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Ça plane toujours ?

La planète se meurt ! Et y a toujours des gens pour la maltraiter. JCVD a dit: "J'aime l'eau. Et dans 20 ans, y en aura plus". Vous aimez l'eau ? Alors faites un effort.

EH OUAIS MON POTE a écrit

"Sur l’aspect « je schématise », évidemment que je suis obligé de le faire sur cet aspect armée/aviation civile (si tu veux plus de précisions je t’invite à lire le document que j’ai mis plus haut)."

J'ai lu bon sang, et je connais cette théorie.

Mais dans les faits, il y a moult dérogations la distance pouvant se réduire à 5 Km.

(70 km étant beaucoup, beaucoup moins fréquent)

Je veux bien que rien ne soit noir ou blanc, mais tu caricatures tellement toi-même... par pur esprit de contradiction?

Pourquoi mettre en avant ces 70 Km?

C'est malhonnête.

Bah parce que in fine c’est très souvent le cas et que l’armée fait ce qu’elle veut. Pas pour rien que le dialogue est rompu avec la filière éolienne en France.

C’est comme le balisage lumineux des éoliennes. On pourrait très bien avoir des éclats lumineux qui ne se déclenchent que lorsqu’un avion passe à proximité (via les transpondeurs). C’est déjà ce qui se fait dans plusieurs pays, sans que ça pose soucis, et c’est donc techniquement largement faisable (et la filière éolienne demande à ce que ce soit appliqué en France depuis plusieurs années). Sauf que l’armée française ne veut pas. Va savoir pourquoi.

Champion-Mon-Frère a écrit

Bah parce que in fine c’est très souvent le cas et que l’armée fait ce qu’elle veut. Pas pour rien que le dialogue est rompu avec la filière éolienne en France.

C’est comme le balisage lumineux des éoliennes. On pourrait très bien avoir des éclats lumineux qui ne se déclenchent que lorsqu’un avion passe à proximité (via les transpondeurs). C’est déjà ce qui se fait dans plusieurs pays, sans que ça pose soucis, et c’est donc techniquement largement faisable (et la filière éolienne demande à ce que ce soit appliqué en France depuis plusieurs années). Sauf que l’armée française ne veut pas. Va savoir pourquoi.

How dare you nous mentir?! Quelle indignité.

Continu à regarder passer les trains, tout va bien se passer...

Rappel:

""Des financiers se sont intéressés aux ENR et on a laissé les projets se faire avec des prix incitatifs garantis. Aujourd’hui, des officines spécialisées démarchent les agriculteurs, propriétaires de terres, pour installer des éoliennes ou développer l’agrovoltaïsme. C’est une forme d’assurance retraite pour ces ruraux, mais nous ne pouvons pas continuer comme ça""

Maintenant tu nous sors " bah oui, mais l'aviation, l'armée tout ça" sans trembler du menton.

Continuons donc à pourrir nos campagnes tout en pointant du doigt les faux coupables:

- ces sales zadistes qui n'ont jamais fait leur service militaire, ou ces châtelains qui veulent conserver leurs vues imprenables tout en fraudant le fisc.

Liste non exhaustive, j'ai pas le temps.

EH OUAIS MON POTE a écrit

Tiens, c'est marrant, je reconnais dans cet article les mêmes méthodes, les mêmes ficelles utilisés par EDF Renouvelables"" que celles d'un de nos célèbres forumeur, brandissant des rapports à chaque question gênante.

https://www.lefigaro.fr/nantes/eoliennes…int-nazaire-20230317

Je ne vais pas revenir sur l'intérêt ou pas de l'éolien (le GIEC cite encore en début de semaine dans sa synthèse cette technologie comme l'un des premiers leviers de décarbonation). Si on en est (du moins l'association en question), encore à débattre là-dessus, faut pas s'étonner de voir dans quel contexte énergétique on se retrouve aujourd'hui.

Pour le reste, sans même parler de ce que peut dire EDF, l'asso est un peu ridicule.

"Toujours selon eux, cette intermittence viendrait contrecarrer les objectifs de production du site tels qu'ils ont été définis et validés au moment de sa création. Ceux-ci s'élèvent à une prévision de rendement de 40%. Le compte n'y serait pas. «Entre le 10 janvier et le 10 mars 2023, les graphiques indiquent une moyenne de 161 MW soit un rendement de 33,5%. Après l'été, on sera nettement en dessous, vers 30% ou moins», anticipent-ils."

Ils sont au courant que l'année ne s'arrête pas après l'été et qu'il y a un automne et également un mois de décembre pour faire une année complète ?

Non mais franchement…

Le reste est un peu du même acabit.

Final en beauté avec le "une telle instabilité de production condamne techniquement les productions intermittentes" qui ne repose strictement sur rien et dont la contre vérité a été mainte et mainte fois prouvée (cf RTE, AIE, ADEME, GIEC etc)

Que l'association évoque ses craintes sur la biodiversité etc ok, mais si on en encore à ce genre de débat...

Rien à voir mais :

"À l’échelle européenne, la France est le seul État membre à avoir manqué son objectif d’ENR pour 2020 Au total, ce sont au moins 60 TWh d’énergie renouvelable qui manquent à l’appel, et autant d’imports de gaz qui auraient pu être économisés dans les secteurs de la chaleur et de l’électricité principalement. Pour la seule année 2022, cela équivaut à une perte d’environ 6 à 9 milliards d’euros, soit autant que l’ensemble des investissements français dans les énergies renouvelables en 2018. Sans même parler des 500 millions d’euros de sanctions potentielles que la France devrait payer pour non-respect de l’objectif"

Source : Institut du développement durable et des relations internationales

https://www.iddri.org/fr/publications-et…ouvelables-en-france

Bah, écoute mon pote...quand tu en seras au temps d'avoir un pilulier dans ton quotidien, tu te diras peut-être:

-"bah merde, on a recouvert d'ENR nos terres arables, déglingués nos paysages, niqués des chinois fabriquant...et bordel...rien n'a changé, on est tjs dans la même merde climatique puissance 10. Lima n'a plus d'eau depuis 20 ans, Alger est devenu un désert. Le Rhône a cesser de couler par endroits.

Montpellier n'est plus qu'un amas de cabanons. "

On ne se comprend pas depuis le début je pense.

Je n'ai rien contre les ENR, mais si l'on ne change pas radicalement nos modes de vies, tout ça ne servira à rien.

Pour cela, il faut une impulsion politique forte soutenue par un peuple enthousiaste, prêt à renoncer à énormément de choses.

Donc, c'est mort.

Personne ne voulant renoncer à rien.

CQFD.

Alors, laissez nous crever en paix les vendeurs d'ENR à la campagne.

N'oublie pas de te faire enterrer avec un rapport, comme ces généraux qu'on enterait avec leur cheval .

EH OUAIS MON POTE a écrit

Bah, écoute mon pote...quand tu en seras au temps d'avoir un pilulier dans ton quotidien, tu te diras peut-être:

-"bah merde, on a recouvert d'ENR nos terres arables, déglingués nos paysages, niqués des chinois fabriquant...et bordel...rien n'a changé, on est tjs dans la même merde climatique puissance 10. Lima n'a plus d'eau depuis 20 ans, Alger est devenu un désert. Le Rhône a cesser de couler par endroits.

Montpellier n'est plus qu'un amas de cabanons. "

On ne se comprend pas depuis le début je pense.

Je n'ai rien contre les ENR, mais si l'on ne change pas radicalement nos modes de vies, tout ça ne servira à rien.

Pour cela, il faut une impulsion politique forte soutenue par un peuple enthousiaste, prêt à renoncer à énormément de choses.

Donc, c'est mort.

Personne ne voulant renoncer à rien.

CQFD.

Alors, laissez nous crever en paix les vendeurs d'ENR à la campagne.

N'oublie pas de te faire enterrer avec un rapport, comme ces généraux qu'on enterait avec leur cheval .

"Lire les rapports du GIEC, ce n'est pas juste prendre conscience de la gravité du problème et de l'ampleur de la tâche, c'est aussi beaucoup relativiser certains discours doomistes/effondristes qui voudraient nous faire croire qu'on ne peut rien faire"

Rien à voir mais, j’ai assisté ce jour à une journée atelier sur le EnR avec intervention/animation d’une Président de chambre d’Agriculture, d’un Président de Département, d’un Scientifique du CNRS, d’un Préfet, d’un Sénateur, d’un Président de l’Asso des Maires de France etc.

Mention spéciale au Sénateur qui, rappelons le de part sa fonction, a travaillé et voté la loi d’accélération des ENR, avec sa vision : frein des quatre fers sur éolien/photovoltaïque/méthanisation et bois-énergie versus souhait d'amplification du développement des STEP car il a vu ça au Costa-Rica et en Australie.

Absolument lunaire (et dramatique)

EH OUAIS MON POTE a écrit

On ne se comprend pas depuis le début je pense.

Je n'ai rien contre les ENR, mais si l'on ne change pas radicalement nos modes de vies, tout ça ne servira à rien.

Pour cela, il faut une impulsion politique forte soutenue par un peuple enthousiaste, prêt à renoncer à énormément de choses.

Donc, c'est mort.

Personne ne voulant renoncer à rien.

CQFD.

À quoi bon les rapports et les chiffres, lorsqu'il suffit de marteler qu'il faut un changement radical dans notre mode de vie. Sans jamais préciser évidemment quel est l'objectif, quel mode de vie serait soutenable et les moyens à mettre en oeuvre (bah oui, faudrait avancer de maudits chiffres et rapports).

En supposant donc que ce changement de mode de vie passe par une diminution drastique des richesses crées, il est assez facile d'en tirer une première conséquence: la diminution massive des dépenses publiques. Bye bye généreux système de prestations sociales, bye bye recherche, bye bye sympathiques fonctionnaires... Le premier qui aurait bien du mal à renoncer à toutes ces choses, c'est vraisemblablement toi.

Mais l'important n'est pas de proposer quelque chose, c'est de jouer les Cassandre.

Bah, tu n'as pas bien lu.

Et je te trouve bien péremptoire.

Bref, l'important c'est de marquer les esprits et de permettre une réflexion en arrière plan, subconsciente.

Mission accomplie.

Je suis dans ton cerveau où la haine et le mépris dominent, avec son logiciel périmé.

Polstergeist a écrit

À quoi bon les rapports et les chiffres, lorsqu'il suffit de marteler qu'il faut un changement radical dans notre mode de vie. Sans jamais préciser évidemment quel est l'objectif, quel mode de vie serait soutenable et les moyens à mettre en oeuvre (bah oui, faudrait avancer de maudits chiffres et rapports).

En supposant donc que ce changement de mode de vie passe par une diminution drastique des richesses crées, il est assez facile d'en tirer une première conséquence: la diminution massive des dépenses publiques. Bye bye généreux système de prestations sociales, bye bye recherche, bye bye sympathiques fonctionnaires... Le premier qui aurait bien du mal à renoncer à toutes ces choses, c'est vraisemblablement toi.

Mais l'important n'est pas de proposer quelque chose, c'est de jouer les Cassandre.

Je ne m'y connais pas du tout et je vais sûrement dire des conneries et poser une question bête... ce qui ne m'a jamais bien sûr arrêté ! ^^

Pourquoi un mode de vie soutenable serait forcément synonyme de "diminution drastique des richesses créées"? C'est obligatoire?

Pourquoi la richesse créée ne serait pas autre? Juste créée plus proprement?

Je veux dire comme un transfert de richesse finalement.

Pourquoi faudrait-il forcément imaginer un "nouveau" système qui serait forcément moins "riche" et qui nous forcerait à revoir "prestations sociales", "recherche" (surtout que là pour améliorer notre sort, il me semble qu'il faut justement continuer à investir dans la recherche) et que t'on fait nos "sympathiques fonctionnaires" bordel de couilles ! ^^

Totti Chianti a écrit

Je ne m'y connais pas du tout et je vais sûrement dire des conneries et poser une question bête... ce qui ne m'a jamais bien sûr arrêté ! ^^

Pourquoi un mode de vie soutenable serait forcément synonyme de "diminution drastique des richesses créées"? C'est obligatoire?

Pourquoi la richesse créée ne serait pas autre? Juste créée plus proprement?

Je veux dire comme un transfert de richesse finalement.

Pourquoi faudrait-il forcément imaginer un "nouveau" système qui serait forcément moins "riche" et qui nous forcerait à revoir "prestations sociales", "recherche" (surtout que là pour améliorer notre sort, il me semble qu'il faut justement continuer à investir dans la recherche) et que t'on fait nos "sympathiques fonctionnaires" bordel de couilles ! ^^

que t'ont fait bien sûr !

C'est chiant les ordis estrangins, ça te souligne tout en rouge et tu ne peux plus te relire avant de poster !

EH OUAIS MON POTE a écrit

Bah, tu n'as pas bien lu.

Et je te trouve bien péremptoire.

Bref, l'important c'est de marquer les esprits et de permettre une réflexion en arrière plan, subconsciente.

Mission accomplie.

Je suis dans ton cerveau où la haine et le mépris dominent, avec son logiciel périmé.

Bla Bla bla. En attendant, on attend toujours que tu nous donnes l'objectif à atteindre et les moyens d'y parvenir. Autant dire que l'on va attendre longtemps.

Quant-au reste, comment dire ? Je n'éprouve pas de haine, mais plutôt de la gêne. Simplement parce que tu es pathétique. Tu aimes donner des leçons de vie à deux balles, que tu n'appliques bien évidemment jamais à toi-même. Tu n'es dans le cerveau de personne, parce que personne ici n'a vraiment envie de dialoguer avec toi.

Au cas où tu l'aurais oublié, tu n'es pas autre chose qu'un stalker bas de gamme qui fait des fixettes sur certains forumeurs. Un mec qui critique ce site et ses membres, mais qui ne peut pas s'empêcher d'y venir. Triste solitude.

Totti Chianti a écrit

Je ne m'y connais pas du tout et je vais sûrement dire des conneries et poser une question bête... ce qui ne m'a jamais bien sûr arrêté ! ^^

Pourquoi un mode de vie soutenable serait forcément synonyme de "diminution drastique des richesses créées"? C'est obligatoire?

Pourquoi la richesse créée ne serait pas autre? Juste créée plus proprement?

Je veux dire comme un transfert de richesse finalement.

Pourquoi faudrait-il forcément imaginer un "nouveau" système qui serait forcément moins "riche" et qui nous forcerait à revoir "prestations sociales", "recherche" (surtout que là pour améliorer notre sort, il me semble qu'il faut justement continuer à investir dans la recherche) et que t'on fait nos "sympathiques fonctionnaires" bordel de couilles ! ^^

Le truc c'est que du moment que tu entre dans une logique de sobriété (pas d'efficacité, de sobriété juste dépenser moins), de fait ça fait moins d'argent dans l'économie, que ce soit au niveau de la production ou de la distribution, l'entretien etc. Tout ces flux d'argent, si au début ils sont simplement épargnés, assez rapidement ils se transforment en fermetures des commerces impactés par la "sobriété" et donc moins de revenus pour l'état, tout le tissu impacté par cette sobriété pourra moins dépenser dans le reste, etc.

Je ne dis pas qu'il ne faut pas de sobriété sur certains points, mais comme le dit Polster, il faut juste être bien conscient de tout ce que ça implique.

Totti Chianti a écrit

Je ne m'y connais pas du tout et je vais sûrement dire des conneries et poser une question bête... ce qui ne m'a jamais bien sûr arrêté ! ^^

Pourquoi un mode de vie soutenable serait forcément synonyme de "diminution drastique des richesses créées"? C'est obligatoire?

Pourquoi la richesse créée ne serait pas autre? Juste créée plus proprement?

Je veux dire comme un transfert de richesse finalement.

Pourquoi faudrait-il forcément imaginer un "nouveau" système qui serait forcément moins "riche" et qui nous forcerait à revoir "prestations sociales", "recherche" (surtout que là pour améliorer notre sort, il me semble qu'il faut justement continuer à investir dans la recherche) et que t'on fait nos "sympathiques fonctionnaires" bordel de couilles ! ^^

L'exemple a ses défauts mais l'efficacité et le transfert c'est acheter une voiture électrique à la place d'une termique.

La sobriété c'est de prendre les transports en commun.

Et même si on peut souhaiter le second, quand une usine automobile ferme dans une région c'est une catastrophe économique tant le tissu économique qui va avec est important. D'autant plus que les usines sont souvent dans des coins ruraux ou il n'y a pas grand chose quand on traverse la rue et les gens n'ont pas la culture américaine d'aller dans une région plus intéressante au niveau de l'emploi.

Totti Chianti a écrit

Je ne m'y connais pas du tout et je vais sûrement dire des conneries et poser une question bête... ce qui ne m'a jamais bien sûr arrêté ! ^^

Pourquoi un mode de vie soutenable serait forcément synonyme de "diminution drastique des richesses créées"? C'est obligatoire?

Pourquoi la richesse créée ne serait pas autre? Juste créée plus proprement?

Je veux dire comme un transfert de richesse finalement.

Pourquoi faudrait-il forcément imaginer un "nouveau" système qui serait forcément moins "riche" et qui nous forcerait à revoir "prestations sociales", "recherche" (surtout que là pour améliorer notre sort, il me semble qu'il faut justement continuer à investir dans la recherche) et que t'on fait nos "sympathiques fonctionnaires" bordel de couilles ! ^^

Si tout le monde devenait sobre, t'imagines toutes les fermetures de PMU ?

Totti Chianti a écrit

Je ne m'y connais pas du tout et je vais sûrement dire des conneries et poser une question bête... ce qui ne m'a jamais bien sûr arrêté ! ^^

Pourquoi un mode de vie soutenable serait forcément synonyme de "diminution drastique des richesses créées"? C'est obligatoire?

Pourquoi la richesse créée ne serait pas autre? Juste créée plus proprement?

Je veux dire comme un transfert de richesse finalement.

Pourquoi faudrait-il forcément imaginer un "nouveau" système qui serait forcément moins "riche" et qui nous forcerait à revoir "prestations sociales", "recherche" (surtout que là pour améliorer notre sort, il me semble qu'il faut justement continuer à investir dans la recherche) et que t'on fait nos "sympathiques fonctionnaires" bordel de couilles ! ^^

Le premier problème est de définir ce qu'est un mode de vie "soutenable". Et en général, ceux qui utilisent ce vocable, ou parlent de changer radicalement de mode de vie, se gardent bien de le définir avec précision.

Par exemple, les solutions proposées pour réaliser une transition énergétique engendrent d'énormes besoin en minerais. Est-ce "soutenable"? Certains écolos (corticalisés et pas bornés, ça existe aussi) font remarquer que l'éolien ou le solaire, s'ils sont utiles à la transition ne peuvent être considérés comme réellement soutenables à long terme.

On peut critiquer les rapports du camarade Champion, discuter des chiffres, des orientations, bref de tout, mais au moins ils constituent une base de travail.

Pour répondre à tes questions, ce n'est pas très compliqué. Les "richesses" (biens et services), ce n'est pas autre chose que de l'énergie transformée. Les dépenses publiques sont financées par des prélèvements sur les richesses créées. Donc si le changement radical de mode de vie consiste à se passer des sources d'énergie les plus sales, à diminuer la création de richesses, il sera simplement impossible de maintenir les mèmes niveaux de dépenses publiques. C'est bien pour cela que la transition énergétique envisagée consiste surtout par développer des énergies "propres" (Huhu), réaliser des économies, améliorer l'efficacité énergétique... Il ne s'agit pas vraiment de diminuer les richesses produites.

Champion-Mon-Frère a écrit

"Lire les rapports du GIEC, ce n'est pas juste prendre conscience de la gravité du problème et de l'ampleur de la tâche, c'est aussi beaucoup relativiser certains discours doomistes/effondristes qui voudraient nous faire croire qu'on ne peut rien faire"

'tention bonhomme, c'est pas parce qu'on pense que le pire est probable (écroulement) qu'on pense également qu'il ne faut rien faire, parce-que c'est surtout qu'on ne fait rien qui rend le pire probable.

Tiens, je me rends compte que ça marche pareil avec Macron!

Bon, c'est pas tout ça mais on a des trucs à faire cramer. Oui c'est contradictoire, je sais.

Zé Fuba a écrit

Le truc c'est que du moment que tu entre dans une logique de sobriété (pas d'efficacité, de sobriété juste dépenser moins), de fait ça fait moins d'argent dans l'économie, que ce soit au niveau de la production ou de la distribution, l'entretien etc. Tout ces flux d'argent, si au début ils sont simplement épargnés, assez rapidement ils se transforment en fermetures des commerces impactés par la "sobriété" et donc moins de revenus pour l'état, tout le tissu impacté par cette sobriété pourra moins dépenser dans le reste, etc.

Je ne dis pas qu'il ne faut pas de sobriété sur certains points, mais comme le dit Polster, il faut juste être bien conscient de tout ce que ça implique.

Et ça s'appellerait la politique, t'imagines un peu?

Où on aurait déjà expliqué depuis longtemps que le changement climatique c'est pas en 2100...

Polstergeist a écrit

Le premier problème est de définir ce qu'est un mode de vie "soutenable". Et en général, ceux qui utilisent ce vocable, ou parlent de changer radicalement de mode de vie, se gardent bien de le définir avec précision.

Par exemple, les solutions proposées pour réaliser une transition énergétique engendrent d'énormes besoin en minerais. Est-ce "soutenable"? Certains écolos (corticalisés et pas bornés, ça existe aussi) font remarquer que l'éolien ou le solaire, s'ils sont utiles à la transition ne peuvent être considérés comme réellement soutenables à long terme.

On peut critiquer les rapports du camarade Champion, discuter des chiffres, des orientations, bref de tout, mais au moins ils constituent une base de travail.

Pour répondre à tes questions, ce n'est pas très compliqué. Les "richesses" (biens et services), ce n'est pas autre chose que de l'énergie transformée. Les dépenses publiques sont financées par des prélèvements sur les richesses créées. Donc si le changement radical de mode de vie consiste à se passer des sources d'énergie les plus sales, à diminuer la création de richesses, il sera simplement impossible de maintenir les mèmes niveaux de dépenses publiques. C'est bien pour cela que la transition énergétique envisagée consiste surtout par développer des énergies "propres" (Huhu), réaliser des économies, améliorer l'efficacité énergétique... Il ne s'agit pas vraiment de diminuer les richesses produites.

D'où l'intérêt de mieux distribuer les richesses ce qui nous permettrait de mettre en place des politiques audacieuses pour le bien de la planète !

Polster, tu es un vrai écolo-communo-groucho-marxo-avant-gardiste !

Totti Chianti a écrit

D'où l'intérêt de mieux distribuer les richesses ce qui nous permettrait de mettre en place des politiques audacieuses pour le bien de la planète !

* Pour notre bien

Quant à mieux distribuer les richesses, peut-être faudrait-il commencer par se demander de quelles richesses il s'agit et quelles sont les ressources qui en sont à l'origine.

Par exemple, aujourd'hui, quelles activités permettent le plus fort "coefficient multiplicateur" (en terme de "création")? Comment sont-elles financées ? Qu'est ce qu'elles permettent ?

Une fois que t'as commencé, tu t'amuses à voir ce qu'il se passe en supprimant l'énergie d'origine fossile.

Merde, les rmistes du PMU!

Il est parti Polst?

Il est pas gentil lui.

Faut y dire que je suis pas là pour parler avec des gens hein, je m'en bats les reins de ça.

Je distille, c'est tout.

A dans 8 jours, bises.

N'oubliez pas d’aérer de temps en temps, parce l'air, bientôt, y'en aura pu'

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