La planète se meurt ! Et y a toujours des gens pour la maltraiter. JCVD a dit: "J'aime l'eau. Et dans 20 ans, y en aura plus". Vous aimez l'eau ? Alors faites un effort.
En fait la plupart des gens se contrefichent des émission GES. Après 2 ans sous covid la plupart des gens veulent faire la fête avant les prochaines restrictions.
C’est bien là tout le problème.
Emission de GES :
- Sous-entend consommation de gaz/pétrole donc augmentation des tarifs in fine car l’offre va se raréfier (que ce soit naturellement ou via des raisons géopolitiques comme la Russie aujourd’hui) ;
- Augmentation du réchauffement climatique
Et tout ça = augmentation des tarifs (gaz/essence), augmentation des risques (incendie, grêle, inondation) = baisse de pouvoir d’achat = moins de possibilité de faire la fête pour beaucoup, beaucoup de monde.
Tant que les gens n'auront pas compris ça...
Plutôt que de faire le kéké en jet, avion ou lamborghini, que Karim achète des canadairs pour aider les pompiers qui sont en train d'en baver dans le sud huhu !
Week-end dramatique qui s'annonce niveau incendie d'ailleurs.
KB9 n'a pas de problème d'argent contrairement à la majorité des gens. Donc louer un Gulfstream pour aller à Miami c'est normal pour des vacances.
Les catastrophes climatiques c'est comme le covid et le masque, la plupart des gens s'en fichent, tant qu'il sont loin de ça.
Après Lemaire va faire des chèques pour l'essence et on promet l'instauration d'un leasing voiture électrique fabriqué en Chine pour sauver la planète.
En parlant des gens, ils ne sont clairement pas loin de ça huhu : premiers black-out en Europe (à Rome) avec coupure de courant généralisée durant parfois 5h.
Cause, notamment : trop de consommation électrique (via les climatiseurs).
En parlant des gens, ils ne sont clairement pas loin de ça huhu : premiers black-out en Europe (à Rome) avec coupure de courant généralisée durant parfois 5h.
Cause, notamment : trop de consommation électrique (via les climatiseurs).
Situation assez préoccupante dont la France doit prendre toute la mesure car cela pourrait très bien nous arriver.
Le soucis des climatiseurs se posera de plus en plus, vu que les températures augmentent, et les vagues de grosses chaleurs aussi. J'ai de plus en plus de connaissances qui se tournent vers cette solution (le machin portatif avec le tuyau qui sort dehors).
Quand tu vois la consommation des bouzins et la chaleur qu'ils dégagent dehors, si tout le monde s'y met en ville...
Puis la plupart ont ce dispositif mais pas de fenêtres adaptés, ou une trappe au mur, du coup, ils ont la fenêtre et les volets ouverts... Donc la maison chauffe encore plus, ce qui entraine une surutilisation du machin vu qu'apparemment il faut vivre avec 20/21° à la maison selon eux.
"J'me vois pas faire des enfants parce que le réchauffement climatique, la montée des eaux tous ça...enfin tu vois quoi..."
Discours désormais de plus en plus courant chez les nanas de 20-30 ans.
Des millions d'années d'Evolution pour arriver à ça. Le lavage de cerveaux a fonctionné, merci Al. Al est père de quatre enfants...
En parlant des gens, ils ne sont clairement pas loin de ça huhu : premiers black-out en Europe (à Rome) avec coupure de courant généralisée durant parfois 5h.
Cause, notamment : trop de consommation électrique (via les climatiseurs).
Des millions d'années d'Evolution pour arriver à ça.
Yep, pour une extinction de masse créée de toute pièce aussi...
(Tout le monde a oublié Al Gore. Tout le monde? Non, un niçois résiste!))
La tronche de notre production d’électricité hier à midi (et un peu aujourd’hui) sur Eco2Mix.
7 500 MW d’import, aucun export.
C’est quasi inédit je pense.
Pour comparaison, la situation (l’année dernière, il y a 2 ans etc) est normalement inverse : pas d’import et 6 000/7 000 d’export.
La situation est quand même bien bien inquiétante…
…
On se déplacera à cheval ou en vélo
On s’éclairera à la bougie
On se chauffera è cuisinera au bois
On se rafraîchira à l’ombre des arbres
On communiquera avec un stylo et du papier
#pragmatik
Le soucis des climatiseurs se posera de plus en plus, vu que les températures augmentent, et les vagues de grosses chaleurs aussi. J'ai de plus en plus de connaissances qui se tournent vers cette solution (le machin portatif avec le tuyau qui sort dehors).
Quand tu vois la consommation des bouzins et la chaleur qu'ils dégagent dehors, si tout le monde s'y met en ville...
Puis la plupart ont ce dispositif mais pas de fenêtres adaptés, ou une trappe au mur, du coup, ils ont la fenêtre et les volets ouverts... Donc la maison chauffe encore plus, ce qui entraine une surutilisation du machin vu qu'apparemment il faut vivre avec 20/21° à la maison selon eux.
Jamais compris l'utilité de ces trucs où il faut ouvrir la fenêtre... les gens surchauffent en hiver et refroidissent à mort en été. Ils veulent la même température à tout moment de l'année quitte à produire des horreurs écologiques.
Ensuite on s'affaiblit quand on sort puisqu'on échappe pas à la différence de température et on ramasse en pleine face tous les microbes possibles, pour aller ensuite engraisser les pharmacies et autres industries du médicament.
La boucle est bouclée..
Modèle météo pour lundi et mardi prochain :
* 42 à 45°C vers Bordeaux
* possible barre des 40°C dépassée dans le Finistère
* 37 à 42°C à Paris.
Modèle météo pour lundi et mardi prochain :
* 42 à 45°C vers Bordeaux
* possible barre des 40°C dépassée dans le Finistère
* 37 à 42°C à Paris.
J'attends avec impatience les avis éclairés des docteurs en météorologie comme Presnel pour nous dire que le changement climatique est un complot et que les hausses de température n'affectent que ceux qui en sont effrayés.
Tout doit disparaitre, messieurs !
Brûler, agoniser.
Habituez vous à l'idée, ça ira mieux.
Parce que rien ne sera fait pour éviter quoi que ce soit.
(Je dis messieurs, mais j'ai vu un pseudo féminin apparaître! Comme une promesse. Las, je crois qu'elle est fasciste.)
On va livrer du gaz aux Allemands, une première ! Par solidarité. C'est beau.
Je nous pensais résolus à ne plus rien leur livrer.
C'est peut-être un prémice à une invasion de l'Allemagne. On internera l'élite allemande et on procédera aux exécutions sommaires de supporters bavarois.
Dans le Monde : « On trottine lentement derrière un climat qui change vite »
La climatologue Valérie Masson-Delmotte pense que la prise de conscience et l’action contre le réchauffement « montent en puissance », mais que la réponse politique reste loin du changement d’échelle nécessaire.
Alors que la France suffoque sous la canicule, la climatologue Valérie Masson-Delmotte revient sur l’aggravation de la crise climatique. La directrice de recherche au Laboratoire des sciences du climat de Paris Saclay et coprésidente du groupe de travail 1 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) détaille l’impact du réchauffement et les vulnérabilités françaises. Elle estime que la prise de conscience existe, mais qu’elle reste en décalage par rapport à l’urgence.
Deux canicules déjà cet été en France, des vagues de chaleur aux Etats-Unis et en Chine, après celles de l’Inde et du Pakistan, des incendies au Portugal… Est-ce notre nouveau quotidien ?
Les phénomènes que l’on subit aujourd’hui sont des précurseurs d’événements qui vont devenir plus fréquents et plus intenses à l’avenir. Ce sont les conséquences directes des activités humaines, qui entraînent une accumulation de chaleur dans le système climatique. Chaque tonne de CO2 y contribue et chaque fraction de réchauffement augmente la fréquence, la durée et la sévérité des événements extrêmes, et en particulier des vagues de chaleur. Tout cela affecte la santé, les cultures et les revenus des personnes qui travaillent en extérieur. Les risques du changement climatique sont de plus en plus complexes et difficiles à gérer.
La France est-elle particulièrement vulnérable au dérèglement climatique ?
L’exposition et la vulnérabilité de la France sont importantes, notamment dans les régions de haute montagne (recul des glaciers, de l’enneigement, etc.) ou sur le littoral, avec la montée du niveau de la mer (salinisation, érosion, augmentation des submersions, etc.). Partout sur le territoire, des millions de logements sont en outre soumis au problème du retrait-gonflement des argiles [des mouvements de gonflement et de rétractation qui provoquent des fissures]. Les vagues de chaleur s’intensifient, et c’est aussi le cas des pluies extrêmes, associées à des risques d’inondations − ces deux aspects sont exacerbés par l’urbanisation. Il y a un enjeu à intégrer l’aggravation future de ces phénomènes dans les plans de prévention des risques, ce qui n’est pas encore suffisamment le cas.
La population a-t-elle pris la mesure de la gravité de la situation ?
Je vois une prise de conscience croissante partout dans le monde et surtout dans les pays en développement. En France, j’observe une montée en puissance de la compréhension de la sévérité de la situation, le fait qu’il y a des dommages croissants partout et qu’il va falloir changer d’échelle dans l’action. C’est le cas pour beaucoup de citoyens, d’élus − quelles que soient leurs convictions politiques − et d’entreprises de multiples secteurs d’activité (bâtiments, transports, industrie…). Mais de nombreux obstacles persistent et freinent l’action, comme sur la rénovation thermique des logements ou l’aménagement des villes.
On redécouvre pourtant à chaque canicule la sévérité de la crise climatique...Il faut parvenir à construire une mémoire collective qui permette de saisir l’intensification des phénomènes. Cela pourrait notamment passer par le fait de nommer les canicules, à l’image de ce qui est
fait pour les ouragans. L’Italie l’a fait en 2021, baptisant un anticyclone Lucifer. Cela permet de se les approprier et d’ancrer les connaissances sur la récurrence des événements. Dans certains pays d’Europe centrale, des plaques dans les rues montrent la hauteur des
crues historiques, ce qui permet de construire collectivement une culture du risque dans la vie quotidienne. En France, on essaye souvent d’effacer le plus vite possible la trace des événements extrêmes.
Mais ni l’expérience d’événements extrêmes ni l’information scientifique ne sont suffisantes
pour conduire à des modifications profondes des pratiques. Ce qui compte, c’est d’être dans un cadre familial, associatif, professionnel ou territorial qui engage des transformations sociétales, ce qui permettra d’entraîner une évolution des styles de vie. Améliorer le bienêtre et la qualité de vie permet aussi de renforcer l’engagement de tous sur la durée.
Observezvous encore beaucoup de climatoscepticisme ?
Le climatoscepticisme existe encore mais a changé de forme. Il réside moins dans la négation du changement climatique et de son origine humaine que dans un déni de la gravité des enjeux et de l’urgence à agir. Lors de mes interventions publiques, j’observe la récurrence de discours de l’inaction, des alibis que l’on se donne pour ne pas agir : c’est trop tard, on
parviendra à s’adapter, la technologie va nous sauver, la France ne pèse rien dans les émissions mondiales, etc. La meilleure façon de surmonter ce déni, c’est de renforcer, lors de la formation initiale et continue, les connaissances non seulement sur les risques, mais surtout sur les leviers d’action à toutes les échelles. Il y a aussi du climatoscepticisme chez certains
seniors, qui perçoivent l’urgence climatique comme une remise en cause de leurs choix passés et ressentent de la culpabilité.
La réponse politique estelle à la hauteur de l’urgence ?
On trottine lentement derrière un climat qui change vite. L’action se met en place, et monte en puissance, mais elle n’est pas encore à la hauteur. Au moment où elle semet en place, on sait déjà qu’elle ne suffira pas. Au final, les conditions ne sont pas encore réunies pour parvenir à doubler le rythme de baisse des émissions de gaz à effet de serre dans les années à venir [afin de tenir les objectifs climatiques français]. Les propositionsde la convention citoyenne pour
le climat qui allaient dans le sens de la sobriété n’ont pas été retenues. Du fait du contexte de tensions sur les prix de l’énergie et de pénuries, on voit une appropriation de cet enjeu, mais de manièretardive et contrainte. Le gouvernement maîtrise le prix des carburants, ce qui constitue des subventions cachées aux énergies fossiles, mais n’encourage pas la baisse de la vitesse sur les autoroutes ou la limitation du poids des voitures pour réduire la consommation. L’adaptation au changement climatique n’est également pas suffisante : on réagit après coup et on gère crise après crise au lieu d’anticiper.
Que faire face à la crise climatique ?
En réduisant massivement les émissions de gaz à effet de serre mondiales, on peut réussir à stabiliser le réchauffement d’ici à une vingtaine d’années et donc limiter l’intensification des événements extrêmes. Ce qui pèse le plus dans les émissions en France, ce sont les transports (30 %) et en particulier la voiture individuelle. Une partie des déplacements sont contraints, mais beaucoup pourraient être réalisés autrement. Il faut valoriser d’autres manières de se déplacer, faciliter les déplacements à vélo, y compris par exemple pour accompagner les enfants à l’école. Les bénéfices seraient nombreux, pour le climat, la santé, la réduction du trafic routier, le bruit ou encore la concentration en classe.
Il faut aussi faire en sorte que nos infrastructures, nos activités agricoles, notre gestion de l’eau soient pensées pour être résilientes face aux caractéristiques climatiques à venir. Les impacts des événements extrêmes que l’on subit doivent nous ouvrir les yeux sur les transformations profondes à réaliser.
C'est peut-être un prémice à une invasion de l'Allemagne. On internera l'élite allemande et on procédera aux exécutions sommaires de supporters bavarois.
J'attends avec impatience les avis éclairés des docteurs en météorologie comme Presnel pour nous dire que le changement climatique est un complot et que les hausses de température n'affectent que ceux qui en sont effrayés.
Penses-tu que la géo-ingenierie solaire peut être une solution pour le climat?