C'est ici qu'on parle de la belle famille en vacances avec nos cousines de 14 ans un peu trop précoce pour nos yeux?
Oula calmos !
Ce matin j’étais dans un hôpital militaire. Je suis rentré comme papa dans maman, ni pass sanitaire ni test, wouèlou.
La petite secrétaire rouquine dans son uniforme, ça fait toujours son effet…
Ce matin j’étais dans un hôpital militaire. Je suis rentré comme papa dans maman, ni pass sanitaire ni test, wouèlou.
La petite secrétaire rouquine dans son uniforme, ça fait toujours son effet…
Ils sont comme ca, dans l'intégration ces gens la. Pi si tu viens avec une boulaouane à la main c'est sur qu'ils allaient pas te laisser filer avec chez les chasseurs.
Les rouqmoute c'est à double tranchant je trouve.
Vu que ça bloque sur l'article consacré à Charlie Watts, je viens juste poser ma crotte mais je referme tout de suite derrière moi, ne vous inquiétez pas, le temps de répondre à Manu33 qui est "désolé de me décevoir" concernant le film d'Oliver Stone (tuerie de mixage, au passage).
Donc Manu33 le roadie, un biopic ne serait pas un documentaire ? Oliver Stone ne serait pas un réalisateur revendiquant la licence artistique ?
Et en 30 ans (!), et notamment avec sa ressortie pour Cannes, de l'encre n'aurait pas coulé à ce sujet ?
Pitié...
L'idée, comme celle des tubes, c'est d'évoquer comment tu rencontres un artiste.
Tu te fais chopper au détour d'une radio, chez un pote ou via une autre oeuvre.
Ou par tes vieux.
Ou parce que t'es un pédant qu'a lu un article de R&F (avec l'abonnement de ton daron)qui encense untel alors ça ne peut qu'être bien, n'est-ce pas ? Et ce genre de profil là donne rarement quelque chose d'intéressant. Et encore moins des goûts très sûrs.
Un peu comme ceux sortant des arguments d'autorité à deux balles style "Ray Manzarek l'avait lui même dit lors d'un question réponse à la fin d'un de ses concerts que je suis allé voir."
Que Manzarek n'aimait pas le film, c'est très connu. Peut-être aussi parce qu'il n'aimait pas trop le portrait fait de lui d'ambitieux et de cérébral face au génie éthérée Morrison. Après, c'est de la dramaturgie. Ca doit être énervant quand ça t'arrive mais cette opposition de caractères enrichit le film.
Et j'espère quand même que Manzarek a relativisé, vu que cette porte (huhu) ouverte par Stone sur l'univers du groupe a prolongé la magie. Ou alors, ça ne fait que confirmer le caractère borné et imbu de lui-même décrit dans le film.
Perso, les pédants dans ce genre m'ont bien fait rigoler au collège quand, fan de Queen ("groupe commercial sans intérêt" et puis "groupe de pédés", bah oui, c'était écrit dans Les Inrocks), Metallica a sorti sa reprise de Stone Cold Crazy ou quand Kurt Cobain parle de Freddie Mercury jusque dans sa lettre d'adieu.
Même si rien ne valait un Great King Rat ou Fairy Feller's Master Stoke pour ceux qui ne connaissaient que les Greatest Hits ("c'est Queen ça ???").
Pour revenir à Jim Morrison, c'était quelqu'un de dépressif. Peut-être bipolaire. Et portant en lui une souffrance non feinte qui faisait mal à sa confiance en lui : pas de volonté d'être chanteur, n'allant pas au bout de ses études de cinéma, beaucoup plus alcoolique autodestructeur qu'expérimentateur de drogues hippies-cool.
Sauf qu'au Ed Sullivan Show, comme vu dans la biopic, il n'hésite pas à dire au vioque et son émission d'aller se faire voir en chantant ce qu'il veut.
Au contraire d'un certain Mick Jagger, rebelle pour mère au foyer.
Bref... Pas merci pour ton intervention inutile.
Un peu comme "Police était très influencé reggae". Non ??? Ya un jeu de mot dans Regatta in Blanc ? Ca alors ! Et le premier guitariste est corse ? Incroyab' !
Voilà, désolé d'avoir pollué ce topic si jamais le commentateur donneur de leçons n'intervient pas par ici.