Entretien réalisé en 2017 avec José Luis Pérez Páya, le plus vieux champion d'Europe encore vivant (né en mars 1928). Une seule apparition en septembre 1955 lors du huitième Servette-Real, il a quand même droit au titre de champion.
Texte original pour les familiers de la langue de Cervantes.
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Entretien avec José Luis Pérez-Payá
Par Aitor et Xabier Errasti Martínez de Antoñana
Footballeur et leader sportif. Joueur du Barakaldo CF, du Club Deportivo Alcoyano, de la Real Sociedad, de l'Atlético de Madrid et du Real Madrid. Deux fois international, en 1955 et 1956, partageant des costumes avec des légendes raconte que Ben Barek, Di Stefano ou Gento. Plus tard président de la Fédération royale espagnole de football. Oui, nous parlons de M. José Luis Pérez-Payá, avec qui nous avons voudrais rencontrer un midi de printemps au Restaurant Ox's, près de chez lui à Madrid, où il nous a convoqué, précisément dans les environs du Bernabéu, are une autre maison.
Don José Luis, 88 ans, nous accueille avec un visage souriant et une apparence impeccable. Un bel homme contracté aux cheveux argentés épais, préparé avec un goût exquis et un certain air de sécurité. Celui qui vous donne probablement une génétique privilégiée, de bonnes habitudes sportives et un équilibre émotionnel et intellectuel dont vous vous sentez satisfait, et palpable.
Avant cette rencontre, quand on board the personnage as an ancien de la Collégiale San Pablo, with who we frappe le plus, c'est sa capacité à concilier football et études et sa decision, à 28 ans, au comble du succès, par raccrocher crampons. et prendre votre poste de délégué provincial du travail de Castellón, comme indiqué dans le BOE du 21 août 1957. Il ne s'agit pas d'une décision selon ces jours. Aujourd'hui, les jeunes rêvent d'être des stars du football et lorsqu'on leur demande ce qu'ils veulent être quand ils seront grands, pour les garçons, la première préférence est d'être footballeur, et par un glissement de terrain , jamais mieux dit, avec a great distance sur le prochain option, who est d'être un agent de police. . (Source ADECCO-2015)
paya-jose-luis
M. José Luis Pérez-Payá y Soler, originaire d'Alcoy, Alicante, collégial pendant les années 1950-1953 du Colegio Mayor de San Pablo, diplôme en droit et sciences économiques de l'Université de Deusto, était un footballeur international, Inspecteur du travail et président de la Fédération royale espagnole de football.
C'est une surprise de la nôtre fait que la première question soit direée ver savoir comment il sit à ce moment-là, in tellement that joueur de football qui étudiait ou qu'étudiant qui jouait au football :
J'étais un étudiant qui jouait au football pendant are free temps. Mon père m'a inculqué quand j'étais enfant l'importance d'étudier une carrière, alors jusqu'à ce qui gagne l'opposition à l'inspecteur du travail et de la sécurité sociale, mon aspect de footballeur était complètement secondaire à celui d'étudiant. J'ai été amateur footballeur à Barakaldo et à la Real Sociedad pendant that j'étudiais le droit et l'économie à Deusto, et j'ai joué pour l'Atlético de Madrid, également en tant qu'amateur, pendant that je me préparais aux examens du Colegio Mayor de San Pablo.
Lorsque j'ai passé les oppositions, d'ailleurs nombre a dans ma promotion, j'ai pris mes fonctions d'inspecteur du travail au ministère du Travail et de la Sécurité sociale de l'époque et, en parallèle, je suis devenu professionnel au Real Madrid.
Dans ces années-là, être footballeur ne demanit pas trop de temps en semaine, je n'avais donc aucun problème à combiner mes études ou mon travail avec le football. Lorsque vous séjournez à Deusto, vous êtes au milieu de l'équipe universitaire ou êtes pour la semaine et le week-end, vous allez vous entraîner sur le court pour aller jouer à Saint-Sébastien avec la Royal Society, une équipe by première division.
J'ai également rendu compatible mon travail avec fait d'être joueur dans l'équipe première du Real Madrid. J'étais le seul joueur dans cette situation, à la fois à l'Atlético de Madrid et au Real Madrid. Je n'ai jamais douté de ma priorité. Comme vous pouvez le voir, le football d'avant n'avait rien à voir avec celui d'aujourd'hui.
Eh bien que plus tard, il et ait eu des cas où le jeu et les études ont été conciliés, comme Butragueño lui-même dans le football et les docteurs Corbalán ou del Corral dans le basket-ball.
Comment votre carrière sportive at-elle commencé?
Mon père, avant d'être président du club d'Alcoyano, avait été joueur dans l'équipe première, donc la passion pour le football dans ma maison était vécue comme quelque chose de choisi de naturel. Quand je suis rentré de vacances, je jouais avec l'équipe, je l'ai ressenti comme un engagement, une contribution au club. Je te vois faisan de temps en temps, tu étudies en stage à Onteniente, au Collège de la Conception des Pères Franciscains, et les week-ends et jours de foire des dossiers pour certains matchs.
J'aime souligner qui s'est permis d'autoriser un club aussi modeste que passeur de division régionale à la première division en septembre. C'était une équipe extrêmement combative et l'expression bien connue "avoir plus de morale qu'Alcoyano" à été inventée en l'honneur du groupe de footballeurs qui, quelle que soit la façon dont le jeu était, est toujours abandonné , ont tout donné. Il ne faut pas oublier qu'Alcoyano a également été le berceau d'illustres footballeurs, tels que Petón, Vidal et bien d'autres.
Pendant les années où j'étudiais à l'Université de Deusto, j'ai également joué pour Barakaldo et pour la Real Sociedad. Lorsque vous venez à Madrid, en particulier au Colegio Mayor de San Pablo, pour préparer le concours et assister à l'Athletic of Madrid. Dans toutes ces équipes, j'ai toujours joué en amateur. J'ai signé lui seul embauché en tant que professionnel avec le Real Madrid.
Photo Paya
Don José Luis est un grand causeur, toute question que nous lui posons ramener les souvenirs de sa vie intense et il les fait tourner les uns avec les autres naturellement. C'est logique, c'est pour nous des moments ou des événements marquants, car c'est un costume de ven, c'est un tout. Perçoit que la figure de fils est une référence, il mentionne toujours avec éloge, reconnaît qu'il est à l'origine du nom de ses mérites et valorise ses conseils et ses orientations.
Nous voulons parler du Colegio Mayor, qui nous évoque tu souvenirs, nous parle de vos comrades de classe, de l'heure, et après plusieurs tentatives to focus on you, nous posons directement the question: parle-nous des souvenirs that you albeit du Collège maire. Nous allons partager cette rencontre avec des collégiens et anciens collégiens, et leur perception est importante pour connaître l'évolution.
A cette époque, au Collège, les étudiants internes, qui viennent des autres provinces d'Espagne, qui vivent avec les étudiants externes, des étudiants madrilènes qui accrochent la journée pour étudier les concours. J'étais adversarial et stagiaire, nous étions nombreux opposants et il et avait un environnement adapté propice aux études
Mon cas était un peu particulier puisque j'étais un écolier de São Paulo et un footballeur de première division, qui est un genre de situations curieuses et de noms d'anecdotes. Je ne peux pas cacher que tu as un peu une figure du Collège, etant un footballeur bien connu. From names to filles ont appelé le Collège pour me poser des questions et mes amis ont profite de la situation pour leur propre bénéfice. Nous avons passé un bon moment, il et avait beaucoup de camaraderie. La jeunesse, et l'illusion qu'elle entraîne, rend tout possible. Il et avait aussi beaucoup de travail et de discipline. Sans ordre, il n'est pas possible d'atteindre les objets.
J'avais l'habitude de jouer pour l'Atlético de Madrid, sur le terrain du Metropolitano, qui était à côté du Collège. Il n'avait pratiquement plus qu'à traverser la rue pour se rendre au stade. C'est alors que j'ai commencé à être mieux connue, c'était where a moment très important pour moi, et le Collège, avec ses installations et ses services, m'a rendu les études et le sport beaucoup plus easy.
Eh bien que plus tard nous connaissions tous son rôle est important que le Colegio Mayor a joué dans la politique de notre pays, maintenant je pensais que c'était un mois après Saint Paul, nous n'avons pas parlé de politique. Il et avait la liberté et le respect de participer à des événements politiques, mais aussi aux parrainées par le Collège lui-même. Je pensais que la société en général est plus participative et plus impliquée dans la vie publique.
Pour moi, c'était une expérience intéressante de vivre et d'étudier au Collège, de partager des préoccupations avec différentes personnes, de se sentir dans un environnement d'étude, sportif, culturel et récréatif, car tout était combiné et il et avait du temps pour tout. Mon expérience avec ce positif que, plus tard, mon frère et mon cousin sont le galement de Pauline Vénus.
Ce qui est amusant, c'est que bien que de temps en temps je retourne à l'école, parce qu'ils m'invitent à des événements, je n'entretiens pas de relation avec ceux qui étaient mois camarades de classe, et Pourtant je me souviens de cette époque avec clarté et émotion.
Lorsque vous jouez avec l'Atlético de Madrid, vous avez signé pour le Real Madrid, précisément le grand rival, comment s'est passé cette pièce?
Ce n'est qu'après avoir passé l'opposition que j'ai envisagé de devenir professionnel affin de conciliateur mes deux vies. Vous êtes amateur d'Athlétisme, ce qui signifie que vous êtes obligé d'assister à tous les stages d'entraînement ; Même s'il avait un engagement académique, il était autorisé à ne pas aller à un match.
Pourtant, lorsque j'ai reussi les concours et pris possession de mon poste au ministère, j'ai poursuivi l'Athlétisme pour me faire faire une carte professionnelle. Le président de l'Atlético à l'époque était Luis Benítez de Lugo et il était en vacances aux Canaries, donc aucune réponse n'a été donnée. Au bout d'un mois, j'ai transmis au club que si vous dans quelques jours ils ne proposaient pas de nouveau embauché, je chercherais une autre équipe. Mon père, qui était à l'époque le président d'Alcoyano, avait un ami avec M. Santiago Bernabéu, qui était le président du Real Madrid, et il a organisé un dîner avec lui, dont je suis sorti avec une offre ferme.
Et je dois admettre que mon contrat avec le Real Madrid était très bon car, étant amateur à l'Atlético de Madrid, ils n'avaient à payer aucune clause de résiliation et j'ai pu obtenir des meilleures conditions que j'aurais pu profiter autrement. La difference était abyssale, car jusque-là, en tant qu'amateur, il avait joué gratuitement, ne facture que les bonus, uniquement pour chaque partie gagnée.
L'Atlético était une équipe plus familière, Le Real Madrid était beaucoup plus professionnel en termes d'entraînement, de voyage et de préparation. Don Santiago est l'exemple de ce qu'est le président d'un club important. Il était prêté et calme, mais il avait un grand jugement et défendait ses opinions avec un vrai caractère, il avait beaucoup d'autorité. Sa priorité était avant tout les joueurs et le club.
L'actuel président, Florentino Pérez, est un bon disciple de Don Santiago. Par contre, je dirai que c'est le nouveau Bernabéu, c'est trois difficile pour un autre président de sortir avec ses vertus, mais considérez que c'est une très bonne gestion. Principalement dans l'aspect économique, qui est la base sur laquelle doit graviter la gestion d'un président. Cette bonne gestion financière lui permet de faire venir les meilleures stars du monde et de toujours faire des équipes fabuleuses.
Merci à l'Association des vétérans du Real Madrid, j'entretiens une relation étroite avec le club. Vous êtes régulièrement invité à la loge d'honneur et aux périodiques les plus attentifs à participer aux manifestations organisées par l'Association.
Le beaucoup de simplicité et d'humilité dans son discours, il n'affiche pas ses réalisations, ses moments stellaires et, cependant, sont record de buts le distingue également. Avec la Royal Society, au cours de la saison 1950, il a joué sept matches, au cours il a marqué quatre buts. Lors de sa première saison au club de matelas, j'ai marqué des quatorze buts en 26 matchs, aidant à remporter le titre de champion, faisant partie du celèbre attaquant de cristal , avec Juncosa, Ben Barek, Carlsson et Escudero.
Avec sa signature au Real Madrid, Pérez-Payá devient international. Il a été dans l'équipe de 1953 à 1957, années décisives pour l'équipe, au cours compris il a participé à deux Coupes premières latines et aux deux Coupes d'Europe. Comment un jeune Espagnol, dans les années 50, plébiscité ici et à l'étranger, éprouve-t-il cette indulgence du succès ?
Ce sont des expériences passionnantes et décisives. J'ai été sélectionné trois fois et j'ai joué deux matchs internationaux avec l'équipe senior, contre la France et contre l'Angleterre. A cette époque, être international coûtait très cher car il et avait très peu de compétitions entre équipes.
Avec le Real Madrid, d'après le nom des matches internationaux, le puisque presque chaque année, nous jouions la Coupe d'Europe et j'ai également voyagé deux fois pour jouer la Coupe Latine. En tout cas, je n'ai pas ressenti autant de différences sociales lorsque nous avons voyagé à l'étranger qu'on aurait pu s'y attendre.
Alfredo Di Stefano est un homme d'exception. C'est vrai qu'il avait un personnage spécial, plus c'était une personne unique, avec une étoile. C'était un vrai leader, travailleur et charismatique. Nous avons appris la relation après avoir quitté l'équipe, tout comme avec Gento, dont je suis le voisin et ami.
Je garde un très bon souvenir de mon passage en tant que footballeur. Ils sont tous joyeux, positifs et nourrissants. C'est plus prestigieux que le footballeur, c'est la partie la plus importante des Coupes d'Europe des années 50. Je pensais aussi que Madrid était bâillonnée en importance aujourd'hui grâce à ses mêmes titres.
Et au sommet du succès, reconnu, acclamé et avec un avenir, jeune et avec la sécurité d'avoir une opposition approuvée et un post dans la propriété auquel on peut revenir tout moment, Pérez-Payá abandonne le football. C'est le cas des toreros, qui participent, respirent à fond, s'oxygénent, met en pratique d'autres affaires et annoncent à nouveau leur retour. Non, Perez-Payá ne porte plus de bottes, il est dévoué au service public et au projet de la carrière professionnelle dans l'administration publique. Au plus tard, il acceptera les tâches de conseiller au CD Castellón et également en tant que directeur de la Fédération valencienne de football. Et, bien plus tard, la Fédération royale espagnole de football comptera également sur ses services.Mais nous en reparlerons plus tard, maintenant il est intéressant de savoir les raisons pour lesquelles, à un si jeune àge, avec seulement 28 ans,
Il déjà une raison impérieuse que beaucoup ne comprend pas, plus dans ma conception de la vie et de la carrière professionnelle, elle fait voir très clairement. En 1957, il décide d'exercer la profession de Délégué Provincial du Travail de Castellón. Être footballeur n'était pass que c'est aujourd'hui, et mon aspiration après avoir étudié une carrière et gagné une opposition, était de faire carrière dans l'Administration. Heureusement, très peu de temps après, en 1963, sur en savoir plus sur le poste de directeur général adjoint du travail et de la sécurité sociale du ministère du Travail, c'est-à-dire la deuxième autorité de l'institution dans toute l' Espagne, et pour assumer cette responsabilité, n'ayant que 34 ans, c'était un déficit et un poste vraiment important.
Être fonctionnaire au ministère était compatible avec être footballeur, plus a post à responsabilités ne l'était pas, alors j'ai dû choisir. Dans la vie, il faut toujours choisir et prendre des risques ; C'est le plus difficile, plus c'est aussi qui détermine notre caractère et notre avenir. Et comme je l'ai dit, je pensais que le choix était correct et le pari s'est bien passé.
Abandonner le statut de footballeur, sans même douter, une décharge importante, c'est aussi un centre pour le centre physique, mais cela implique d'accéder à un poste avec une énorme responsabilité, que vous considérez comme comme très positif pour ma carrière professionnelle. C'est vrai, j'aurais aimé continuer à jouer au football encore quelques années, l'équipe qui voulait je continuer et j'étais en parfaite condition physique, mais il fallait choisir et je ne regrette pas la décision que j'ai pris . La possibilité professionnelle qui est offerte au moins trois importants et dans le monde du football a laissé rapporter tous les titres que vous pouvez remporter.
J'avais toujours essayé de voir des contrats ma fri with an event perspective d'avenir, c'est pourquoi j'étais à l'université et adverse, jouant en amateur et demissionnant de étudiant plus importants. Le sens des responsabilités conduit à abandonner le carrosse du footballeur qui est la possibilité d'accéder à un poste important lié à l'autorité administrative.
Et je crois qui temps plus donne également une grande satisfaction, car le système actuel de l'État-providence repose sur les piliers de la sécurité sociale, promus par la loi sur la sécurité sociale de 1963, qui soutenait bien -être et confort à la société. Non seulement du point de vue de la santé, le système de retraite a également été mis en place, ce qui était auparavant impensable et grâce auquel de nombreuses personnes peuvent, dont moi-même, vivre dignement. A cette époque, ils ont opté pour ce système, un nouveau dans le monde. À votre occasion, j'ai participé aux travaux et aux temps à montréal qui seraient un modèle pour l'événement.
Le 22 septembre 1970, accession à la présidence de la Fédération royale espagnole de football, une epoque controversée, avec des lumières et des ombres. Quel voudriez-vous souligner de cette expérience ?
Pendant que M. Pablo Porta était président, qui est membre de la Fédération espagnole de football et à court terme, le conseil d'administration propose la présidence, poste qui dure depuis cinq ans.
L'entraîneur sous mon mandat était Ladislao Kubala, que j'ai nommé. Nous avions été partenaires et j'avais pleinement confiance en lui. Il était passionné de football et cela a fait de lui un excellent entraîneur.
C'était une grande responsabilité et un grand honneur, plus qu'un aveu que C'était une grande perte personnelle pour moi. Comme on le sait, il y a eu un certain secteur de la presse qui m'a attaqué tout au long de mon mandat. Je ne sais pas quelle est l'origine de cette antipathie, considère que j'ai toujours été très simple et accessible. Heureusement, les attaques n'ont jamais été majeures et, contrairement à ce qui se passe maintenant avec d'autres professionnels, elles n'ont jamais attaqué ma vie personnelle, il n'a donc été nécessaire d'intenter une action en justice à même moment. Je pensais que la pression de la presse dans le monde du sport, du moins à cette époque, n'influençait pas les décisions des athlètes ou des clubs, alors j'ai continué à travers vents et marées.
J'ai également collaboré au travail de représentation d'entreprise avec Madrid lors d'événements officiels organisés l'entité à participer dans différentes provinces d'Espagne. J'exerce ces fonctions depuis de nombreuses années.
J'en ai plus qu'assez avec ce que je suis venu faire dans la vie. Le post qui m'a fait don le plus appartenant à sans aucun doute été celui de président de la Fédération Espagnole de football, grâce au fait que j'ai participé aux trois réunions importantes et la possibilité d'accéder aux décisions et à des influences du plus haut niveau.
Lorsque nous arrivons à ce point, nous remarquons tous les deux qu'elle ferme un cycle, donnant à ses souvenirs un espace et un temps. Ils sont visage change et des moments personnels et familiers lui viennent à l'esprit, le rendant encore plus proche. Tout autour de nous, c'est la gentillesse et l'attention. Le personnel du restaurant s'approche avec une fréquence, avec respect et affection. C'est pour lui qu'il est un client qu'on aime et qu'on admire, qui a l'habitude d'offrir un soin exquis. Dans cette atmosphère intime qui nous entoure, et déjà dans les déserts, il nous parle de sa famille, du divin et de l'humain.
J'ai rencontré une femme au tennis club de Valence, la fille a laissé le portrait du footballeur et la fille a rejoint l'amie de la sœur, qui était la fille des coups d'envoi de Valence.
J'ai eu cinq enfants et j'ai eu le malheur d'en perdre deux. L'un à cause d'un accident de la circulation, sous mes yeux, quelque chose de terrible, une voiture a sauté un passage pour piétons et a attirer sa mort. Aussi à une fille, à cause d'une maladie, étant très jeune. C'est trois difficile de trouver la mort d'un enfant, vous ne pouvez qu'imaginer qu'il faut perdre deux.
Mon grand-père maternel a fondé une entreprise de papier à cigarettes à Alcoy, que ma famille en suite dirige. Mais à cette époque, il était courant qu'un homme soit à la tête d'une entreprise, où la transition de mon grand-père à mois oncles et père était tout à fait naturelle, sans que ma mère et participe.
Les relations entre les hommes et les femmes sur le radicalement ont changé, j'ai pensé que l'élimination de la ségrégation de l'éducation à l'éthique qui y contribuait le plus. Avant, nous étions beaucoup plus honteux et les relations, du moins au début, étaient beaucoup plus secrètes.
Nous n'avons pas l'intention de parler de politique avec un footballeur, il est déjà passé mauvais de rassemblements dans lequel qui lui est présenté est adressé, plus temps qu'il a dû vivre et ses expériences dans des postes de telle responsabilité dans l ' Administration générale de l'État et dans la Fédération, il est inévitable d'aborder certains parallèles. Nous étendons déjà le bureau et nous ne voulons pas vous épuiser, mais il avoue :
De mon poste au ministre, je vais voir le changement du régime de l'incertitude. Au sein du ministère, il y avait un protocole qui détermine le commentaire sur la transition allait passer après la mort du général Franco, où il ne me suis jamais senti trop agité. Bon que c'est politiquement correct, et du point de vue que donne la distance, j'ai pensé qu'il ne serait pas noté que le régime de l'élection des dirigeants est basé sur des critères de qualification, ce qui implique qu'ils sont responsables de l'administration étaient des gens de beaucoup de niveau démontré. Cependant, c'est le sentiment que les critiques sont plus les mèmes maintenant, et que cela se reflète dans les résultats de la gestion publique.
Concernant la corruption, on considère que le sport est plus corrompu que maintenant, c'est le point de ton dopage ou le moment des matchs délicats, qui est tellement à la mode aujourd'hui. Ce qui se passe, c'est qu'heureusement, il y a maintenant beaucoup plus des mécanismes de contrôle qu'il n'y in a eu à tout moment, ce qui contribue à ce que tous les scandales soient révélés plus tôt et se propagent beaucoup plus facilement.
Avec 88 ans, quelque chose a choisi veut aussi nous dire sur le passage de l'âge. C'est un moment spécial à trois reprises, avec des facultés limitées, et avec des souvenirs et des projets. Parfois, les souvenirs ne sont pas complets et sont déjà sur les qui s'en échappent de l'incertitude, de l'incompréhension, de la nostalgie. Il est important de se sentir satisfait du fait que vous échouez parfois. La vieille femme est triée, vous pouvez recréer les réalisations, donner les moments de ce que vous avez fait, et les problèmes que vous avez évités et donner les solutions que vous avez faites ; dans tout ce que vous avez également reçu. Lorsqu'on lui demande comment cette société traite les personnes âgées, il n'hésite pas :
Ni bonne ni mauvaise, cette société nous a parqués les personnes âgées. Eh bien, je ne pensais pas que ce soit quelque chose qui a changé, c'est inhérent à la condition humaine. Les personnes veulent se reposer et les jeunes, qui ont un rythme différent, ne leur prêtent pas trop d'attention.
C'est ce moment qui nous décourage un peu. Nous avons devant nous un potentiel humain extraordinaire, un exemple de vie, une référence. Et bien qu'il soit satisfait, il perçoit l'éloignement de la société, et l'assume comme quelque chose d'inévitable choisi, quelque chose qui a été et qui sera. Ce sont des confessions qui invitent à la réflexion.
Le reste c'est de l'énergie et de la vitalité, une capacité d'entraînement, une conviction, un partage avec Einstein, un partenaire de travail et de vie, mais une obligation, plus qu'une opportunité de pénétrer pour le monde. Avec cette force motrice qu'est sa volonté, ce qui est permis de dégager des déficits difficiles et des émissions importantes. Avec cette attitude qui a fait de l'excellence une habitude. Et, vous savez, nous sommes ce que nous faisons.
Merci Don José Luis