Parce qu'il n'y a pas que "We Are The Champions" ou "I Will Survive" dans la vie. Ici on parle de pop, de rock, de hip-hop, de nü-metal, de ce que vous voulez.
Pour la fête de la musique, je souhaite inviter les « black live mes couilles » et toutes ces grosses merdes de suprémacistes, quelque soit leur type de poil, à bien aller se faire méchamment détruire la rondelle. Quelle bande de balringues, tous...
So come on Jack be nimble, Jack be quick
Jack Flash sat on a candlestick
'Cause fire is the devil's only friend
Oh and as I watched him on the stage
My hands were clenched in fists of rage
No angel born in Hell
Could break that Satan's spell
And as the flames climbed high into the night
To light the sacrificial rite
I saw Satan laughing with delight
The day the music died
Excellente celle là aussi, je la connaissais pas. C'est fou comme ces instrus utilise vraiment les kick de bass comme de la grosse caisse. A la fin de Heart Attack, on dirait vraiment une double pédale comme l'utiliserais un groupe de métal.
Nitin Sawhney - Homelands (Live From The Royal Albert Hall, 2019)
En fait au lieu de vouloir jouer 15 min pour me mettre dans l'ambiance, j'aurais mieux fait de laisser tonton Gustavo me bercer.
Je ne serais pas en train de me battre avec des zombies au plafond.
En fait au lieu de vouloir jouer 15 min pour me mettre dans l'ambiance, j'aurais mieux fait de laisser tonton Gustavo me bercer.
Je ne serais pas en train de me battre avec des zombies au plafond.
Pour se reconnecter avec les étoiles, la terre, la mer, les nuages...
Je pense que personne n'écoute ce genre de musique ici, moi non plus d'ailleurs mais n'empêche je suis en trance depuis 2 jours!
Je suis pas sur de me reconnecter avec ton morceau mais j'ai apprécié quand même.
Par contre ton post me rappelle que je voulais vous montrer un documentaire musical sur Molécule.
Ce musicien français a la particularité de faire de l'électronique à base de Field Recording, barbarisme définissant le fait d'enregistrer des sons de la vraie vie.
Je l'avais découvert sur son album précédent qui partait de son expérience sur un cargo traversant le globe.
Ici, il est suivi dans sa quête de son polaire pour -22,7c, son avant-dernier album.
Je trouve que le concept de ne pas avoir de monologue ou d'entretiens à part au tout début de l'objet et son arrivée chez les inuits laisse grandement respirer l'ensemble et on est gagné par la beauté des images et du rythme..qui m'ont fait l'effet que tu décris.
Vu en concert et assez déçu du truc.
J'avais déjà voulu le voir une fois et concert annulé au dernier moment (pas de sa faute).
Le problème avec les gros noms du jazz, c'est que souvent tu viens pour le mec et lui fait sa tête d'affiche.
Il est là mais joue le minimum pour montrer les jeunes qui sont avec lui.
Génial pour eux, ça permet de découvrir mais du coup tu restes sur ta faim.
ah flûte, c'était il y a longtemps? il est plus tout jeune Ahmad.
du coup https://youtu.be/Qe8HMHPlZoM Valdès et Garrett pour te réconcilier avec les grands noms?