moins que ce ne soit pas l'explication. Auquel cas je m'en rappellerais pas.

C'est clair ?)

(Très)

Haha !

(Je viens de vérifier, c'est bien ça, l'année commençait avec le printemps chez les Romains, je soupçonne Tòtò d'avoir eu la réponse sans la donner, ce qui correspond à son caractère fuyant...)

(Sì, è gratuito, perché lo amo molto !)

Georges Randal a écrit

Haha !

(Je viens de vérifier, c'est bien ça, l'année commençait avec le printemps chez les Romains, je soupçonne Tòtò d'avoir eu la réponse sans la donner, ce qui correspond à son caractère fuyant...)

(Sì, è gratuito, perché lo amo molto !)

Attention, le signore Chianti doit être un peu nerveux suite à la qualification à l'arrachée de nos amis transalpins.

Un mot de travers, et tu risques l'invitation à expérimenter le coït anal en mode passif.

PPP

(Pasolini est MORT)

Malgré la passion inéluctable que j'ai et aurais toujours,

Envers l'amour, la foi, et le don de soi,

Il m'apparait qu'aujourd'hui Pasolini,

Comme ses initiales l'indiquent,

PPP !

N'était qu'un Poète Perdant mais Passionné,

Pauvre Pédé Perdu…

Comme si l'intellectualisme va nu pieds des Frioul,

Et malvenu, il va sans dire,

N'avait pu ne serait-ce qu'ébranler le Patriotisme Paternalisme Pernicieux,

Que César avait déjà si bien offert à la Terre bénie !

Aujourd'hui,

Et malgré ses rêves de révolutions,

Et pire que les demain qu'il n'aurait pu imaginer,

J'espère que la réalité qu'il aurait exécré,

Et qui s'offre à nous,

Roule sur son âme perdue,

Dans ce monde,

Où même les Prêcheurs du Profond ne pourront plus Pêcher !

Vous espériez qu'on Pasolini en Perte de Père amènerait la révolution !

Ahahahah !

Peuh.. Peuh.…Peuh…

Nul n'est Prophète en son Pays Pourriture !

Italia'90 a écrit

Attention, le signore Chianti doit être un peu nerveux suite à la qualification à l'arrachée de nos amis transalpins.

Un mot de travers, et tu risques l'invitation à expérimenter le coït anal en mode passif.

Pas nerveux, non.

Étonnamment, je vis très bien cet Euro dégueulasse des miens depuis mon arrivée dans le plus beau pays du monde.

Faut dire que j'ai d'autres chats à fouetter que de me stresser pour du foot, entre comprendre comment et surtout quand faire venir ma famille, démarches administratives complexes et intégration dans mon nouveau travail.

Par contre, il peut tout à fait aller se faire enculer si tel est son bon désir. Ce n'est pas sale.

Et oui, je savais pour le calendrier, anecdote apprise lors d'un séjour à Rome où un sympathique étudiant anglais (mais oui, je vous jure ! Même pas perfide le gus !) regroupait les touristes aux alentours du forum pour faire une visite guidée gratuite et chacun donnait à la fin du parcours selon la taille de ses bourses.

Totti Chianti a écrit

Pas nerveux, non.

Étonnamment, je vis très bien cet Euro dégueulasse des miens depuis mon arrivée dans le plus beau pays du monde.

Faut dire que j'ai d'autres chats à fouetter que de me stresser pour du foot, entre comprendre comment et surtout quand faire venir ma famille, démarches administratives complexes et intégration dans mon nouveau travail.

Par contre, il peut tout à fait aller se faire enculer si tel est son bon désir. Ce n'est pas sale.

Et oui, je savais pour le calendrier, anecdote apprise lors d'un séjour à Rome où un sympathique étudiant anglais (mais oui, je vous jure ! Même pas perfide le gus !) regroupait les touristes aux alentours du forum pour faire une visite guidée gratuite et chacun donnait à la fin du parcours selon la taille de ses bourses.

Tu prends le relais du Bonobo.

Des problèmes pour dormir, Totti? Peut être le stress du changement?

FrenchiesRuud a écrit

Tu prends le relais du Bonobo.

Des problèmes pour dormir, Totti? Peut être le stress du changement?

Je suis un mauvais dormeur depuis toujours et là j'avais ma première grosse présentation dans mon nouveau job ce matin.

J'ai assuré paraît-il.

Mais ça fait toujours un peu stressé quand même.

Totti Chianti a écrit

Je suis un mauvais dormeur depuis toujours et là j'avais ma première grosse présentation dans mon nouveau job ce matin.

J'ai assuré paraît-il.

Mais ça fait toujours un peu stressé quand même.

Ah ok

Et bien tant mieux que cela se soit bien passé.

(Papier a l'entrée d'une biblio)

Ne manger pas dans la bibliothèque

Ou Les fourmis rentreront et apprendront à lire.

Ensuite elles deviendront trop cultivés.

Et la connaissance est pouvoir. Le pouvoir lui corrompt.

Elles finiront par dominer le monde!

C'est rigolo, non? A l'entrée d'une biblio.

Totti Chianti a écrit

Je suis un mauvais dormeur depuis toujours et là j'avais ma première grosse présentation dans mon nouveau job ce matin.

J'ai assuré paraît-il.

Mais ça fait toujours un peu stressé quand même.

In bocca al lupo !

FrenchiesRuud a écrit

(Papier a l'entrée d'une biblio)

Ne manger pas dans la bibliothèque

Ou Les fourmis rentreront et apprendront à lire.

Ensuite elles deviendront trop cultivés.

Et la connaissance est pouvoir. Le pouvoir lui corrompt.

Elles finiront par dominer le monde!

C'est rigolo, non? A l'entrée d'une biblio.

Anthropomorphisme infantlisant.

Elles dominent déjà le monde. À leur échelle.

Mais c'est amusant.

Georges Randal a écrit

Elles dominent déjà le monde. À leur échelle.

"La marabunta (1/2)

Régulièrement, certaines régions d'Amérique du Sud sont dévastées par des armées composées de milliards de fourmis légionnaires. Les indigènes ont donné un nom à cette invasion, aussi imprévisible que destructrice ; ils l'ont appelée la «marabunta».

Nous sommes au début des années 50 dans le centre du Brésil.

Une fois de plus, le commissionario lève la main pour donner plus de poids à sa mise en garde :

— Je t'assure, Meffertz, rien n'arrête ces créatures. C'est comme l'eau, c'est même pire !

Gunter Meffertz hoche la tête et adresse un large sourire au vieil homme :

— Cette propriété que tu vois, c'est une ferme modèle. J'y ai mis tout ce que la technique a de plus perfectionné. Alors tu penses si tes fourmis...

— Ces fourmis-là sont plus fortes que tout, insiste le vieux. D'ailleurs, ce ne sont pas «des» fourmis, c'est une seule armée, unie, indivisible. C'est la marabunta.

— Bah ! La marabunta !

— Tu ne sais pas de quoi tu parles, Meffertz. Tu ne sais vraiment pas.

Sitôt le vieil homme parti, Gunter réunit ses hommes — une cinquantaine en tout — pour leur faire part de la nouvelle : les fourmis légionnaires arrivent, elles sont en route. Aussitôt la peur se lit sur les visages ; cependant tous les ouvriers font une telle confiance à Gunter que personne ne bronche.

— Les chevaux sont bien nerveux, remarque le patron le lendemain matin.

Et peu de temps après, il voit passer le long de la propriété une incroyable faune en fuite : des cerfs, des pumas, des tapirs, tous mêlés et ne songeant qu'à s'éloigner. Des troupeaux de buffles les suivent, puis les rongeurs, et enfin les reptiles. Tout ce bestiaire longe les fossés pleins d'eau. La propriété est en effet protégée par cette remarquable défense, qui s'alimente au fleuve et s'y déverse plus bas.

Ayant fait évacuer, pour plus de tranquillité, les femmes et les enfants, Gunter propose à ceux qui le voudraient, parmi ses ouvriers, de quitter la propriété. Tout le monde refuse. Tout le monde s'en remet à son optimisme.

— Parfait, dit-il. Alors nous allons inspecter le fossé intérieur.

Cette deuxième saignée, nettement plus petite, vise à isoler le rancho central du vaste domaine des plantations ; le cas échéant, il sera toujours possible, en ultime recours, de remplir ce fossé-là avec du pétrole contenu dans les cuves toutes proches, et bien approvisionnées.

Puisque tout est en ordre, Gunter Meffertz décide de monter jusqu'à un petit promontoire d'où il verra l'ennemi arriver.

C'est alors que son estomac se noue pour la première fois. Il faut dire que le spectacle est ahurissant. Partout à l'horizon, c'est un interminable tapis qui s'offre au regard, un inter-minable tapis de fourmis en marche. Des dizaines de kilomètres carrés d'insectes affamés ! Très vite, avec une coordination quasi surnaturelle, les fourmis se séparent en deux armées qui encerclent d'abord la propriété, puis se rejoignent sur le front principal juste au bord du grand fossé. Très intrigué, Gunter et quelques hommes se rendent aussitôt à cheval pour inspecter ce front.

Soudain, comme guidées par un ordre de bataille clair et rapide, les fourmis se mettent à s'agiter sur une largeur de cent mètres environ.

— Patron, elles se jettent à l'eau ! Elles font exprès de se noyer !

De fait, des milliers de fourmis s'engloutissent volontairement, afin que leurs cadavres servent de pont naturel aux autres. Gunter n'en croit pas ses yeux. Il donne l'ordre aussitôt d'ouvrir les vannes en amont, pour que le niveau de l'eau monte dans le fossé..."

(2/3)

"Dès qu'un «pont naturel» est envisagé par les fourmis, il se trouve désormais balayé par un courant de plus en plus puissant. La tactique paie tout de suite, assez en tout cas pour que Gunter puisse aller passer une nuit sereine dans sa maison bien gardée.

Mais le lendemain matin, la stratégie des fourmis a évolué. Coupant et amassant les dizaines de milliers de feuilles, de brindilles et de petites branches qu'elles ont pu trouver dans les parages, elles les transportent en un lieu précis pour y faire progresser une sorte de ponton végétal.

— Il faut réagir, les gars ! dit Gunter. Vous n'allez tout de même pas les laisser faire !

Et il indique au péon chargé des vannes comment s'y prendre ; il s'agit de faire alterner dans le fossé des niveaux hauts et des niveaux bas — afin de noyer les fourmis à chaque crue.

Peine perdue ! En quelques heures seulement, les «ouvrages d'art» élaborés par l'assaillant sont d'une telle solidité que rien ne les atteint plus. Soudain, une clameur s'élève :

— Elles ont traversé !

Gunter Meffertz comprend aussitôt que la plantation est perdue. Tirant trois coups de pistolet en l'air, il donne l'ordre à tous de gagner le rancho au plus vite. Et dès que tout le monde se trouve à l'intérieur du second fossé, l'une des trois citernes de pétrole est ouverte en grand. Puis, à l'abri derrière ce «rempart de benzène», Gunter rentre chez lui ; il a de nombreux plans à établir, en vue de remettre en état, dans les meilleurs délais, les cultures dévastées — «dans les meilleurs délais», c'est-à-dire dès que les fourmis seront parties.

Pour l'instant, elles sont toujours là. Et tandis que Gunter dort assez paisiblement dans sa chambre, l'immense masse d'insectes se rassasie des plantations intégralement investies. Le plus incroyable, c'est qu'à son réveil, le patron peut constater que la marabunta n'a pas été détournée par l'abandon de toutes ces richesses végétales ; comme poussée par une faim inextinguible, elle cherche toujours un moyen de pénétrer à l'intérieur du second fossé — il est vrai qu'un festin l'y attend : cinquante hommes, des chevaux et quelques animaux.

S'embarquant littéralement sur des sortes de petits radeaux végétaux, les fourmis ont donc entrepris de traverser le canal de pétrole. On en trouve déjà des milliers en train d'accoster sur la rive intérieure du fossé.

— Attention ! crie Meffertz. Reculez-

vous !

Une mèche est allumée et, en un instant, c'est tout le sillon qui s'embrase. Mais le pétrole se consumant assez vite, la voie est bientôt de nouveau libre pour l'ennemi. Les fourmis occupent immédiatement tout espace vacant. Et tout le pétrole de la deuxième citerne n'est pas de trop pour stopper leur avancée.

A ce moment précis — mais à ce moment seulement — Gunter réalise enfin la nature réelle de son agresseur. II avait cru affronter la masse impressionnante mais anarchique de millions et de millions de fourmis ; en fait il se trouve confronté à l'efficacité surpuissante d'un seul être, un être gigantesque, intelligent, infiniment mobile et probablement doté d'une forme de conscience — un être qui a pour lui la fluidité de la multitude et l'endurance de la singularité."

(3/3)

"Les mots du commissionario lui reviennent à l'esprit : «C'est comme l'eau, mais c'est pire, car c'est indivisible.»

Maintenant, Gunter a vraiment mal au ventre ; il sait que ses chances de sauver ses hommes et de s'en sortir lui-même sont en réalité très faibles. «Il faut tout inonder, se dit-il, c'est le seul moyen. On n'aura qu'à se réfugier avec mes hommes sur la terrasse du rancho.»

Seulement pour ouvrir à fond les vannes qui laisseront les eaux du fleuve envahir l'ensemble de la propriété, encore faut-il traverser un vaste terrain désormais investi par la marabunta. Gunter connaît assez les dimensions de sa propriété pour savoir qu'il y a plus de deux kilomètres à parcourir en territoire hostile.

«Je vais tenter l'expérience moi-même, se dit-il. C'est le genre de tâche qui ne se délègue pas.»

Gunter se harnache pour la circonstance: bottes de cuir, plusieurs épaisseurs de chemises, gants qui montent très haut sur l'avant-bras. Dans le moindre interstice, il bourre des chiffons imbibés d'alcool. Enfin et surtout, il protège ses yeux derrière des lunettes hermétiques, se bouche les narines et les oreilles avec du coton, et demande à ses hommes de l'asperger d'essence. Avant qu'il ne sorte :

' Bois cela, lui dit un vieil Indien en lui présentant un breuvage amer, censé l'immuniser contre l'acide formique.

Ainsi paré, Gunter Meffertz s'élance. Il court à grandes enjambées, répugnant à toucher le sol couvert de fourmis grosses comme le pouce. Mais le chemin est long ; le coureur ne tarde pas à être recouvert d'insectes qui commencent à se glisser sous ses vêtements et à le mordre. Les premières morsures font à Gunter l'effet d'un coup de poignard, tant il espérait pouvoir leur échapper tout à fait. Mais au bout d'un moment, il finit par ne plus les sentir. L'écluse n'est pas très loin, à trois cents mètres tout au plus. Il ne faut pas qu'il se laisse ralentir par la masse de fourmis qui l'a maintenant recouvert.

Quand enfin il touche au but et tourne la manette, Meffertz a tellement de fourmis devant les yeux qu'il ne peut même pas contempler l'effet de sa man'uvre. L'eau se déverse pourtant à gros bouillons dans le canal, avant d'envahir lentement la plantation. Cette fois l'élément fourmi trouve en face de lui un autre élément à sa taille ; la marabunta ne tardera plus à battre en retraite, ou tout au moins à continuer sa progression vers des terres moins hostiles.

Cela, Gunter ne le verra jamais. Il essaie désespérément de se débattre sous le poids sans cesse croissant des fourmis, mais ses déplacements sont entravés par une masse vibrante et adhérente, qui le dévore à présent tout vif. C'est vrai : Gunter Meffertz a sauvé ses hommes ; mais il n'est plus là pour en remercier le ciel : son corps lui-même n'est plus qu'une forme sanguinolente sous la masse des fourmis guerrières. Demain, on retrouvera son squelette, blanchi, parfaitement nettoyé, le squelette d'un homme trop sûr de lui."

J'ai lu.

Ça me rappelle vaguement un épisode de Mac Gyver.

J'en ai pourtant pas vu beaucoup.

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