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Football History X

Le topic où l'on parle de l'histoire du foot ou de l'histoire tout court...
(Haha!

Non, en l'occurrence ce n'est pas d'être pédant qui fait l'objet de ma remarque, mais la seule formulation mise en exergue...)
ça se dit pourtant, mais je reconnais que les vacances vont me permettre de me détendre un peu.

Message posté par Bonobossis
(Pour dire, je tiens les inrocks en horreur, la forme comme le fond...)



Non!

Mais si j'veux, je sais très bien être pédant...


Tu n'emploies jamais le mot "nonobstant" et ça ça me déçoit.
Message posté par Fred Astaire
Tu n'emploies jamais le mot "nonobstant" et ça ça me déçoit.


Bien sûr que si! C'est que tu ne lis pas tous mes postes et ça, ça me déçoit plus que tu n'es déçu!

(On est en train de relever le niveau de ce topique qui en avait foutrement besoin!)
Message posté par Bonobossis
Bien sûr que si! C'est que tu ne lis pas tous mes postes et ça, ça me déçoit plus que tu n'es déçu!

(On est en train de relever le niveau de ce topique qui en avait foutrement besoin!)


C'est à dire que je commence à lire mais comme souvent, je n'y comprends rien je suis obligé de m'arrêter.
Apres des annees de permanence sur So Foot, je n'avais jamais consulte cette partie historique du forum. Incroyable, mais vrai. J'ai parcouru quelques pages et il y a vraiment du lourd en terme de connaisseurs du football international.
Message posté par europa
Apres des annees de permanence sur So Foot, je n'avais jamais consulte cette partie historique du forum. Incroyable, mais vrai. J'ai parcouru quelques pages et il y a vraiment du lourd en terme de connaisseurs du football international.


Repasse à l'occasion Europa. Tu decouvriras des inédits de Bobby et Verano. Des poèmes en alexandrins de Fred sur Fred Aston. Et surtout, tu plongeras dans la mythologie du foot tyrolien avec Polster. Ca parle de moustaches et de cheveux frisés.
Puisqu’il est question d’histoire, j’espérais que SO FOOT produise quelques articles sur la coupe du monde 1982 puisque c’était le 40e anniversaire du match d’ouverture en début de semaine. Bon, peut-être est-ce encore en préparation, Chérif peaufinant ses papiers. J’attends encore un peu avant de râler.
Message posté par Verano82
Puisqu’il est question d’histoire, j’espérais que SO FOOT produise quelques articles sur la coupe du monde 1982 puisque c’était le 40e anniversaire du match d’ouverture en début de semaine. Bon, peut-être est-ce encore en préparation, Chérif peaufinant ses papiers. J’attends encore un peu avant de râler.


Tu trouveras ton bonheur sur les cahiers du foot !
Je vous mets un petit article en espagnol sur la qualif concacaf en 1981. Qui était le championnat continental de l'époque. Avec la surprenante victoire du Honduras face au Salvador. Et donc l'élimination de l'ogre mexicain sur la route de l'Espagne.
L'article se nomme le premundial de las dictaturas. Puisque Cuba et Haïti faisaient également partis du tour final.
Je pense que l'on peut trouver mieux comme article mais ca fait une base de discussion.
https://www.google.com/url?sa=t&sou … uSjMp4YJRb
Message posté par Khiadiatoulin Maginot 5
Je vous mets un petit article en espagnol sur la qualif concacaf en 1981. Qui était le championnat continental de l'époque. Avec la surprenante victoire du Honduras face au Salvador. Et donc l'élimination de l'ogre mexicain sur la route de l'Espagne.
L'article se nomme le premundial de las dictaturas. Puisque Cuba et Haïti faisaient également partis du tour final.
Je pense que l'on peut trouver mieux comme article mais ca fait une base de discussion.
https://www.google.com/url?sa=t&sou … uSjMp4YJRb


Tiens, un petit texte à propos d’Espagne Honduras.

L’Espagne entre dans son Mundial le 16 juin 1982 en soirée devant cinquante mille aficionados venus à Mestalla quand le vieux stade de Valencia s’appelle encore Luis Casanova. Dans la tribune des officiels, les caméras s’attardent sur Juan Carlos, orgueil de la jeune Espagne venant de résolument tourner le dos au franquisme et ses réminiscences putschistes. La fête promet d’être belle, l’adversaire de la Roja est le Honduras, une aimable mise en bouche au goût d’inconnu puisque seul Gilberto Yearwood évolue en Espagne, au Real Valladolid après des débuts à Elche.
 
Pour de nombreux Latino-américains, Elche représente un eldorado, une oasis au milieu de la palmeraie où s’épanouissent dès la fin des années 50 de nombreux Paraguayens et deux Honduriens, Carlos Zuazo et surtout « Indio » Cardona. Puis dans les seventies, une nouvelle vague arrive de Tegucigalpa à destination d’un autre paradis, Mallorca en seconde division : « Chinola » Matamoros, Jorge Bran et Jorge « Indio » Urquía. Au sein d’une équipe en plein désarroi financier et sportif, seul Urquía surnage. Il fait partie de la sélection hondurienne (à l’aller) opposée au Salvador en 1969, opposition minée par les nationalismes et connue sous le nom de « Guerra del Fútbol » en référence au conflit prêt à éclater entre les deux nations. Il évolue ensuite au Deportivo Alavés aux côtés de Jorge Valdano avant faire découvrir son pays à son épouse espagnole et sa fille. Une romance familiale de courte durée, les femmes de sa vie rentrent rapidement en Europe. A nouveau appelé en sélection, Urquía contribue à la qualification du Honduras, buteur contre Haïti. Il a trente-cinq ans, le Mundial 1982 doit être l’apothéose de sa carrière. S’il existe une vignette Panini à son nom et s’il voyage bien en Espagne, Urquía ne figure pas parmi la liste des sélectionnés en raison d’une blessure qu’il vit avec fatalisme. Elle n’est rien en comparaison de son échec sentimental, une meurtrissure que ravive un rendez-vous avec sa femme et sa petite fille sur le sol espagnol, la dernière fois qu’il les voit.
 
Urquía est parmi le public du Luis Casanova, attendant le coup d’envoi qui tarde par excès de zèle du préposé aux hymnes. Sans doute perturbé par la présence royale et l’abondance de drapeaux espagnols, il décide de jouer une seconde fois la Marcha Real. La gourmandise musicale terminée, l’arbitre libère enfin les joueurs. Les Espagnols sortent d’une très longue préparation, matérialisée par une tournée en Amérique du Sud l’été précédent et conclue par une ultime concentration, une épreuve. Ils se coupent du monde extérieur durant un mois, retranchés dans ce qui ressemble à un camp militaire, protégés par la Guardia Civil sans que l’on ne sache s’il s’agit de se prémunir d’un potentiel attentat de l’ETA ou des indiscrétions de journalistes à la recherche de polémiques régionalistes. Les joueurs et le staff arrivent usés mentalement et cela se voit rapidement. Les Honduriens ouvrent le score dès la septième minute et malgré une domination totale de la Roja, il faut un pénalty en seconde mi-temps pour que López Ufarte parvienne à égaliser.
 
Les chroniqueurs restent mesurés, ce n’est qu’un premier match. Certes, le second représentant de la zone CONCACAF, le Salvador de Mágico González, s’est liquéfié la veille face à la Hongrie 10 – 1 mais l’Algérie, considérée comme un autre petit poucet, vient de battre la RFA quelques heures plus tôt. Et puis, il faut se rendre à l’évidence : José Emilio Santamaría avait prévenu que ce serait difficile contre le Honduras, vainqueur du tournoi qualificatif dont le Mexique d’Hugo Sánchez n’est pas parvenu à s’extraire. 
 
Le héros hondurien s’appelle Héctor Zelaya, milieu de terrain surnommé « Pecho de Águila », Poitrine d’Aigle, en raison de sa cage thoracique puissante. A la lutte avec Joaquín, il résiste au milieu du Sporting Gijón, trompe Arconada et entre dans l’histoire de son pays, premier buteur des Catrachos lors d’une phase finale. « Pecho de Águila » n’aurait jamais dû être là, son genou est déjà en piteux état. Quand le sélectionneur Chelato Uclés fait appel à lui pour affronter l’Espagne, il se déclare prêt à jouer, l’événement justifie de se donner un peu de peine. Il va disputer les trois rencontres des Catrachos, éliminés sur le fil par une Yougoslavie elle-même incapable de se qualifier. Les Honduriens ont montré suffisamment de qualité pour attirer l’œil des recruteurs espagnols : Arzú signe au Racing Santander, Costly à Malaga, Figueroa à Murcia (le seul à véritablement s’imposer), Maradiaga à Tenerife. Quant à Héctor Zelaya, il atterrit à La Coruña en seconde division, au sein du Depor de Arsenio Iglesias.
 
Héctor Zelaya n’a jamais l’occasion de démontrer quoi que ce soit : il ne le sait pas encore, sa carrière est terminée à vingt-quatre ans. Sa lésion au genou n’a fait que s’aggraver durant le Mundial et malgré une opération, la douleur ne disparaît pas. Il rentre à Tegucigalpa sans avoir disputé une seule rencontre avec le Depor.
 
https://proceso.hn/wp-content/uploads/2 … 20ccce.jpg
Sauvetage de Costly devant Arzú battu et l’attaquant de la Real Sociedad Satrústegui
 
https://ichef.bbci.co.uk/news/800/cpspr … 6.jpg.webp
Héctor Zelaya et Tony Laing, buteur contre l’Irlande du Nord 
 
https://enunabaldosa.files.wordpress.co … pana82.jpg
La vignette Panini 1982 de Jorge Urquía
Message posté par Verano82
Tiens, un petit texte à propos d’Espagne Honduras.

L’Espagne entre dans son Mundial le 16 juin 1982 en soirée devant cinquante mille aficionados venus à Mestalla quand le vieux stade de Valencia s’appelle encore Luis Casanova. Dans la tribune des officiels, les caméras s’attardent sur Juan Carlos, orgueil de la jeune Espagne venant de résolument tourner le dos au franquisme et ses réminiscences putschistes. La fête promet d’être belle, l’adversaire de la Roja est le Honduras, une aimable mise en bouche au goût d’inconnu puisque seul Gilberto Yearwood évolue en Espagne, au Real Valladolid après des débuts à Elche.
 
Pour de nombreux Latino-américains, Elche représente un eldorado, une oasis au milieu de la palmeraie où s’épanouissent dès la fin des années 50 de nombreux Paraguayens et deux Honduriens, Carlos Zuazo et surtout « Indio » Cardona. Puis dans les seventies, une nouvelle vague arrive de Tegucigalpa à destination d’un autre paradis, Mallorca en seconde division : « Chinola » Matamoros, Jorge Bran et Jorge « Indio » Urquía. Au sein d’une équipe en plein désarroi financier et sportif, seul Urquía surnage. Il fait partie de la sélection hondurienne (à l’aller) opposée au Salvador en 1969, opposition minée par les nationalismes et connue sous le nom de « Guerra del Fútbol » en référence au conflit prêt à éclater entre les deux nations. Il évolue ensuite au Deportivo Alavés aux côtés de Jorge Valdano avant faire découvrir son pays à son épouse espagnole et sa fille. Une romance familiale de courte durée, les femmes de sa vie rentrent rapidement en Europe. A nouveau appelé en sélection, Urquía contribue à la qualification du Honduras, buteur contre Haïti. Il a trente-cinq ans, le Mundial 1982 doit être l’apothéose de sa carrière. S’il existe une vignette Panini à son nom et s’il voyage bien en Espagne, Urquía ne figure pas parmi la liste des sélectionnés en raison d’une blessure qu’il vit avec fatalisme. Elle n’est rien en comparaison de son échec sentimental, une meurtrissure que ravive un rendez-vous avec sa femme et sa petite fille sur le sol espagnol, la dernière fois qu’il les voit.
 
Urquía est parmi le public du Luis Casanova, attendant le coup d’envoi qui tarde par excès de zèle du préposé aux hymnes. Sans doute perturbé par la présence royale et l’abondance de drapeaux espagnols, il décide de jouer une seconde fois la Marcha Real. La gourmandise musicale terminée, l’arbitre libère enfin les joueurs. Les Espagnols sortent d’une très longue préparation, matérialisée par une tournée en Amérique du Sud l’été précédent et conclue par une ultime concentration, une épreuve. Ils se coupent du monde extérieur durant un mois, retranchés dans ce qui ressemble à un camp militaire, protégés par la Guardia Civil sans que l’on ne sache s’il s’agit de se prémunir d’un potentiel attentat de l’ETA ou des indiscrétions de journalistes à la recherche de polémiques régionalistes. Les joueurs et le staff arrivent usés mentalement et cela se voit rapidement. Les Honduriens ouvrent le score dès la septième minute et malgré une domination totale de la Roja, il faut un pénalty en seconde mi-temps pour que López Ufarte parvienne à égaliser.
 
Les chroniqueurs restent mesurés, ce n’est qu’un premier match. Certes, le second représentant de la zone CONCACAF, le Salvador de Mágico González, s’est liquéfié la veille face à la Hongrie 10 – 1 mais l’Algérie, considérée comme un autre petit poucet, vient de battre la RFA quelques heures plus tôt. Et puis, il faut se rendre à l’évidence : José Emilio Santamaría avait prévenu que ce serait difficile contre le Honduras, vainqueur du tournoi qualificatif dont le Mexique d’Hugo Sánchez n’est pas parvenu à s’extraire. 
 
Le héros hondurien s’appelle Héctor Zelaya, milieu de terrain surnommé « Pecho de Águila », Poitrine d’Aigle, en raison de sa cage thoracique puissante. A la lutte avec Joaquín, il résiste au milieu du Sporting Gijón, trompe Arconada et entre dans l’histoire de son pays, premier buteur des Catrachos lors d’une phase finale. « Pecho de Águila » n’aurait jamais dû être là, son genou est déjà en piteux état. Quand le sélectionneur Chelato Uclés fait appel à lui pour affronter l’Espagne, il se déclare prêt à jouer, l’événement justifie de se donner un peu de peine. Il va disputer les trois rencontres des Catrachos, éliminés sur le fil par une Yougoslavie elle-même incapable de se qualifier. Les Honduriens ont montré suffisamment de qualité pour attirer l’œil des recruteurs espagnols : Arzú signe au Racing Santander, Costly à Malaga, Figueroa à Murcia (le seul à véritablement s’imposer), Maradiaga à Tenerife. Quant à Héctor Zelaya, il atterrit à La Coruña en seconde division, au sein du Depor de Arsenio Iglesias.
 
Héctor Zelaya n’a jamais l’occasion de démontrer quoi que ce soit : il ne le sait pas encore, sa carrière est terminée à vingt-quatre ans. Sa lésion au genou n’a fait que s’aggraver durant le Mundial et malgré une opération, la douleur ne disparaît pas. Il rentre à Tegucigalpa sans avoir disputé une seule rencontre avec le Depor.
 
https://proceso.hn/wp-content/uploads/2 … 20ccce.jpg
Sauvetage de Costly devant Arzú battu et l’attaquant de la Real Sociedad Satrústegui
 
https://ichef.bbci.co.uk/news/800/cpspr … 6.jpg.webp
Héctor Zelaya et Tony Laing, buteur contre l’Irlande du Nord 
 
https://enunabaldosa.files.wordpress.co … pana82.jpg
La vignette Panini 1982 de Jorge Urquía


Merci Verano. Tu sais que SoFrites du forum était à Mestalla lors de la défaite de la Roja face à l'Irlande du Nord. Il était également au match France Angleterre. Allez SoFrites, sors la machine à souvenirs!
Sinon,t'as des souvenirs de Porfirio Betancourt à Strasbourg? Un grand de cette génération.
Message posté par Khiadiatoulin Maginot 5
Merci Verano. Tu sais que SoFrites du forum était à Mestalla lors de la défaite de la Roja face à l'Irlande du Nord. Il était également au match France Angleterre. Allez SoFrites, sors la machine à souvenirs!
Sinon,t'as des souvenirs de Porfirio Betancourt à Strasbourg? Un grand de cette génération.


Oui j’ai quelques souvenirs, un passage mitigé, une attraction exotique.
Il me semble en effet avoir lu qu’un forumeur avait assisté à des matches de la CM 82. Je ne me souviens plus de qui il s’agit, mais je crois qu’un autre a vu des rencontres à Bilbao.
Message posté par Verano82
Oui j’ai quelques souvenirs, un passage mitigé, une attraction exotique.
Il me semble en effet avoir lu qu’un forumeur avait assisté à des matches de la CM 82. Je ne me souviens plus de qui il s’agit, mais je crois qu’un autre a vu des rencontres à Bilbao.


Je pense que c'est SoFrites qui est originaire de Valence.
Message posté par Khiadiatoulin Maginot 5
Je pense que c'est SoFrites qui est originaire de Valence.


Yep. Je me suis promis de faire quelques stades en Espagne d’ici quelques années (je n’ai fréquenté qu’une fois le Martínez Valero à Elche) et Mestalla est celui que j’ai le plus envie de découvrir pour son histoire puisque j’ai manqué à jamais l’occasion de connaître Sarrià.
Message posté par Verano82
Yep. Je me suis promis de faire quelques stades en Espagne d’ici quelques années (je n’ai fréquenté qu’une fois le Martínez Valero à Elche) et Mestalla est celui que j’ai le plus envie de découvrir pour son histoire puisque j’ai manqué à jamais l’occasion de connaître Sarrià.


J'en connais très peu en Espagne. Les 2 sevillans et le nouveau San Mames. Suis entré dans le Bernabeu également mais uniquement pour le visiter. Ainsi que son musée.
Holà !
J’étais à Bilbao au vieux San Mames pour France-England mais aussi devant el corte ingles pour bastonner avec des rosbifs, on avait tous les Basques avec nous.
Du match je me souviens bien de Ettori y Marc Soler, ne me demandez pas porque!^^
J’avais 18 ans.
Ensuite direction casa del padre à València pour effectivement aller au Luis Casanova por España-irlande, de l’allégresse à la tristesse.
Pour France-RFA j’étais ds le bar à Manolo au pied de Mestalla, plutôt sur la terrasse pour mater sur grande Tv et là aussi, la France avait tous les locaux avec eux. Les temps changent et qlqs titres Bleus plus tard (mais aussi Rouge, Seum à double sens) j’imagine mal oghji les Españols soutenir la France huhuhuh !^^
Message posté par So-Frites
Holà !
J’étais à Bilbao au vieux San Mames pour France-England mais aussi devant el corte ingles pour bastonner avec des rosbifs, on avait tous les Basques avec nous.
Du match je me souviens bien de Ettori y Marc Soler, ne me demandez pas porque!^^
J’avais 18 ans.
Ensuite direction casa del padre à València pour effectivement aller au Luis Casanova por España-irlande, de l’allégresse à la tristesse.
Pour France-RFA j’étais ds le bar à Manolo au pied de Mestalla, plutôt sur la terrasse pour mater sur grande Tv et là aussi, la France avait tous les locaux avec eux. Les temps changent et qlqs titres Bleus plus tard (mais aussi Rouge, Seum à double sens) j’imagine mal oghji les Españols soutenir la France huhuhuh !^^


Ah merci. Je me demandais si j'avais imaginé cette conversation. Les anglais etaient chauds pour fêter leur retour en coupe du monde 12 ans après.
Message posté par So-Frites
Holà !
J’étais à Bilbao au vieux San Mames pour France-England mais aussi devant el corte ingles pour bastonner avec des rosbifs, on avait tous les Basques avec nous.
Du match je me souviens bien de Ettori y Marc Soler, ne me demandez pas porque!^^
J’avais 18 ans.
Ensuite direction casa del padre à València pour effectivement aller au Luis Casanova por España-irlande, de l’allégresse à la tristesse.
Pour France-RFA j’étais ds le bar à Manolo au pied de Mestalla, plutôt sur la terrasse pour mater sur grande Tv et là aussi, la France avait tous les locaux avec eux. Les temps changent et qlqs titres Bleus plus tard (mais aussi Rouge, Seum à double sens) j’imagine mal oghji les Españols soutenir la France huhuhuh !^^


Respect !
PS : Gégé Soler, Marc il pedale :-)

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