S’abonner au mag

Real Madrid

Qu'on le veuille ou non, le Real Madrid ne laisse pas insensible. Formé à coups de millions dans la grande tradition bling-bling d'un président omnipotent, considéré comme un dingue, ou un génie du foot marketing, c'est selon, les Merengues au coeur d'argent restent le plus grand club de la planète, avec 9 Champions League à leur actif, et le record de titres espagnols.

Le Real, on l'aime ou on le déteste. Il n'y a pas d'alternative. Si ?
Message posté par Elji haz14
On aurait aimé compter sur lui ne serait-ce qu'une 1/2 heure mais c'est pas grave, on fera sans lui.
À mon avis, Carlo alignera ce XI :

Courtois

Carvajal-Rudiger-Alaba-Mendy

Modric-Tchouameni-Kroos

Valverde-Rodrygo-Vini Jr


Real Madrid : Courtois - Carvajal, Militão, Alaba, Mendy - Modric (cap.), Tchouaméni, Kroos - Valverde, Rodrygo, Vinicius Jr.

Je penchais pour ta composition, risqué de faire débuter Militao alors qu'il revient de blessure.
Modric capitaine !
Bon match à tous , Hala Madrid !
Ma Gni Fique ! Tchouameni vient de mettre tout le madridisme dans la poche.
Excellent match de l'équipe et vu le contexte, j'apprécie encore plus la victoire. On consolide notre première place et on peut partir sereinement en trêve.
Beaucoup aimé la première mi-temps. C'est rassurant de voir les "jeunes" assumer leur rôle et prendre leurs responsabilités. A auncun moment ils n'ont paru fébriles ou submergés.
Cette passe lobée de Tchouaméni pour Rodrygo, en toute décontraction, c'était joli à voir.
Même après le but en fin de match, quand c'était un peu plus compliqué, on sentait que c'était solide.
Valverde encore au top, j'adore!
Pas étonné que l'Atleti termine à 10 même si le deuxième jaune pour Hermoso est injustifié. Ça a joué sucio des 2 côtés il faut bien l'admettre mais à ce jeu là le Real a été beaucoup plus intelligent.
Par contre, et ça m'a un peu gâché la soirée, Omar Da Fonseca en commentateur c'est juste pas possible. Insupportable.
Il parle beaucoup trop fort, il se perd dans des envolées sans queue ni tête, et il invente des expressions qui moi me font sortir du match tellement elle sont absurdes. Et puis surtout: il commente pas!
Et pourtant qu'est-ce qu'il parle!
A aucun moment il retransmet ce qui est en train de se passer sur le terrain ou dans le stade. Pas une seule fois il n'a décrit une phase de jeu du début à la fin.
Mais ça il n'est pas le seul à le faire en France.
Hier je pense que c'était la pire prestation que j'aie pu entendre de sa part.
C'en était gênant et je crois bien que même ses collègues l'ont ressenti.
Message posté par Tio Pepe
Beaucoup aimé la première mi-temps. C'est rassurant de voir les "jeunes" assumer leur rôle et prendre leurs responsabilités. A auncun moment ils n'ont paru fébriles ou submergés.
Cette passe lobée de Tchouaméni pour Rodrygo, en toute décontraction, c'était joli à voir.
Même après le but en fin de match, quand c'était un peu plus compliqué, on sentait que c'était solide.
Valverde encore au top, j'adore!
Pas étonné que l'Atleti termine à 10 même si le deuxième jaune pour Hermoso est injustifié. Ça a joué sucio des 2 côtés il faut bien l'admettre mais à ce jeu là le Real a été beaucoup plus intelligent.


Cette équipe est étonnante, je te rejoins, quelle tranquilité ! En espérant que ça dure !
J'espérais une association Rodrygo/Valverde, Ancelotti l'a fait mais je ne pensais pas que cela se passerait en l'absence de Benzema. Maintenant une question se pose , Benzema devra-t-il regagner sa place ? ( Ahahah, culture de l'instant off )
Superbe interview de Rüdiger, extraits :

Sa signature au Real Madrid : "Il n'y avait que deux options pour moi : soit je restais à Chelsea, soit j'allais au Real Madrid. L'Allemagne n'était pas une option sérieuse. Fin avril, c'est devenu vraiment concret."

A-t-il un nouveau surnom dans le vestiaire ? "Toni Kroos, c’est Toni pour nous. Le staff d'encadrement m'appelle Antonio, mes coéquipiers m'appellent Rudi. Bien sûr, ils ont déjà compris que je suis un type absolument fou."

La pression de porter ce maillot : "La force du club est énorme. De l'extérieur, on peut plus ou moins l'imaginer, mais le vivre soi-même est quelque chose de complètement différent. Ici, il s’agit de gagner. Il n'y a pas d'autre option. Quand je regarde des gars comme Luka, Toni ou Karim, ils sont tellement détendus que pour eux, même une finale est la chose la plus normale du monde."

Le coéquipier qui l'a le plus surpris : "Toni Kroos. Nous nous sommes toujours bien entendus et respectés en équipe nationale, mais nous n'avons toujours échangé que deux phrases l'un avec l'autre. Quelque chose comme "bonjour, comment ça va" et "au revoir". Peut-être parce que nous n'avions tout simplement pas assez de temps. J'ai rencontré un autre Toni Kroos au Real Madrid. Il parle très bien l'espagnol, est totalement ouvert et aussi très serviable. Il m'a soutenu pour la langue dès le premier jour et m'a proposé de m'aider pour d'autres choses à plusieurs reprises. C'est un type très détendu."

Il était le DJ dans le vestiaire à Chelsea, et maintenant ? "Non, aucune chance, Karim fait ça, c'est lui le patron (rires). Mais je peux bien vivre avec sa musique. Beaucoup d'afro beats, hip-hop & parfois reggaeton pour les Espagnols."

Le barbecue avec... son nouvel entraîneur : "Je n'étais dans notre nouvelle maison à Madrid avec ma famille que depuis quelques heures, nous faisions un barbecue, quand soudain on a sonné à la porte. J'ai ouvert et en face de moi se trouvait… Carlo Ancelotti. J’étais très surpris. Il s'est assis à notre table, a mangé avec nous et a rencontré ma famille. Très normal, très terre à terre. Il est resté deux heures et nous avons parlé de tout. Je suis honnête, je n'ai jamais vécu quelque chose comme ça, aucun coach n'a jamais fait quelque chose comme ça pour moi. Après quelques mois passés avec lui, je dois dire que lorsqu'il s'agit de traiter avec les joueurs, Ancelotti est intouchable. Don Carlo, un entraîneur de légende, collectionnait déjà les titres de la Ligue des Champions lorsque j'étais enfant. Travailler avec lui tous les jours dans le club le plus performant du monde est merveilleux."

L'aura du Santiago Bernabéu : "Rien ne fonctionne longtemps, c'est silencieux pendant longtemps, mais ensuite vient ce moment qui fait trembler le stade et fige l'adversaire. Les supporters ici ont une très bonne connaissance du football et savent exactement quand ils doivent être présents pour aider l'équipe."

Real-Chelsea en Ligue des Champions la saison dernière : "Après le but de Timo Werner (3-0), j'ai pensé : c'est fini ! Aucune autre équipe ne tenait le Real entre ses mains comme nous, dans son propre stade, dix minutes avant la fin. Ensuite, j'ai pensé que les fans allaient un peu s'en prendre à leur équipe et siffler. Je voulais même plaisanter un peu. Mais il n'y avait pas de quoi plaisanter. Les supporters criaient comme si c'était le Real qui avait marqué et pas nous. Il y a quelque chose dans l'air ici, je me suis dit. Et puis, quatre minutes plus tard, cette passe de l’extérieur de Modric, et les choses ont suivi leur cours."

Sa référence dans le monde du football : "Pepe était mon grand modèle au Real Madrid, j'ai toujours voulu être comme lui. J'avais l'habitude de regarder des vidéos de lui. J'étais encore jeune à l'époque et je voulais montrer à tout le monde que je pouvais être dur aussi. C'était dans ma tête. C'était incroyable à quel point Pepe était bon. Non seulement dans le tacle, mais aussi dans la préparation du jeu. Mais aujourd'hui, tout le monde au Real me dit qu'en dehors du terrain, il était en fait quelqu’un de très calme."

Extraits d'une interview de Miguel Gutiérrez :

Du Real à Girona : "Je suis très content d'être ici, avec l'entraîneur et les coéquipiers. Tout va bien. Ils m'ont très bien accueilli. Le Real Madrid m'a dit que je devais partir et j'ai choisi le meilleur endroit possible. Tout se passe très bien. Nous devons poursuivre sur cette dynamique."

Son influence dans le jeu : "Mon objectif est de progresser et gagner en maturité en Première division. Comme je l'ai toujours dit, je me considère comme un joueur offensif, j'aime attaquer. Je suis ici pour développer mon potentiel."

Quitter le Real Madrid : "C'est un peu difficile de quitter sa maison au début, surtout après avoir passé tant de temps à Madrid. Mais je me sens comme chez moi ici maintenant. J'ai effectué mon premier entraînement en équipe première avec Lopetegui puis j'ai eu un peu plus d'opportunités avec Zidane. C'est impressionnant, ils jouent tous très facile. Je n'ai jamais réussi à avoir cette place en équipe première, j'ai toujours fait partie du Castilla."

Raúl comme entraîneur : "Il est très exigeant comme entraîneur, j'ai énormément progressé avec lui. On a gagné la Youth League avec lui et ça m'a beaucoup fait grandir, sur le plan sportif mais aussi personnel."

Son affrontement contre le Real : "Ce sera particulier, j'espère que l'on verra un bon Girona."

Miguel s'est également prêté au jeu d'un quiz rapide.

Son idole d'enfance : "Marcelo. Parfois il m'écrit encore, il est très soucieux de moi.
Le latéral actuel qu'il regarde : "Aphonso Davies."
S'il n'était pas latéral, il serait... : "Ailier ou milieu centre"
Le club dont il a été le plus proche : "Manchester United, ils se sont intéressés à moi en Cadet."
Rüdiger, deuxième partie :

Sa façon d'être : "Depuis que je suis enfant, mes parents m'appellent 'Guerrier', parce que s'il y a un mur, je m'y heurte dix fois, mais je finis par le traverser."

Son côté impulsif : "Ça m'est arrivé au début de ma carrière, ça m'a coûté plusieurs cartons rouges à Stuttgart. Ma famille m'a sorti de là. Ils voulaient m'envoyer parler à quelqu'un, mais ce n'est pas la bonne façon de m'approcher, je n'aime pas parler de mes sentiments à des inconnus. J'ai beaucoup grandi. A cause de mon âge et grâce à mes enfants. J'ai davantage le sens des responsabilités."


Ce qui reste de l'ancien Rüdiger : "C'est comme ça que je suis. J'aime et j'ai besoin de jouer à des jeux d'esprit avec mes adversaires, en utilisant également le trash talk. C'est amusant. J'aime analyser mes adversaires et penser à la façon dont ils vont réagir si je les provoque un peu. Mais ce n'est pas comme si je choisissais quelqu'un avant chaque match, cela se fait spontanément."

Amis et rivaux : "Je ne suis pas devenu footballeur professionnel pour être ami avec tout le monde. Je sais que je ne peux pas plaire à tout le monde. Ça ne me dérange pas."

Vous considérez-vous comme un showman ? "Absolument ! En fin de compte, le football est un divertissement. Même si vous ne me verrez pas dribbler à cinq ou six gars comme Vinicius. Je fais ça différemment."

Le meilleur moment de sa carrière : "J'ai atteint mon apogée. J'apprécie vraiment cette phase. Je peux dire que je me sens complet en tant que footballeur."

La Coupe du monde avec l’Allemagne : "Bien sûr, c'est l’objectif (de la gagner). Mais je vois d'autres pays en tête pour le moment. Je ne me cache pas et je ne vais pas dire que nous sommes les grands favoris. Le statut d’outsider n'est peut-être pas une mauvaise chose. La France et le Brésil ont de très bonnes individualités. Ils sont un peu en avance sur nous. Ce qui distingue l'Allemagne, c'est notre cohésion. Si on meurt, on meurt tous sur le terrain. Cette mentalité sur le terrain."

L'organisation de la Coupe du monde par le Qatar : "La décision de leur attribuer la Coupe du monde n'a pas été prise pour les fans et les joueurs. Elle a montré que l'argent joue un rôle crucial dans le monde du football. Je considère que le débat sur le boycott doit être mené par les institutions, et non par les joueurs. Bien sûr, nous devons adopter un point de vue critique et nous l'avons fait."

Jusqu'à quand vous voyez-vous jouer ? "Je ne sais pas si je pourrai jouer jusqu'à 40 ans. Ensuite, je peux m'occuper de mes affaires et de moi-même. J'espère une longue et fructueuse carrière et après cela, je ne pense pas rester dans le milieu du football."

Que compte-t-il faire lorsqu’il quittera le football ? "Je veux redevenir un enfant et rattraper les choses que je n'ai pas pu faire. Aller au parc et m’amuser. Je ne suis jamais allé à Disneyland parce que mes parents ne pouvaient pas se le permettre, alors je ne leur ai jamais demandé. Un jour, je les emmènerai avec mes enfants."

"Félicitations au Real Madrid Basket qui remporte la Supercoupe d’Espagne après une victoire 89-83 face au Barça.

Au passage, c’est le 54e titre de Florentino Perez à la tête du club (30 avec l’équipe de Football et 24 avec l’équipe de Basket)."
Message posté par R9+Z5=KB9
"Félicitations au Real Madrid Basket qui remporte la Supercoupe d’Espagne après une victoire 89-83 face au Barça.

Au passage, c’est le 54e titre de Florentino Perez à la tête du club (30 avec l’équipe de Football et 24 avec l’équipe de Basket)."


Il est balèze ce Perez !
Le Français a été récompensé pour sa grande saison passée et a reçu plusieurs distinctions lors du gale des trophées Marca qui s’est déroulé ce mercredi.

Karim Benzema (34 ans) continue de jouir de son éternelle jeunesse, soutenue par sa qualité innée et une routine de travail méticuleuse. Ce mercredi, lors du gala des trophées Marca, l’attaquant du Real Madrid a reçu trois récompenses : le Trophée Pichichi (meilleur buteur de la saison), le Trophée Di Stéfano (meilleur joueur de la saison) et le Trophée Hyundai des Supporters.

"C'est un footballeur intelligent, intuitif et brillant", a résumé le directeur du quotidien, Juan Ignacio Gallardo, dans son discours d'ouverture d'un événement qui a été honoré par la présence des plus brillantes personnalités du sport et d'autres domaines. Dans son discours, Gallardo a consacré au Français l'une des trois minutes de l'inauguration. "Le Trophée Pichichi est le rêve de tous les enfants", a-t-il déclaré.

"Di Stéfano m'a toujours conseillé de croire en mon rêve et de profiter de chaque moment au Real Madrid. Et c'est ce que je fais dans chaque séance d'entraînement et chaque match. Je me sens très à l'aise et j'ai la chance de jouer pour le meilleur club du monde", a-t-il déclaré, en référence au Trophée Di Stéfano, celui de meilleur joueur de la saison 2021-2022, qu’il a reçu aujourd’hui.

Benzema : "Un but spécial lors de la saison dernière ? En Liga, celui face à Sevilla à la dernière minute, et en LDC, le triplé face au PSG, c’était une soirée magique."
Message posté par R9+Z5=KB9
https://real-france.fr/lenigmatique-tweet-du-real-madrid-qui-met-les-fans-en-alerte/

Ou comment susciter l'attente !


En fait c'est, je crois, le lancement d'un site web madridistas.com , dommage pour le docu en el corazón de la decimocuarta.
Real Madrid : Lunin - Carvajal, Alaba, Rüdiger, F. Mendy - Ceballos, Tchouaméni, Kroos - Vini Jr, Benzema, Rodrygo

Osasuna : Herrera - Vidal, Garcia, Garcia, Cruz - Brazanac, Moncayola, Torro - Abde, Kike, Gomez

Courtois blessé en espérant que ça ne soit pas trop grave.
Bon match Hala Madrid !
Amancio sur la pelouse du Bernabéu, quelle émotion ! Nouveau président d'honneur.
Il a changé depuis la finale de 1966, le "Sorcier galicien", où il avait intenable en pointe aux côtes de Grosso dans un 4-2-4 avec le vieux Gento et Serena sur les ailes devant Pirri et Velazquez. C'est lui qui égalise à la 70ème minute. Il cavale moins vite ajourd'hui. Une des 20 plus grandes légendes du Real: 14 saisons de présence (de 62 à 76), 9 ligas, 3 copas, 1 C1 et l'Euro 64 avec la Roja.
Longue vie au Président.
Message posté par Fred Astaire
Amancio sur la pelouse du Bernabéu, quelle émotion ! Nouveau président d'honneur.
Il a changé depuis la finale de 1966, le "Sorcier galicien", où il avait intenable en pointe aux côtes de Grosso dans un 4-2-4 avec le vieux Gento et Serena sur les ailes devant Pirri et Velazquez. C'est lui qui égalise à la 70ème minute. Il cavale moins vite ajourd'hui. Une des 20 plus grandes légendes du Real: 14 saisons de présence (de 62 à 76), 9 ligas, 3 copas, 1 C1 et l'Euro 64 avec la Roja.
Longue vie au Président.


Merci, toujours un plaisir de recevoir tes infos !

Rédiger un message