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La bande-son

Parce qu'il n'y a pas que "We Are The Champions" ou "I Will Survive" dans la vie. Ici on parle de pop, de rock, de hip-hop, de nü-metal, de ce que vous voulez.

Torless a écrit

Concert de Godflesh au Sonic Rites Festival. La qualité audio est plaisante pour du youtube. https://www.youtube.com/watch?v=3GBNWD18gzc

(Et de la techno : Rrose, Lucy - Inner Membrane https://rrose.bandcamp.com/track/inner-membrane)

Encore une fois merci, j'ai pris le temps de l'écouter posément. Vraiment dantesque.

('tain il a pris du bidou Justin)

Dans un style plus EBM, un live de qualité :

Front Line Assembly - Live Wired 2.0

https://www.youtube.com/watch?v=nu0T0mhA…=frontlineassemblyTV

(ton son tech me rappelle mes vieilles amours avec Richard D. James)

Doc Savage a écrit

Encore une fois merci, j'ai pris le temps de l'écouter posément. Vraiment dantesque.

('tain il a pris du bidou Justin)

Dans un style plus EBM, un live de qualité :

Front Line Assembly - Live Wired 2.0

https://www.youtube.com/watch?v=nu0T0mhA…=frontlineassemblyTV

(ton son tech me rappelle mes vieilles amours avec Richard D. James)

Ce concert me plait beaucoup. Difficile de ne ressortir qu'un seul morceau. J'ai une admiration pour Godflesh, le travail fait par les deux membres, leur utilisation des samplers. Broadrick a un talent fou et possible que son petit ventre vienne de ses sorties électroniques. C'est le musicien qui aurait pu être l'illustration du foisonnement des années 90 et qui se perpétue jusqu'à aujourd'hui. Il arrive à faire de la musique industrielle de différentes façons, sans jamais se tarir, et explorer d'autres choses. Godflesh est immense. Techno Animal insistait plus sur le côté rap/hip-hop/break. L'album de Greymachine est une réussite. J'avais apprécié Council Estate Electronics. JK Flesh, je n'en parle même pas. Il repousse les limites de la distorsion avec Exit electronics (son album believe anything, believe everything est fascinant). Ses collaborations ont toujours quelque chose (celle avec Shapednoise pourrait fissurer du béton, celles avec Nothing sont agréables).

Et puisque tu mentionnes Richard D. james, Godflesh a samplé un morceau de caustic window. J'ai eu plus de mal avec aphex twin, notamment pour suivre à rebours ses sorties. C'est un beau bordel mais il y a des belles choses dans ce bordel.

J'ai écouté rapidement le live, je me le réserve. J'ai juste voulu entendre body count. La version live est une boucherie. Je ne m'attendais pas à l'entrée de la guitare. Donnez-moi des harmoniques. C'est assez saisissant d'entendre toute l'épaisseur que peut prendre FLA en live.

Torless a écrit

Ce concert me plait beaucoup. Difficile de ne ressortir qu'un seul morceau. J'ai une admiration pour Godflesh, le travail fait par les deux membres, leur utilisation des samplers. Broadrick a un talent fou et possible que son petit ventre vienne de ses sorties électroniques. C'est le musicien qui aurait pu être l'illustration du foisonnement des années 90 et qui se perpétue jusqu'à aujourd'hui. Il arrive à faire de la musique industrielle de différentes façons, sans jamais se tarir, et explorer d'autres choses. Godflesh est immense. Techno Animal insistait plus sur le côté rap/hip-hop/break. L'album de Greymachine est une réussite. J'avais apprécié Council Estate Electronics. JK Flesh, je n'en parle même pas. Il repousse les limites de la distorsion avec Exit electronics (son album believe anything, believe everything est fascinant). Ses collaborations ont toujours quelque chose (celle avec Shapednoise pourrait fissurer du béton, celles avec Nothing sont agréables).

Et puisque tu mentionnes Richard D. james, Godflesh a samplé un morceau de caustic window. J'ai eu plus de mal avec aphex twin, notamment pour suivre à rebours ses sorties. C'est un beau bordel mais il y a des belles choses dans ce bordel.

J'ai écouté rapidement le live, je me le réserve. J'ai juste voulu entendre body count. La version live est une boucherie. Je ne m'attendais pas à l'entrée de la guitare. Donnez-moi des harmoniques. C'est assez saisissant d'entendre toute l'épaisseur que peut prendre FLA en live.

Je suis assez fan du parcours de Justin, depuis ses débuts avec Napalm Death. C'est d'ailleurs un des premiers à avoir ramener le son electro du metal à l'époque où les deux ne semblaient pas être compatibles. Je t'avoue qu'avant que tu ne me remettes ça sous le bec, je n'avais pas écouter Godflesh depuis loooongtemps. Je note JK Flesh au passage, j'aime bien les metallos qui se mettent à l'electro, y'a toujours des sonorités qui me parlent.

Bon, côté Aphex, y'a à boire et à manger, faut savoir chercher et c'est parfois désespérant avec toutes ses prod... Effectivement la version live de "Body Count" est une putain de boucherie. Une belle batterie metal pur sucre au passage, et les riffs de Jed Simon sont super bien posés.

Doc Savage a écrit

Je suis assez fan du parcours de Justin, depuis ses débuts avec Napalm Death. C'est d'ailleurs un des premiers à avoir ramener le son electro du metal à l'époque où les deux ne semblaient pas être compatibles. Je t'avoue qu'avant que tu ne me remettes ça sous le bec, je n'avais pas écouter Godflesh depuis loooongtemps. Je note JK Flesh au passage, j'aime bien les metallos qui se mettent à l'electro, y'a toujours des sonorités qui me parlent.

Bon, côté Aphex, y'a à boire et à manger, faut savoir chercher et c'est parfois désespérant avec toutes ses prod... Effectivement la version live de "Body Count" est une putain de boucherie. Une belle batterie metal pur sucre au passage, et les riffs de Jed Simon sont super bien posés.

  • ramené

Frenchies like (il est en vacances le pauvre)...

Quel est votre slacker préféré ?

- Stephen Malkmus

- J Mascis

- Kurt Vile

- la réponse D

Doc Savage a écrit

Je suis assez fan du parcours de Justin, depuis ses débuts avec Napalm Death. C'est d'ailleurs un des premiers à avoir ramener le son electro du metal à l'époque où les deux ne semblaient pas être compatibles. Je t'avoue qu'avant que tu ne me remettes ça sous le bec, je n'avais pas écouter Godflesh depuis loooongtemps. Je note JK Flesh au passage, j'aime bien les metallos qui se mettent à l'electro, y'a toujours des sonorités qui me parlent.

Bon, côté Aphex, y'a à boire et à manger, faut savoir chercher et c'est parfois désespérant avec toutes ses prod... Effectivement la version live de "Body Count" est une putain de boucherie. Une belle batterie metal pur sucre au passage, et les riffs de Jed Simon sont super bien posés.

Si tu veux, je peux te sélectionner quelques morceaux. Sinon, sa page bandcamp est un bon condensé. https://jkflesh.bandcamp.com/

Il y a aussi Mick Harris qui, en dehors de Scorn, produit de la techno sous le nom de Monrella. C'est rentre-dedans mais ça peut-être efficace selon le moment. Broadrick explore davantage à mon sens. J'ai beaucoup aimé ses travaux ralentis mais lourds.

Chez Aphex twin, il y a la quantité qui va avec les nombreux noms sous lesquels le retrouver. Surtout, il y avait cette tendance à envoyer des morceaux qui n'étaient pas terminés, des compilations entières de parties retrouvées sur des disques durs. J'ai eu du mal.

Doc Savage a écrit

Frenchies like (il est en vacances le pauvre)...

Quel est votre slacker préféré ?

- Stephen Malkmus

- J Mascis

- Kurt Vile

- la réponse D

Jason Lytle

Ah c'est une chouette coïncidence de voir Aphex Twin nommé par ici, quasiment au même moment où je commence à apprécier la quasi-integralité des morceaux présents sur Druqks.

Au court d'un long trajet en bagnole et je me suis dit que j'allais faire défiler l'album du début à la fin, chose que je n'avais jamais fait. Avant je n'écoutais que les pistes au piano, et je n'arrivais pas du tout, mais alors pas du tout à "rentrer" dans les autres morceaux. Et là, sur la route j'ai vraiment apprecié l'album en entier, y compris les passages les plus chaotiques (à l'exception d'un seul, que j'ai trouvé beaucoup trop agressif). Il y a même eu des instants où la musique était en phase avec la route, j'adore quand ça arrive, comme par exemple cette fois où je suis rentré dans un looong tunnel bien obscur avec juste quelques lumières qui défilaient et il y avait ce son énervé juste ce qu'il faut pour m'accompagner. Franchement sympa.

D'après ce que j'ai vu cet album divise pas mal les critiques: certains magasines l'ont très bien noté alors que d'autres l'ont plombé.

Tio Pepe a écrit

Ah c'est une chouette coïncidence de voir Aphex Twin nommé par ici, quasiment au même moment où je commence à apprécier la quasi-integralité des morceaux présents sur Druqks.

Au court d'un long trajet en bagnole et je me suis dit que j'allais faire défiler l'album du début à la fin, chose que je n'avais jamais fait. Avant je n'écoutais que les pistes au piano, et je n'arrivais pas du tout, mais alors pas du tout à "rentrer" dans les autres morceaux. Et là, sur la route j'ai vraiment apprecié l'album en entier, y compris les passages les plus chaotiques (à l'exception d'un seul, que j'ai trouvé beaucoup trop agressif). Il y a même eu des instants où la musique était en phase avec la route, j'adore quand ça arrive, comme par exemple cette fois où je suis rentré dans un looong tunnel bien obscur avec juste quelques lumières qui défilaient et il y avait ce son énervé juste ce qu'il faut pour m'accompagner. Franchement sympa.

D'après ce que j'ai vu cet album divise pas mal les critiques: certains magasines l'ont très bien noté alors que d'autres l'ont plombé.

Aphex Twin - Windowlicker

https://www.youtube.com/watch?v=UBS4Gi1y…ab_channel=AphexAcid

(l'ancêtre de la performance capture, merci Chris Cunnigham)

((j'aime faire des craquottes aux chiens))

Torless a écrit

Si tu veux, je peux te sélectionner quelques morceaux. Sinon, sa page bandcamp est un bon condensé. https://jkflesh.bandcamp.com/

Il y a aussi Mick Harris qui, en dehors de Scorn, produit de la techno sous le nom de Monrella. C'est rentre-dedans mais ça peut-être efficace selon le moment. Broadrick explore davantage à mon sens. J'ai beaucoup aimé ses travaux ralentis mais lourds.

Chez Aphex twin, il y a la quantité qui va avec les nombreux noms sous lesquels le retrouver. Surtout, il y avait cette tendance à envoyer des morceaux qui n'étaient pas terminés, des compilations entières de parties retrouvées sur des disques durs. J'ai eu du mal.

Merci pour le lien bandcamp. Je vais jeter une oreille attentive. Par contre, je ne savais pas que Mick Harris avait fait une incursion electro. Un peu moins client avec ce que j'ai écouté. Je me rappelle du coup ses prestations, disons-le pudiquement, bancales, avec John Zorn sur le premier album de "Painkiller".

Les metallos extrêmes aiment bien l'electro en fait, (quelques potes fans de BM ont fait une transition plus ou moins réussie dans l'electro) le saut d'Ulver est assez représentatif de ce point de vue :

Ulver - Hallways of Always

https://www.youtube.com/watch?v=2NLp8J5A…_channel=Ulver-Topic

(niveau écoute, fait de nuit en milieu urbain sous C, ben c'était très adapté - à ne pas refaire chez vous les enfants)

Doc Savage a écrit

Frenchies like (il est en vacances le pauvre)...

Quel est votre slacker préféré ?

- Stephen Malkmus

- J Mascis

- Kurt Vile

- la réponse D

C'est quoi un « slacker » ?

(Merci de répondre en Français.)

Georges Randal a écrit

(Merci de répondre en Français.)

C'est pas de moi, mais ça résume bien ma pensée :

Certaines formulations ont l’art de nous dresser le poil le long de l’échine ou de nous mettre simplement mal à l’aise, parce qu’elles peuvent être tellement froides, convenues, hypocrites, figées… ou un brin manipulatrices. Comme cette formule d’impolitesse, faux remerciement et véritable injonction qu’est l’épouvantable “merci de + verbe”, qui cherche à draper mielleusement ses exigences derrière un masque relationnel qui prétend la reconnaissance. Or, le signe de reconnaissance que le “merci de” envoie est double: j’exige donc j’existe! Et comme par ricochet, tu exécutes, c’est à moi-même que je l’envoie! Il confond l’affirmation de soi avec l’individualisme auto-centré. Bref, le “merci de” est vil, il est petit, il est lâche, il manque de panache, il est un modèle d’inélégance relationnelle!

(je t'aime bien Giorgio, mais parfois tu as un positionnement un peu limite)

((mais comme vous m'êtes toutefois sympathique, je vais vous donner une définition contextualisée du "slacker" : littéralement un "fainéant", mais appliquée dans le cas qui nous concerne, se dit en général d'un frontman d'un groupe de rock alternatif des 90's états-uniens dont le style vestimentaire relâché voire une hygiène approximative, l'attitude désinvolte et souvent un peu débonnaire ainsi que le chant parfois un peu nonchalant à la justesse aléatoire font que ces personnes sont perçues comme des glandeurs un peu talentueux. Les exemples donnés correspondent à cette perception, il suffira d'aller jeter une oreille sur leurs productions : J Mascis (Dinosaur Jr.), Stephen Malkmus (Pavement), Kurt Vile (de chez Kurt Vile, et anciennement de War on Drugs) ; notre gaucho préféré y ajoutait à raison Jason Lytle (Grandaddy), et on pourrait aussi y adjoindre Jeff Magnum (Neutral Milk Hotel). À titre de comparaison, Kurt Cobain, Mark Lanegan ou encore Eddie Veder ne sont pas considérés comme des "slackers".))

Voilà voilà, j'espère que j'ai été clair.

Doc Savage a écrit

C'est pas de moi, mais ça résume bien ma pensée :

Certaines formulations ont l’art de nous dresser le poil le long de l’échine ou de nous mettre simplement mal à l’aise, parce qu’elles peuvent être tellement froides, convenues, hypocrites, figées… ou un brin manipulatrices. Comme cette formule d’impolitesse, faux remerciement et véritable injonction qu’est l’épouvantable “merci de + verbe”, qui cherche à draper mielleusement ses exigences derrière un masque relationnel qui prétend la reconnaissance. Or, le signe de reconnaissance que le “merci de” envoie est double: j’exige donc j’existe! Et comme par ricochet, tu exécutes, c’est à moi-même que je l’envoie! Il confond l’affirmation de soi avec l’individualisme auto-centré. Bref, le “merci de” est vil, il est petit, il est lâche, il manque de panache, il est un modèle d’inélégance relationnelle!

C'est nase comme explication !

M'en vais t'en donner une autre : c'était pour souligner ce maladif usage de termes en anglais qui n'apportent rien.

En mode passif/agressif !

((mais comme vous m'êtes toutefois sympathique, je vais vous donner une définition contextualisée du "slacker" : littéralement un "fainéant", mais appliquée dans le cas qui nous concerne, se dit en général d'un frontman d'un groupe de rock alternatif des 90's états-uniens dont le style vestimentaire relâché voire une hygiène approximative, l'attitude désinvolte et souvent un peu débonnaire ainsi que le chant parfois un peu nonchalant à la justesse aléatoire font que ces personnes sont perçues comme des glandeurs un peu talentueux. Les exemples donnés correspondent à cette perception, il suffira d'aller jeter une oreille sur leurs productions : J Mascis (Dinosaur Jr.), Stephen Malkmus (Pavement), Kurt Vile (de chez Kurt Vile, et anciennement de War on Drugs) ; notre gaucho préféré y ajoutait à raison Jason Lytle (Grandaddy), et on pourrait aussi y adjoindre Jeff Magnum (Neutral Milk Hotel). À titre de comparaison, Kurt Cobain, Mark Lanegan ou encore Eddie Veder ne sont pas considérés comme des "slackers".))

Voilà voilà, j'espère que j'ai été clair.

T'es pas en train de m'expliquer qui sont les gugus en question, hein ?!!!

Rassure-moi...

Georges Randal a écrit

C'est quoi un « slacker » ?

Je réponds juste à une question.

Georges Randal a écrit

C'est nase comme explication !

M'en vais t'en donner une autre : c'était pour souligner ce maladif usage de termes en anglais qui n'apportent rien.

En mode passif/agressif !

T'es pas en train de m'expliquer qui sont les gugus en question, hein ?!!!

Rassure-moi...

J'illustre. Tu me demandais ce qu'était un "slacker". Tu aurais pu chercher aussi. Je te pensais plus équipé niveau culture alternative.

Puis je n'écris pas que pour toi, peut-être que des lecteurs seront intéressés. Et je n'en tire aucune gloire personnelle.

Georges Randal a écrit

En mode passif/agressif

"La plus belle ruse du diable est de faire croire qu'il n'existe pas" (Baudelaire et Kayser Söze)

Tu te fous un peu de la gueule du monde en fait.

Je ne m'étendrai pas plus, et me contenterai de ne pas te lire. T'es comme même un sale con par moment.

Georges Randal a écrit

M'en vais t'en donner une autre : c'était pour souligner ce maladif usage de termes en anglais qui n'apportent rien.

Ben tu as des réflexes un peu identitaires... Quand on parle d'un fait culturel états-uniens.

Bref, tu es d'une malhonnêteté intellectuelle patente. Tu auras beau me vouer aux Gémonies, ça ne changera rien à ton discours.

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