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Football History X

Le topic où l'on parle de l'histoire du foot ou de l'histoire tout court...
Merci Fred pour ce post, le mythe des Lions de Lisbonne c'est vraiment les histoires de foot qu'on adore lire, aujourd'hui encore on trouve des références de cet exploit dans les pubs d'Ecosse et même de Dublin ... à foutre qui n'existe plus aujourd'hui et qu'on ne reverra certainement jamais!
Message posté par JalovesbigTits
Merci Fred pour ce post, le mythe des Lions de Lisbonne c'est vraiment les histoires de foot qu'on adore lire, aujourd'hui encore on trouve des références de cet exploit dans les pubs d'Ecosse et même de Dublin ... un footballre qui n'existe plus aujourd'hui et qu'on ne reverra certainement jamais!
Message posté par JalovesbigTits
Merci Fred pour ce post, le mythe des Lions de Lisbonne c'est vraiment les histoires de foot qu'on adore lire, aujourd'hui encore on trouve des références de cet exploit dans les pubs d'Ecosse et même de Dublin ... à foutre qui n'existe plus aujourd'hui et qu'on ne reverra certainement jamais!


On ne reverra plus jamais ça !
Le 27 mai 1964 à Vienne, la finale de la Coupe d'Europe oppose le Real avec ses stars vieillissantes (Di Stefano et Puskas ont 75 ans à eux deux) à l'Inter Milan clinique de Helenio Herrera.
Le soir, après la défaite, Di Stefano claque la porte du club suite à un clash avec Munoz et Bernabeu.


https://fr.wikipedia.org/wiki/Finale_de … _1963-1964

Nous en reparlerons.
Merci d'avoir fait revivre les Lisbon Lions et leur épopée à travers ce post ! David Peace évoque le lien fort existant entre Shankly et Stein dans Red or Dead et il me semble que Ferguson a vanté les méthodes 100% axés ballon et situations de jeu de Jock Stein dans tous les aspects de la préparation de ses équipes. Encore une fois: ton post est magnifique, merci Fred !
28 mai 2003 à Manchester, finale italienne de la coupe des champions entre Milan et la Juventus. Pour certain, une des pires finales de la champions league, pour d’autres, la plus belle, celle qui restera à jamais graver dans les esprits.

Car pour les milanistes, battre la Juve en finale de la coupe d’europe, aux penaltys, devient la plus belle des victoires possible. Vous pouvez dire ce que vous voulez, c’était un match fermé, un match "à l’italienne", "ça ne pouvait que se terminer de cette façon" etc... Mais le foot c’est comme ça, tu peux regarder un match pourri mais en tant que supporter tu peux aussi ressentir une tension énorme et au final, si ton équipe gagne, ce match devient pour toi le plus beau de tous les temps. Car ce n’était pas une finale normale. Là c’était différent. Les pleurs de joie après le penalty de Sheva, la fatigue après une journée très longue, la chaleur, la transpiration, toutes les bières descendus, l’attente et la tension qui monte, le mal de bide d’avant match. C’est un des matchs le plus important de l’histoire du foot italien. Encore aujourd’hui quand je regarde la séquence des tirs aux buts, je ressens cette tension, cette peur, les jambes qui tremblent plus de ceux de Serginho, Seedorf, Kaladze, Nesta et Sheva.

Pour revenir au match, la Juve part favorite pour deux raisons évidentes. Elle vient de remporter le championnat italien et en demi-finale, elle élimine le Real après un match exceptionnel. Le Milan lui arrive en finale sans battre l’Inter (0-0 et 1-1 à "l’extérieur").

Par contre l’équipe de Lippi doit faire face à un grand absent : Pavel Nedved est suspendu. Lippi fait un choix étonnant en faisant débuter Montero en latéral gauche, alors qu’il est beaucoup plus à l’aise dans l’axe et il avance Zambrotta d’un cran. Ancelotti en profite et demande à Shevchenko de jouer sur la droite pour mettre en difficulté Montero. C’est ce qui se passe pendant quasiment 45 minutes. Tudor se blesse avant la 1ère mi-temps, Lippi fait rentrer Birindelli et déplace Montero dans son rôle naturel de défenseur central. Cela remet un peu d’équilibre dans l’équipe de Buffon. Le match est, on s’en doutait, très tendu. Le Milan est un peu mieux en première mi-temps : Sheva marque après 8 minutes mais le but est annulé pour un hors-jeu de Rui Costa qu’on pourrait discuter longuement...

10 minutes plus tard, l’action la plus dangereuse du match : tête d’Inzaghi et miracle de Buffon, peut-être un de ses plus beaux arrêts. La deuxième mi-temps est très pauvre en actions du buts mais la Juventus commence à produire plus de jeu après l’entrée de Conte pour Camoranesi. Conte justement, aura l’action la plus dangereuse avec une frappe qui atterrit sur la barre transversale de Dida. Lippi surprend en faisant rentrer Zalayeta à la place de Davids. Ancelotti sent que son équipe cale physiquement et pour empêcher que la Juve prenne les devants, il fait rentrer Seginho pour Pirlo et Ambrosini pour Rui Costa. Les prolongations n’offrent pas beaucoup d’émotions au niveau des actions du buts. La Juve ne profite pas d’un Milan à l’agonie car Roque Junior se fait mal et devra continuer à jouer sur une jambe vu que les 3 changements ont déjà été effectués. Ancelotti fait reculer Ambrosini en défense sur la droite et avance Roque Junior qui fera ce qu’il peut. Le Milan joue pratiquement à 10 mais Seedorf et Gattuso font un superbe boulot et finalement la Juve ne sera pas trop dangereuse.

Les penaltys sont la traditionnelle loterie. Dida arrêtera un penalty de plus que Buffon et Sheva marquera le dernier tir décisif. Maldini lève la coupe des champions au ciel, comme son père l’avait fait exactement 40 ans en arrière.
Message posté par 6 per sempre
28 mai 2003 à Manchester, finale italienne de la coupe des champions entre Milan et la Juventus. Pour certain, une des pires finales de la champions league, pour d’autres, la plus belle, celle qui restera à jamais graver dans les esprits.

Car pour les milanistes, battre la Juve en finale de la coupe d’europe, aux penaltys, devient la plus belle des victoires possible. Vous pouvez dire ce que vous voulez, c’était un match fermé, un match "à l’italienne", "ça ne pouvait que se terminer de cette façon" etc... Mais le foot c’est comme ça, tu peux regarder un match pourri mais en tant que supporter tu peux aussi ressentir une tension énorme et au final, si ton équipe gagne, ce match devient pour toi le plus beau de tous les temps. Car ce n’était pas une finale normale. Là c’était différent. Les pleurs de joie après le penalty de Sheva, la fatigue après une journée très longue, la chaleur, la transpiration, toutes les bières descendus, l’attente et la tension qui monte, le mal de bide d’avant match. C’est un des matchs le plus important de l’histoire du foot italien. Encore aujourd’hui quand je regarde la séquence des tirs aux buts, je ressens cette tension, cette peur, les jambes qui tremblent plus de ceux de Serginho, Seedorf, Kaladze, Nesta et Sheva.

Pour revenir au match, la Juve part favorite pour deux raisons évidentes. Elle vient de remporter le championnat italien et en demi-finale, elle élimine le Real après un match exceptionnel. Le Milan lui arrive en finale sans battre l’Inter (0-0 et 1-1 à "l’extérieur").

Par contre l’équipe de Lippi doit faire face à un grand absent : Pavel Nedved est suspendu. Lippi fait un choix étonnant en faisant débuter Montero en latéral gauche, alors qu’il est beaucoup plus à l’aise dans l’axe et il avance Zambrotta d’un cran. Ancelotti en profite et demande à Shevchenko de jouer sur la droite pour mettre en difficulté Montero. C’est ce qui se passe pendant quasiment 45 minutes. Tudor se blesse avant la 1ère mi-temps, Lippi fait rentrer Birindelli et déplace Montero dans son rôle naturel de défenseur central. Cela remet un peu d’équilibre dans l’équipe de Buffon. Le match est, on s’en doutait, très tendu. Le Milan est un peu mieux en première mi-temps : Sheva marque après 8 minutes mais le but est annulé pour un hors-jeu de Rui Costa qu’on pourrait discuter longuement...

10 minutes plus tard, l’action la plus dangereuse du match : tête d’Inzaghi et miracle de Buffon, peut-être un de ses plus beaux arrêts. La deuxième mi-temps est très pauvre en actions du buts mais la Juventus commence à produire plus de jeu après l’entrée de Conte pour Camoranesi. Conte justement, aura l’action la plus dangereuse avec une frappe qui atterrit sur la barre transversale de Dida. Lippi surprend en faisant rentrer Zalayeta à la place de Davids. Ancelotti sent que son équipe cale physiquement et pour empêcher que la Juve prenne les devants, il fait rentrer Seginho pour Pirlo et Ambrosini pour Rui Costa. Les prolongations n’offrent pas beaucoup d’émotions au niveau des actions du buts. La Juve ne profite pas d’un Milan à l’agonie car Roque Junior se fait mal et devra continuer à jouer sur une jambe vu que les 3 changements ont déjà été effectués. Ancelotti fait reculer Ambrosini en défense sur la droite et avance Roque Junior qui fera ce qu’il peut. Le Milan joue pratiquement à 10 mais Seedorf et Gattuso font un superbe boulot et finalement la Juve ne sera pas trop dangereuse.

Les penaltys sont la traditionnelle loterie. Dida arrêtera un penalty de plus que Buffon et Sheva marquera le dernier tir décisif. Maldini lève la coupe des champions au ciel, comme son père l’avait fait exactement 40 ans en arrière.


Effectivement, ça devait être assez moche (sauf pour les supporters milanistes), car je ne me rappelle rien de cette finale, hormis le tab de Sheva.
La famille Maldini est la seule, avec les familles Sanchis et Busquets, dont le père et le fils ont réussi à gagner la Ligue des champions (qui plus est avec le même club).
Salut Fred, de retour de vacances en Guadeloupe, j'ai malheureusement manqué le top 50 sur les trios magiques... Mais pour me rattraper, j'ai posté ma modeste contribution avec quelques triplettes qui auraient pu avoir leur place dans ce top :
http://www.sofoot.com/top-50-trios-magi … 55794.html
Vu que personne ne va réagir 5 jours après, je te mets le lien, ça t'intéressera peut-être. ;)
Message posté par Alain Proviste
Salut Fred, de retour de vacances en Guadeloupe, j'ai malheureusement manqué le top 50 sur les trios magiques... Mais pour me rattraper, j'ai posté ma modeste contribution avec quelques triplettes qui auraient pu avoir leur place dans ce top :
http://www.sofoot.com/top-50-trios-magi … 55794.html
Vu que personne ne va réagir 5 jours après, je te mets le lien, ça t'intéressera peut-être. ;)


Le retour du fils prodigue !
Salut Alain, tu en as bien profité ?

Tu as du boulot:
Relire les trios magiques (c'est fait, donc ?)
Compte-rendu de Real-Liverpool (les premiers coms): ça c'est écharpé.
Article sur Piantoni
Article sur Remetter
Relire les 4 pages de ce Topic (c'est fait aussi ?) parce que je me sens seul parfois, s'il n'y a personne pour répondre, enrichir la discussion et mettre des articles, faire des listes...
Sur les quizz ça roupille aussi.
Message posté par Fred Astaire
Le retour du fils prodigue !
Salut Alain, tu en as bien profité ?

Tu as du boulot:
Relire les trios magiques (c'est fait, donc ?)
Compte-rendu de Real-Liverpool (les premiers coms): ça c'est écharpé.
Article sur Piantoni
Article sur Remetter
Relire les 4 pages de ce Topic (c'est fait aussi ?) parce que je me sens seul parfois, s'il n'y a personne pour répondre, enrichir la discussion et mettre des articles, faire des listes...
Sur les quizz ça roupille aussi.


Salut Fred, oui retour dans la famille après 6 ans sans venir au pays, ça fait du bien !
Et oui j'ai pas mal de retard, pas eu le temps de relire tout le top sur les trios, juste le classement vite fait... Idem pour ce topic et les autres articles dont tu parles. Je vais faire ça petit à petit dans la semaine car forcément, après quasi 3 semaines d'absence, j'ai pas mal de taf en retard ! ;)
Je me permet de replacer sur ce topic les trios d'Alain.

"Globalement, après l'avoir parcouru rapidement, je trouve ce top pas trop mal et relativement cohérent avec un bon mix entre les trios incontournables, les triplettes plus anciennes mais mythiques (Moreno-Pedernera-Labruna, Gren-Nordahl-Liedholm, Boniperti-Charles-Sivori, etc) et l'inévitable caution française avec les fameux trios offensifs nantais ou auxerrois.
Néanmoins, je voudrais quand même citer quelques trios légendaires manquants (avec pas mal de Sudam dedans) qui n'auraient pas dépareillé dans ce top."
En vrac :

Pelé-Pepe-Coutinho, Santos 60's

Zizinho-Jair-Ademir, Brésil 50

Rui Costa-Batistuta-Edmundo, Fiorentina 97-99

Schiaffino-Grillo-Liedholm, Milan 57-58

Pedro Rocha-Joya-Spencer, Peñarol 60's

Brindisi-Babington-Houseman, Huracan 73

Davids-Seedorf-Litmanen, Ajax 95

Sastre-De La Mata-Erico, Independiente 30's

Velasquez-Cueto-Cubillas, Pérou 78 (et Alianza Lima 77-78)

Causio-Bettega-Boninsegna, Juve fin 70's

Picchi-Burgnich-Facchetti, Inter 60's

Sivori-Maschio-Angelillo, Argentine 57

Balakov-Elber-Bobic, Stuttgart 90's

Pirlo-Vidal-Pogba, Juve 2014-2015

Martino-Pontoni-Farro, San Lorenzo 46-47

Gallardo-Simone-Trézéguet, Monaco 1999-2000

Maradona-Burruchaga-Valdano, Argentine 86

Claudio-Luizinho-Baltazar, Corinthians 50's

Nedved-Rosicky-Poborsky, République tchèque 2004

Domenghini-Nenê-Riva, Cagliari 69-70

Costinha-Maniche-Deco, FC Porto 2004

Cubilla-Morales-Artime, Nacional 69-71

Message posté par Fred Astaire
Je me permet de replacer sur ce topic les trios d'Alain.

"Globalement, après l'avoir parcouru rapidement, je trouve ce top pas trop mal et relativement cohérent avec un bon mix entre les trios incontournables, les triplettes plus anciennes mais mythiques (Moreno-Pedernera-Labruna, Gren-Nordahl-Liedholm, Boniperti-Charles-Sivori, etc) et l'inévitable caution française avec les fameux trios offensifs nantais ou auxerrois.
Néanmoins, je voudrais quand même citer quelques trios légendaires manquants (avec pas mal de Sudam dedans) qui n'auraient pas dépareillé dans ce top."
En vrac :

Pelé-Pepe-Coutinho, Santos 60's

Zizinho-Jair-Ademir, Brésil 50

Rui Costa-Batistuta-Edmundo, Fiorentina 97-99

Schiaffino-Grillo-Liedholm, Milan 57-58

Pedro Rocha-Joya-Spencer, Peñarol 60's

Brindisi-Babington-Houseman, Huracan 73

Davids-Seedorf-Litmanen, Ajax 95

Sastre-De La Mata-Erico, Independiente 30's

Velasquez-Cueto-Cubillas, Pérou 78 (et Alianza Lima 77-78)

Causio-Bettega-Boninsegna, Juve fin 70's

Picchi-Burgnich-Facchetti, Inter 60's

Sivori-Maschio-Angelillo, Argentine 57

Balakov-Elber-Bobic, Stuttgart 90's

Pirlo-Vidal-Pogba, Juve 2014-2015

Martino-Pontoni-Farro, San Lorenzo 46-47

Gallardo-Simone-Trézéguet, Monaco 1999-2000

Maradona-Burruchaga-Valdano, Argentine 86

Claudio-Luizinho-Baltazar, Corinthians 50's

Nedved-Rosicky-Poborsky, République tchèque 2004

Domenghini-Nenê-Riva, Cagliari 69-70

Costinha-Maniche-Deco, FC Porto 2004

Cubilla-Morales-Artime, Nacional 69-71


J'ai moi aussi déploré l'absence de trios brésiliens et uruguyens de 50, et de ceux qui se sont étonnés de l'absence d'un trio de l'Inter, par ex: Corso, Luis Suarez, Mazzola, ou le trio allemand avec Mattaus.
J'ai pensé aussi au Barça de Kubala.
Il y avait des trios tirés par les cheveux, comme Pelé-Pepe-Garrincha 58. Alegria et moi ont été les seuls à signaler qu'ils n'avaient pas joué un seul match de CDM, par contre ils ont été associés avant et après.
Mais comme d'habitude, si chacun fait sa petite liste, on arrive à plusieurs centaines .
Message posté par Fred Astaire
J'ai moi aussi déploré l'absence de trios brésiliens et uruguyens de 50, et de ceux qui se sont étonnés de l'absence d'un trio de l'Inter, par ex: Corso, Luis Suarez, Mazzola, ou le trio allemand avec Mattaus.
J'ai pensé aussi au Barça de Kubala.
Il y avait des trios tirés par les cheveux, comme Pelé-Pepe-Garrincha 58. Alegria et moi ont été les seuls à signaler qu'ils n'avaient pas joué un seul match de CDM, par contre ils ont été associés avant et après.
Mais comme d'habitude, si chacun fait sa petite liste, on arrive à plusieurs centaines .


On aurait été trois si j'avais été là. ;)
J'ai moi aussi tiqué sur cet improbable trio Pelé-Pepe-Garrincha qui n'a jamais été aligné en CDM (Pepe étant remplaçant en 58 comme en 62, l'aile gauche étant occupée par Zagallo) ni même en Copa America, je crois : Pepe était bien titulaire à la Copa 57 mais Pelé n'était pas encore en sélection tandis que Garrincha était alors un "simple" remplaçant" tandis qu'en 59, ces deux derniers étaient bien présents mais sans Pepe... et à la Copa 63, le Brésil avait envoyé une équipe B.
Pour les trios intéristes des années 60 et fin 80, je plussoie. En revanche, difficile de dégager un trio pour le Barça du début 60's pour lequel il serait plus facile de parler d'un quintet offensif (Suarez-Kubala-Czibor-Kocsis-Evaristo)... ;)
J'en ai forcément zappé quelques-uns :

Scirea-Gentile-Collovati, Italie 82

Adilio-Andrade-Zico, Flamengo début 80's

Zavarov-Belanov-Blokhine, Dynamo Kiev 86

Simonsen-Carrasco-Quini, Barça 82

Varallo-Cherro-Benitez Caceres, Boca 30's

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