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La bande-son

Parce qu'il n'y a pas que "We Are The Champions" ou "I Will Survive" dans la vie. Ici on parle de pop, de rock, de hip-hop, de nü-metal, de ce que vous voulez.

Sinon j'ai 2h de Max Richter aussi, je crois que ça intéresse par ici.

barrabravo a écrit

J'aurais pas reconnu les Pixies à l'écoute...

Eux aussi vieillissent, et comme moi, ils ramolissent. Mais j'aime bien l'interprétation qu'ils ont de ce classique.

NoumaNoumaYé a écrit

Sinon j'ai 2h de Max Richter aussi, je crois que ça intéresse par ici.

Ah t’es là toi

Tu boudines de la mèche ?

Pate a écrit

Ah t’es là toi

Tu boudines de la mèche ?

Moi aussi ça me fait plaisir de te voir, mon Pâté.

Bon, puis me cherchez pas trop sur Anthony Kiedis les bigorneaux, d'où vous croyez que je la tiens, ma mèche?

barrabravo a écrit

Ah, je sais pas, je les trouve plutôt en forme sur ça (dernier album) :

The Pixies - Human Crime

https://www.youtube.com/watch?v=l7ofPSefhyQ

Pas mal du tout, mais histoire de pinaillader, je crois que c'est un single paru quelques mois avant l'album, et qu'il n'est pas inclus dans ce dernier.

Ruud008 a écrit

Le truc que je comprendrai jamais, de quel esprit malade peut sortir une telle ligne de basse?

Bowie- Ashes to ashes live.

https://www.youtube.com/watch?v=WmiXjoknHDA

Définitivement mon morceau préféré de Bowie.

Peut-être son titre le plus emblématique.

Il le publie après une décennie frénétique (dix albums entre 70 et 79, aucun n'étant médiocre) où il invente ou réinvente plusieurs styles, et le titre a quelque chose de testamentaire. Plutôt bien vu quand on sait que la décennie qu'il entame sera difficile artistiquement, malgré son premier carton commercial trois ans plus tard.

Il réussit à y rassembler un peu tout ce qu'on aime chez lui : chant délirant puis majestueux, contraste de genre entre le funk du couplet et le pop/rock du refrain, texte référencé et obscure à la fois, mélodie à tomber...

Et puis, plus discret mais génialissime, la fin de la chanson : la strophe qu'il répète comprend quatre phrases, mais sur un rythme de trois temps, donc chaque phrase est à tour de rôle chantée sur un autre accord, ce qui à mon avis lui permet de répéter son texte sans tomber dans le répétitif. (Pas sûr d'avoir bien expliqué ce que je voulais dire...)

Avis personnel, mais c'est aussi sur ce titre qu'il est le plus émouvant. Il a publié un paquet de chansons exceptionnelles, mais la perfection d'ensemble laisse parfois peu de place à l'émotion, ce qui n'est pas le cas avec celle-ci. Son "ad lib" en est presque boulversant.

Il a bien fait de ne pas lâcher Fripp sur ce morceau ; ce dernier brille sur le reste de la face A de l'album, mais il aurait peut-être dénaturé cette chanson.

Italia'90 a écrit

Ah tiens je le reconnais lui il joue dans "Point Break"

Jack DeSange

Italia'90 a écrit

Peut-être son titre le plus emblématique.

Il le publie après une décennie frénétique (dix albums entre 70 et 79, aucun n'étant médiocre) où il invente ou réinvente plusieurs styles, et le titre a quelque chose de testamentaire. Plutôt bien vu quand on sait que la décennie qu'il entame sera difficile artistiquement, malgré son premier carton commercial trois ans plus tard.

Il réussit à y rassembler un peu tout ce qu'on aime chez lui : chant délirant puis majestueux, contraste de genre entre le funk du couplet et le pop/rock du refrain, texte référencé et obscure à la fois, mélodie à tomber...

Et puis, plus discret mais génialissime, la fin de la chanson : la strophe qu'il répète comprend quatre phrases, mais sur un rythme de trois temps, donc chaque phrase est à tour de rôle chantée sur un autre accord, ce qui à mon avis lui permet de répéter son texte sans tomber dans le répétitif. (Pas sûr d'avoir bien expliqué ce que je voulais dire...)

Avis personnel, mais c'est aussi sur ce titre qu'il est le plus émouvant. Il a publié un paquet de chansons exceptionnelles, mais la perfection d'ensemble laisse parfois peu de place à l'émotion, ce qui n'est pas le cas avec celle-ci. Son "ad lib" en est presque boulversant.

Il a bien fait de ne pas lâcher Fripp sur ce morceau ; ce dernier brille sur le reste de la face A de l'album, mais il aurait peut-être dénaturé cette chanson.

Ca fait 25 ans que j'écoute ce morceau, que je l'apprécie mais là, je le redécouvre totalement.

Fou comme tout est étrange quand tu t'attardes sur la structure de ce morceau, le Bowie qui chante à contre-temps, la batterie pareil, la basse funk avec le laping et t'as aucun couplet ne ressemble à un autre, tu changes un truc et tout s'écroule.

Mais ce qui est fou, c'est la décontraction avec laquelle Bowie la chante en live, c'est absolument dingue.

Oui, c'est vraiment le morceau qui referme la parenthèse des 70's, les paroles en attestent, genre je vais faire de la merde maintenant.

Italia'90 a écrit

Un tour de force, son chant sur ce titre.

La face A de ce disque est trop forte, l'album en souffrerait presque.

L’intro de cet album est vraiment trop puissante, il atteint des sommets dans cet album.

Je suis en train de me reposer devant sa période berlinoise+Scary Monsters.

On avait évoqué Bowie et cet album concernant les précurseurs de la New-Wave?

On parle, on parle de grilles de lecture mais chez Bowie, y en a vraiment.

Fred Astaire a écrit

Non, si on sait en profiter.

Je parlais de la voix de Jim Kerr qui s’éraille et son nouveau physique Jean Claude Brialy.

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