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Référendum, le cas Suisse pour mieux comprendre:
https://www.ifrap.org/etat-et-collectivi…our-mieux-comprendre
Il y a certainement plus d'initiative locales que nationales puisqu'il y a plus de canton et communes que de Suisse, il n'y en a qu'une. Mais il y a tout de même pas mal de référendum nationaux.
FrenchiesRuud a écritRéférendum, le cas Suisse pour mieux comprendre:
https://www.ifrap.org/etat-et-collectivi…our-mieux-comprendre
L'IFRAP...
L'absence de Pointu m'incitait à penser que nous n'aurions plus de liens pointant vers eux.
Ah c'est un mauvais lien ? Ce site ne peut rien écrire de correct? (J'ai lu ça en verticale)
Je ne connais pas l'IFRAP, mais pour vivre en Suisse depuis un bout de temps maintenant, la situation y est effectivement compliquée. Les referendums d'initiative populaires (type taxer la viande) sont systématiquement rejetés avec une écrasante majorité, et bien que tout le monde s'accorde sur le fait de sortir des énergies fossiles, la Suisse reste un très mauvais élève. Chaque projet éolien ou solaire est soumis à un referendum local, résultat une petite dizaine de parcs éoliens de très petite tailles, pour une puissance installée mirobolante de 87MW (on était autour de 60MW en 2014).
Il faut aussi garder en tête que la Suisse reste un pays fédéral où les initiatives fédérales sont très mals vues. Par exemple, durant le COVID, le conseil fédéral (équivalent de notre conseil des ministres) a décidé des mesures pas trop fortes, semi confinement, masques obligatoires, tests obligatoires etc..., et les critiques de la population n'ont (en majorité) pas porté sur les mesures elles-mêmes, mais sur le fait que les cantons n'ont pas été impliqués, ni laissés libre de choisir.
Oui sur le papier, cela laisse chacun libre de lancer les initiatives les plus WTF, ou les plus ambitieuses, elles sont toutes rejetées, dans les faits le gouvernement doit proposer des mesures qui font concensus. Le consensus justement, fait partie de l'ADN de la confédération. La plupart des positions extrêmes sont très mal perçues, les blocages sont également très mal perçus, et tout est fait pour donner à manger à chaque parti politique. L'extrême droite a deux sièges de ministre (sur 7), mais les 7 sont capables de s'accorder sur chaque projet, il n'y a jamais de blocage. D'ailleurs, il était amusant de noter que l'été dernier, le projet fédéral "Approvisionnement en électricité sûr reposant sur des énergies renouvelables" qui essaie de fixer une feuille de route pour sortir du fossile, a dû être soutenue par le ministre de l'énergie, membre de l'UDC (extrême droite), et climatosceptique. Dans le cadre de son activité de ministre cependant, il a totalement soutenu le projet.
Finalement, au-delà des nombreux referendums locaux, cantonaux et fédéraux, c'est surtout cette culture du consensus qui est vraiment caractéristique de la démocratie suisse. Aucun parlementaire ne va essayer de bloquer la vie parlementaire, aucun ministre ne va bloquer le fonctionnement du conseil fédéral non plus. Cela est sans doute aussi dû à une plus grande représentativité des parties (pas tout à fait proportionnelle) et à l'absence de "majorité qui gouverne". Cela se ressent également dans les referendums, qui sont moins ambitieux afin d'obtenir une majorité, et surtout dans la lenteur de la vie démocratique.
Edit: L'éolien en SUisse en 2023, c'est 41 éoliennes installées sur 12 parcs.
Lopete et guy a écritJe ne connais pas l'IFRAP, mais pour vivre en Suisse depuis un bout de temps maintenant, la situation y est effectivement compliquée. Les referendums d'initiative populaires (type taxer la viande) sont systématiquement rejetés avec une écrasante majorité, et bien que tout le monde s'accorde sur le fait de sortir des énergies fossiles, la Suisse reste un très mauvais élève. Chaque projet éolien ou solaire est soumis à un referendum local, résultat une petite dizaine de parcs éoliens de très petite tailles, pour une puissance installée mirobolante de 87MW (on était autour de 60MW en 2014).
Il faut aussi garder en tête que la Suisse reste un pays fédéral où les initiatives fédérales sont très mals vues. Par exemple, durant le COVID, le conseil fédéral (équivalent de notre conseil des ministres) a décidé des mesures pas trop fortes, semi confinement, masques obligatoires, tests obligatoires etc..., et les critiques de la population n'ont (en majorité) pas porté sur les mesures elles-mêmes, mais sur le fait que les cantons n'ont pas été impliqués, ni laissés libre de choisir.
Oui sur le papier, cela laisse chacun libre de lancer les initiatives les plus WTF, ou les plus ambitieuses, elles sont toutes rejetées, dans les faits le gouvernement doit proposer des mesures qui font concensus. Le consensus justement, fait partie de l'ADN de la confédération. La plupart des positions extrêmes sont très mal perçues, les blocages sont également très mal perçus, et tout est fait pour donner à manger à chaque parti politique. L'extrême droite a deux sièges de ministre (sur 7), mais les 7 sont capables de s'accorder sur chaque projet, il n'y a jamais de blocage. D'ailleurs, il était amusant de noter que l'été dernier, le projet fédéral "Approvisionnement en électricité sûr reposant sur des énergies renouvelables" qui essaie de fixer une feuille de route pour sortir du fossile, a dû être soutenue par le ministre de l'énergie, membre de l'UDC (extrême droite), et climatosceptique. Dans le cadre de son activité de ministre cependant, il a totalement soutenu le projet.
Finalement, au-delà des nombreux referendums locaux, cantonaux et fédéraux, c'est surtout cette culture du consensus qui est vraiment caractéristique de la démocratie suisse. Aucun parlementaire ne va essayer de bloquer la vie parlementaire, aucun ministre ne va bloquer le fonctionnement du conseil fédéral non plus. Cela est sans doute aussi dû à une plus grande représentativité des parties (pas tout à fait proportionnelle) et à l'absence de "majorité qui gouverne". Cela se ressent également dans les referendums, qui sont moins ambitieux afin d'obtenir une majorité, et surtout dans la lenteur de la vie démocratique.
Merci du retour. Moi j'ai vécu presque toute ma vie en Suisse. Mais c'est vrai que la politique je regarde ça de loin. Mais je voyais souvent des débats autour de référendum à la tv.
FrenchiesRuud a écritMerci du retour. Moi j'ai vécu presque toute ma vie en Suisse. Mais c'est vrai que la politique je regarde ça de loin. Mais je voyais souvent des débats autour de référendum à la tv.
J'y suis depuis bien moins longtemps que toi alors, et je t'avoue que la politique suisse me parait encore très étrange, je ne comprends pas tout, je ne m'y intéresse que peu (je ne peux pas voter de toutes façons), et je découvre souvent les initiatives lors de la semaine qui précède le vote ^^
Lopete et guy a écritJ'y suis depuis bien moins longtemps que toi alors, et je t'avoue que la politique suisse me parait encore très étrange, je ne comprends pas tout, je ne m'y intéresse que peu (je ne peux pas voter de toutes façons), et je découvre souvent les initiatives lors de la semaine qui précède le vote ^^
Ah non j'y suis plus. C'est beaucoup trop cher.
Lopete et guy a écritLe consensus justement, fait partie de l'ADN de la confédération. La plupart des positions extrêmes sont très mal perçues, les blocages sont également très mal perçus.
Lopete et guy a écritc'est surtout cette culture du consensus qui est vraiment caractéristique de la démocratie suisse.
Le rêve de Bono.
Je crois que la Suisse est au 4/5 germanique, le tableau dessiné par Lopette est assez raccord avec ça.
Un truc cependant, on y retrouve l'importance des partis, partant de là le ver est dans le fruit.
(L'IFRAP est un groupe d'influence, avec un agenda politique. Presque ontologiquement malhonnêtes.
Disons que si on avait des liens vers Boulevard Voltaire ou le Club de l'horloge, plus d'un hausserait un sourcil...
Quoique la période serait plus favorable à tomber sur l'institut la Boétie.
Tout le monde sait que Terra Nova c'est d'la merde, pas besoin de revenir dessus.)
Pas pu m'empêcher de penser à vous, les intervenants du topic Planète, quand je suis tombé sur cette vidéo.
Flying First Class to Every Continent in 7 days
https://www.youtube.com/watch?v=wIZVYzFVvqE
Une formidable tête à claques ce Will.
Médoc indépendant! a écritDisons que je leur demanderai de consommer moins mais mieux. Si tu payes ton jean 2x plus chers mais qu'il te tient 2x plus longtemps, tu perds pas vraiment en pouvoir d'achat, si? Si ce n'est que tu pourras moins suivre les tendances de la mode qui changent tous les 3 mois. Et tu auras utilisé 2x moins de ressources. Tu payes plus mais tu changes moins souvent.
Autant dans certains domaines genre la bouffe, je comprends bien que c'est compliqué financierement pour beaucoup de gens d'aller acheter sa viande chez le boucher ect, vu que dans ce genre de cas tu dépenses plus pour un usage équivalent. Mais en ce qui concerne les biens manufacturés, généralement ce qui est plus cher tu l'utiliseras plus longtemps, alors le ratio ne suit peut être pas le surcout mais bon... Chez moi (ou peut être partout d'ailleurs..?) on dit : "moins cher, c'est plus cher".
Mais oui je comprends qu'il faudrait un marché si ce n'est fermé, au moins contrôlé pour que ça puisse réellement fonctionner.
Si on te suit, il faut rouler en Féfé ou aller à pied. Je suis pour.
Pour répondre à certaines de tes interrogations, il faut d'abord faire un rappel. Si je te demande ce que tu as dans ton portefeuille, tu me répondras probablement de la monnaie, de l'argent, des sousous. Mais en réalité, ce que tu possèdes ce sont des biens et des services que tu as produits et que tu échangeras contre d'autres biens et services. C'est ce qu'on appelle la loi des débouchés. En gros, lorsque tu crées une production supplémentaire, tu crées un pouvoir d'achat supplémentaire. La demande est une composante de l'offre.
Un fois que tu as cela en tête, tu peux dérouler le fil et te faire une opinion sur la pertinence des propositions de certains "écolos". Ce n'est pas vraiment un souci d'être radical, encore faut-il être un peu cohérent. Et militer pour un changement de mode de vie, aka moins produire et consommer, tout en réclamant davantage de services publics et de protection sociale, c'est au mieux afficher son ignorance ou au pire exhiber une débilité profonde. D'ailleurs, le journaliste de France Inter aurait pu demander à l'elfe à Aviator : "dans le monde rêvé d'Aurelien Barrau, comment finance t-on les astrophysiciens et leurs recherches ?"
Concernant les remarques que tu fais dans ton post, et qui ne sont pas dénuées de bon sens, je pense qu'il y a deux choses que tu mésestimes.
La première est que tu peux augmenter le pouvoir d'achat d'un consommateur en augmentant ses revenus ou bien en lui offrant des biens et services moins chers. La déflation est souvent associée à des périodes de crise, mais elle peut être aussi la conséquence d'une forte croissance, les producteurs répercutant les gains de productivité et autres améliorations sur les consommateurs.
La seconde est que tu ne prends pas en compte les préférences individuelles et en particulier les préférences temporelles.
Autre chose encore, si tu veux te faire une idée de l'importance de l'industrie par rapport aux services, jette un œil aux pays les plus riches par tête de pipe (en mettant de côté les paradis fiscaux bien sûr). Tu constateras qu'ils possèdent des industries à forte valeur ajoutée. Ce sont les locos. Et comme bon exemple d'un pays qui rame à cause de ses faiblesses dans ce domaine, tu as la France.
Polstergeist a écritSi on te suit, il faut rouler en Féfé ou aller à pied. Je suis pour.
Pour répondre à certaines de tes interrogations, il faut d'abord faire un rappel. Si je te demande ce que tu as dans ton portefeuille, tu me répondras probablement de la monnaie, de l'argent, des sousous. Mais en réalité, ce que tu possèdes ce sont des biens et des services que tu as produits et que tu échangeras contre d'autres biens et services. C'est ce qu'on appelle la loi des débouchés. En gros, lorsque tu crées une production supplémentaire, tu crées un pouvoir d'achat supplémentaire. La demande est une composante de l'offre.
Un fois que tu as cela en tête, tu peux dérouler le fil et te faire une opinion sur la pertinence des propositions de certains "écolos". Ce n'est pas vraiment un souci d'être radical, encore faut-il être un peu cohérent. Et militer pour un changement de mode de vie, aka moins produire et consommer, tout en réclamant davantage de services publics et de protection sociale, c'est au mieux afficher son ignorance ou au pire exhiber une débilité profonde. D'ailleurs, le journaliste de France Inter aurait pu demander à l'elfe à Aviator : "dans le monde rêvé d'Aurelien Barrau, comment finance t-on les astrophysiciens et leurs recherches ?"
Concernant les remarques que tu fais dans ton post, et qui ne sont pas dénuées de bon sens, je pense qu'il y a deux choses que tu mésestimes.
La première est que tu peux augmenter le pouvoir d'achat d'un consommateur en augmentant ses revenus ou bien en lui offrant des biens et services moins chers. La déflation est souvent associée à des périodes de crise, mais elle peut être aussi la conséquence d'une forte croissance, les producteurs répercutant les gains de productivité et autres améliorations sur les consommateurs.
La seconde est que tu ne prends pas en compte les préférences individuelles et en particulier les préférences temporelles.
Autre chose encore, si tu veux te faire une idée de l'importance de l'industrie par rapport aux services, jette un œil aux pays les plus riches par tête de pipe (en mettant de côté les paradis fiscaux bien sûr). Tu constateras qu'ils possèdent des industries à forte valeur ajoutée. Ce sont les locos. Et comme bon exemple d'un pays qui rame à cause de ses faiblesses dans ce domaine, tu as la France.
Ah mais t'es là toi ? T'as pas gagné à l'Euro Millions alors ?
"Et militer pour un changement de mode de vie, aka moins produire et consommer, tout en réclamant davantage de services publics et de protection sociale, c'est au mieux afficher son ignorance ou au pire exhiber une débilité profonde."
Rabâcher ça tel un mantra prouve que certains tremblent du menton en entrevoyant le monde nouveau qui s'annonce.
Car personne ne demande à produire moins, juste à produire mieux. C'est là où certains s'affolent quand ils feignent de ne pas comprendre.
Et ouais mon pote, va falloir par recommencer à chier ailleurs que dans de l'eau potable.
( tout en continuant à consulter ses notifs sofoot, on est pas des barbares non plus)
Ahaha, après des mois à nous expliquer que Gaïa agonise, qu'il est urgent d'agir, on a droit maintenant à "faut pas produire moins, juste mieux".
Pardi, les mecs qui dénoncent le productivisme, le consumérisme..., en fait, ils veulent simplement produire "mieux". À ce qu'il semble, "mieux", c'est un peu comme "soutenable" ou "durable", ça peut signifier tout un tas de trucs.
Du blabla et toujours rien de concret. C'est dommage. Par exemple, les agriculteurs seraient sûrement intéressés par savoir comment produire "mieux" sans baisse de rendement. Nos Product Owners du fofo aussi sont avides ee conseils.
Déjà, en quittant la FNSEA.
Puis en étudiant de près la permaculture.
Suivez-moi pour de nouvelles solutions tout au long de cette semaine.
Sinon, je vais t'expliquer un truc petit bonhomme. A l'aide d'une anecdote, d'une étude de cas.
Car visiblement, tu as fait de brillantes études, étudié bien à fond la théorie afin de te donner de la contenance, de la confiance en toi. C'est tout à ton honneur. Mais tu sembles malheureusement incapable d'adapter ton savoir et de le faire évoluer. Figé le gars. Paralysé, s'il bouge un orteil il risque d'admettre qu'il ne sait pas. ( ça c'est juste pour toutes les fois où tu m'as insulté, tenté de me rabaisser...etc...sur un fofo anonyme et confidentiel je rappelle, hein, juste pour situer le bonhomme)
Donc...
Hier, je rentre d'un weekend familial, et je m'arrête dans un super U pour faire 2 ou 3 courses. (Je ne vais jamais dans les supermarché, sauf pour y acheter de l'alcool et d’éventuels produits d'entretien.)
Je prend des pommes non bio, qui viennent de "France". 3,50 le Kg.
TROIS CINQUANTE LE KG!
Alors que j’achète habituellement mes fruits et légumes, dans une association de producteurs. Tout est produit localement. Que des trucs de saisons. Tu prends ce qu'il y a, faut s'adapter et cuisiner en fonction.
Les pommes viennent de 15 bornes, sont bio, ya 6 ou 7 variétés, elles sont à 2 euros.
Tout est à l'avenant.
Et ils ont des invendus. Manque de clients parfois. Et l’Intermarché à côté est blindé de gens.
Va comprendre la bêtise humaine...moi, j'ai renoncé. Même si je viens ici de temps à autres, pour me faire malmener. Apprendre de la bêtise des excités des internets.
Permaculture, permaculture... Ça me parle, me dit vaguement quelque chose... Est-ce que cela aurait un quelconque rapport avec le livre "Permaculture one" de Molison et Holmgren, qui trône sur mon étagère?!
La permaculture, c'est bien. Avoir tout de même une petite idée des rendements des divers modes de culture, c'est "mieux".
Ahaha
Point 1 : ne pas confondre perte et gaspillage alimentaire.
Point 2 : quelques chiffres
https://www.inrae.fr/actualites/infograp…illages-alimentaires
Et encore, j'ai pas pris le lien le plus objectif en la matière
Point 3 : ya encore des gens pour nous dire qu'il faut du "rendement" et produire. Au détriment de toute conscience écologique.
Un peu comme ces gens que je croise (ou plutôt qui me doublent) sur la route.
->Foncer, foncer, foncer pour arriver à l'heure ou passer devant toi au rond point. Sans se poser de questions, parce que c'est comme ça...
Et comme on aime bien les études:
taux de suicide chez les paysans en France. Bizarrement, cela touche plus ce qui ont de grandes surfaces d'exploitations ( faut du rendement et produire hein, sinon, comment qu'on fait pour rembourser les engrais et le matériel???)
EH OUAIS MON POTE a écritPoint 1 : ne pas confondre perte et gaspillage alimentaire.
Point 2 : quelques chiffres
https://www.inrae.fr/actualites/infograp…illages-alimentaires
Et encore, j'ai pas pris le lien le plus objectif en la matière
Point 3 : ya encore des gens pour nous dire qu'il faut du "rendement" et produire. Au détriment de toute conscience écologique.
Un peu comme ces gens que je croise (ou plutôt qui me doublent) sur la route.
->Foncer, foncer, foncer pour arriver à l'heure ou passer devant toi au rond point. Sans se poser de questions, parce que c'est comme ça...
Et l'éducation alimentaire ?
Tu fous 1 tonne de carottes à 50%, ça intéressera quelques personnes. Fais la même avec des palettes de Nutella... t'as des émeutes.
Moi ce que je retiens, c'est que tu utilises probablement un véhicule à combustion pour acheter des pommes pas bio et de la gnôle au supermarché du coin. Il est beau le changement de paradigme.
J'ai un SUV de 2011.