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Le PMU du coin

Parce que la politique c'est important. N'est-ce pas?

Zé Fuba a écrit

Je suis pas d'accord, ce qui fait le différence en sortie d'école, et en arrivée sur le marché du travail, c'est surtout la quantité et la qualité des stages que tu as réalisé et pas nécessairement le contenu des classes et ce que tu y as appris.

Oui, et ? Il y a des stages, et même des cursus complets en alternance, dans les IAE aussi. La différence est surtout dans ce qu'évoquait Sebek, le réseau d'alumni.

barrabravo a écrit

Oui, et ? Il y a des stages, et même des cursus complets en alternance, dans les IAE aussi. La différence est surtout dans ce qu'évoquait Sebek, le réseau d'alumni.

Le réseau d'alumni ça vaut pour HEC... ça s'arrête très vite pour être au niveau néant dans les écoles de seconde zone.

T'as quand même moins de stages en fac qu'en école où on te pousse vraiment à cumuler 1 an ou 2 de vraie expérience avant d'arriver sur le monde du travail.

Zé Fuba a écrit

T'as quand même moins de stages en fac qu'en école où on te pousse vraiment à cumuler 1 an ou 2 de vraie expérience avant d'arriver sur le monde du travail.

Comme dans un IAE en fait.

Si on commence par évaluer le financement des filières par leur coût par élève, on peut fermer le lycée hein...

Puis l'idée du calcul purement gestionnaire, m'est avis qu'il est complètement con.

Si on voulais le faire, déjà faudrait commencer par discriminer (le calcul, pas la gueule des boutonneux) ceux qui vont au bout de leur cursus et ceux qui abandonnent en première année, en seconde après avoir réussi péniblement la première après une, deux ou trois occurrence, etc.

Ensuite le problème décrit, c'est pas qu'il ne trouve pas de taf, c'est qu'il n'en trouve pas qui soit conforme à leurs attentes.

Orienter les budget vers l'innovation, c'est bien mignon, mais faudrait qu'il y ait des débouchés dans un pays fortement désindustrialisé, on transvaserait le tout des humanités aux filières qui conviennent au patronat qu'on finirait par avoir le même problème.

Puis si c'est pour chier sur la socio et se plaindre qu'on fasse de même avec les écoles de commerce...

Après on peut continuer à vouloir que l'école soit un centre de dressage, et quantifier sur des bases toutes pétées, ça marche tellement bien.

Zé Fuba a écrit

Le réseau d'alumni ça vaut pour HEC... ça s'arrête très vite pour être au niveau néant dans les écoles de seconde zone.

T'as quand même moins de stages en fac qu'en école où on te pousse vraiment à cumuler 1 an ou 2 de vraie expérience avant d'arriver sur le monde du travail.

Ouais, ça se branle très fort sur les alu parce que c'est appartenir au groupe puis ça ajoute au prestige des dites grandes écoles et de leurs élèves, mais réseauter ça dépasse ce cadre et bien souvent, genre la plupart du temps, il est « pré-construit ».

Zé Fuba a écrit

Le réseau d'alumni ça vaut pour HEC... ça s'arrête très vite pour être au niveau néant dans les écoles de seconde zone.

T'as quand même moins de stages en fac qu'en école où on te pousse vraiment à cumuler 1 an ou 2 de vraie expérience avant d'arriver sur le monde du travail.

Le réseau alumni ça fonctionne aussi pour Polytechnique ceci dit.

Zé Fuba a écrit

"Moi ça me pose pas de problème que des gens veuillent étudier"

On empêche personne de lire des livres.

Mais tu vois le coût d'un élève en fac est de 12 a 15 000€ par an. Mais vu que je suis pas un salaud je vais t'admettre que la plus part de ces coûts sont fixes et n'ont rien à voir avec le cout par étudiant mais on a malgré tout forcément une variabilité de ce coût car la mise à l'échelle impose pas mal de choses et on doit être sur un bon 2000€ par élève au bas mot, sans compter le gain de qualité des élèves restant du fait de réduire les effectifs.

J'pense que c'est justifiable d'un point de vu citoyen, payant des impôts au sens large, de "challenger" la pertinence de certains cursus, ou du moins leur nombres de place ou budget.

A la limite, à cout-0, qu'on redirige les budgets des facs "humaines" vers les sciences durs pour soutenir l'innovation.

Investir davantage dans les sciences dures, c'est insuffisant. Si tu veux que ça se transforme en opportunités, développement, il est nécessaire de créer un environnement plus favorable pour les entreprises. Et la France et l'UE traînent des boulets de ce point de vue. En Europe, t'as la règlementation avant même d'avoir l'idée.

Tes cerveaux, tes ingénieurs, se barrent (ou se barraient avant le grand blond à la cravate rouge) aux US (d'ailleurs à l'origine, le système universitaire US a été développé pour fabriquer des ingénieurs et rattraper le retard sur l'Europe, mais aujourd'hui en rapport à leur population, les USA en sortent peu).

barrabravo a écrit

Je pense que le sujet des filières / études "plaisir-sans-débouchés-concrets" (sciences humaines pour généraliser) et le sujet de la surproduction d'élites (dz bac+5, là aussi pour généraliser) dans des filières qui ne sont pas des filières "plaisir" (notamment "sciences" de gestion), sont 2 sujets différents.

Sur l'échelle de l'inutilité, l'étudiant en arts se situe où ?

Polstergeist a écrit

Sur l'échelle de l'inutilité, l'étudiant en arts se situe où ?

Au-dessus de l'étudiant en éco, évidemment.

barrabravo a écrit

Au-dessus de l'étudiant en éco, évidemment.

Enfin, en-dessous.

barrabravo a écrit

Enfin, en-dessous.

Hum, l'intelligence spatiale est associée à de bonnes capacités en maths.

On comprend mieux le fameux 360 degrés.

Polstergeist a écrit

Hum, l'intelligence spatiale est associée à de bonnes capacités en maths.

On comprend mieux le fameux 360 degrés.

J'avais pas désactivé la fonction "Rotation Ecran" de mon téléphone, je visualisais l'échelle à l'envers !

Polstergeist a écrit

Sur l'échelle de l'inutilité, l'étudiant en arts se situe où ?

Très loin du master mathématiques et informatique.

Polstergeist a écrit

Sur l'échelle de l'inutilité, l'étudiant en arts se situe où ?

Faut bien qu'ils s'occupent quelques années en attendant l'héritage.

Blackadder the second. a écrit

Faut bien qu'ils s'occupent quelques années en attendant l'héritage.

Un peu de respect pour notre camarade, qui s'est abîmé les cheveux à force de colorations douteuses, je te prie.

Zé Fuba a écrit

Le déferlement de haine dès qu'on parle des écoles de commerce.

On n'a pas parlé des école de communication encore

Une école pour apprendre à communiquer.... les gens font quoi alors entre 0 et 18 ans avec leurs congénères ?

Ils les enculent, s'enculent ou un délicieux mélange des deux à la fois ? Sans jamais communiquer ?

Polstergeist a écrit

Un peu de respect pour notre camarade, qui s'est abîmé les cheveux à force de colorations douteuses, je te prie.

Mauvaise langue. Tu ne me gâcheras pas la dégustation de mon injera.

getFreeman a écrit

On n'a pas parlé des école de communication encore

Une école pour apprendre à communiquer.... les gens font quoi alors entre 0 et 18 ans avec leurs congénères ?

Ils les enculent, s'enculent ou un délicieux mélange des deux à la fois ? Sans jamais communiquer ?

Moi ce que j'aimerais savoir, c'est ce qui motive à aller là dedans, une école de commerce, ou de management (en sachant qu'on a l' un des pires de l'OCDE, si ce n'est le pire, imagine tu vas dans un cursus où on est notoirement inefficient, en plus d'avoir une complexion psychologique disons assez particulière)...

Quelle rapport au monde, à la société tu peux avoir quand tu choisis un truc pareil ?

Non parce qu'on se moque des étudiants en socio, mais au moins je vois le truc, mais une école de commerce ou de management ?

Les consultations en psychiatrie devrait être offertes, moi j'dis...

Georges Randal a écrit

Moi ce que j'aimerais savoir, c'est ce qui motive à aller là dedans, une école de commerce, ou de management (en sachant qu'on a l' un des pires de l'OCDE, si ce n'est le pire, imagine tu vas dans un cursus où on est notoirement inefficient, en plus d'avoir une complexion psychologique disons assez particulière)...

Quelle rapport au monde, à la société tu peux avoir quand tu choisis un truc pareil ?

Non parce qu'on se moque des étudiants en socio, mais au moins je vois le truc, mais une école de commerce ou de management ?

Les consultations en psychiatrie devrait être offertes, moi j'dis...

Bah justement, les étudiants en socio galèrent 10 ou 15 ans à trouver du taff, finissent par ouvrir leur cabinet, et ils soignent les burnouts (berreunaoutes pour TottiChianti) des commerciaux, marketeux et autres managers. La majorité d'entre-eux se rend compte qu'il vaut mieux ouvrir une ferme écolo dans un endroit paumé en France pour se reconnecter avec la nature.

Encore un circuit fermé.

Polstergeist a écrit

Sur l'échelle de l'inutilité, l'étudiant en arts se situe où ?

Comme un anus c'est utile.

J'ai bossé avec un gars qui a fait les beaux arts pour faire de beau design sinon tu dessines des daubes utilitariste comme HLM comme prétend le faire l'orange.

Il y a aussi la restauration de tableau. C'est pas forcément si inutile que ça.

gil morrissao roland larque a écrit

Comme un anus c'est utile.

J'ai bossé avec un gars qui a fait les beaux arts pour faire de beau design sinon tu dessines des daubes utilitariste comme HLM comme prétend le faire l'orange.

Il y a aussi la restauration de tableau. C'est pas forcément si inutile que ça.

Bouuuh ce serait tellement incroyable.

Je comprends que dans ton entourage, avoir fait des études équivaut à être astronaute chez le commun des mortels......

Se poser la question de l'utilité des étude d'arts et d'histoire de l'art, on y est.

Sacré retour aux années 30.

Georges Randal a écrit

Moi ce que j'aimerais savoir, c'est ce qui motive à aller là dedans, une école de commerce, ou de management (en sachant qu'on a l' un des pires de l'OCDE, si ce n'est le pire, imagine tu vas dans un cursus où on est notoirement inefficient, en plus d'avoir une complexion psychologique disons assez particulière)...

Quelle rapport au monde, à la société tu peux avoir quand tu choisis un truc pareil ?

Non parce qu'on se moque des étudiants en socio, mais au moins je vois le truc, mais une école de commerce ou de management ?

Les consultations en psychiatrie devrait être offertes, moi j'dis...

Bah en première année d'école de commerce, je peux te dire qu'on aborde par exemple le droit associatif et qu'on comprend à quel point il y est facile de détourner du pognon. C'est pas négligeable dans une vie.

Voila, chambrer Barra, c'est rappeler les heures les plus sombres de l'Histoire.

Avec un peu de chance, on aura droit à Arno Klarsfeld en patin à roulettes.

Sebek a écrit

Bah justement, les étudiants en socio galèrent 10 ou 15 ans à trouver du taff, finissent par ouvrir leur cabinet, et ils soignent les burnouts (berreunaoutes pour TottiChianti) des commerciaux, marketeux et autres managers. La majorité d'entre-eux se rend compte qu'il vaut mieux ouvrir une ferme écolo dans un endroit paumé en France pour se reconnecter avec la nature.

Encore un circuit fermé.

Ton troll serait plus efficace avec un peu de cohérence... La socio forme à soigner des burnouts ? T'aurais dû dire psycho, à la limite.

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