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EH OUAIS MON POTE a écritAlors, toujours cette naïveté confondante ... À moins que ce ne soit un subtil second degré. Dans ce cas, tu as changé CMF et je t'en félicite.
Je peux te trouver 100 projets ENR et hors ENR, où, malgré des avis non conformes, des manifestations citoyennes, etc,etc...ces projets totalement hors sol sont lancés.
Ça fait un mois, et toujours rien…
(On parle d’avis conforme défavorable hein ; pour faire lien avec mon message auquel tu réponds ou je te parle de celui de la CDEPNAF sur les projets agrivoltaïque - qui est un avis conforme. Comme déjà évoqué, ton post que je reprends ici ne veut rien dire. En droit, il existe des avis simples ou conformes, qui peuvent être favorables ou défavorables. Mais un avis non conforme, ça ne veut rien dire).
Un conseil : avant de te lancer dans un truc pour lequel tu n’as aucune preuve/exemple pour appuyer ton propos, essaie au moins de comprendre ce dont tu parles.
On est sur le cas typique d’une personne complotiste, et il me semble t’avoir d’ailleurs déjà fait cette observation.
Champion-Mon-Frère a écritÇa fait un mois, et toujours rien…
Toujours rien, comme pour Laura et David. C'est triste putain, c'est pas juste.
Sinon, à ton propos, on est sur le cas typique d’une personne lobbyiste, et il me semble t’avoir d’ailleurs déjà fait cette observation.
EH OUAIS MON POTE a écritToujours rien, comme pour Laura et David. C'est triste putain, c'est pas juste.
Sinon, à ton propos, on est sur le cas typique d’une personne lobbyiste, et il me semble t’avoir d’ailleurs déjà fait cette observation.
On est sur le cas typique d'un petit tas de merde, il me semble d'ailleurs t'avoir déjà fait cette observation.
EH OUAIS MON POTE a écritToujours rien, comme pour Laura et David. C'est triste putain, c'est pas juste.
Sinon, à ton propos, on est sur le cas typique d’une personne lobbyiste, et il me semble t’avoir d’ailleurs déjà fait cette observation.
Admettons que cela soit vrai (je te laisse à tes interprétations), le lobbying dans sa définition n’est pas une mauvaise chose s’il est transparent, éthique et responsable.
Le fait d’être complotiste par contre…
Tu balances un truc en nous disant j’ai plein d’exemples pour l’illustrer. Mais tu es incapable d’en donner ne serait-ce qu’un seul. On va au-delà du complot, c’est tout simplement de la bêtise.
Champion-Mon-Frère a écritAdmettons que cela soit vrai (je te laisse à tes interprétations), le lobbying dans sa définition n’est pas une mauvaise chose s’il est transparent, éthique et responsable.
Le fait d’être complotiste par contre…
Tu balances un truc en nous disant j’ai plein d’exemples pour l’illustrer. Mais tu es incapable d’en donner ne serait-ce qu’un seul. On va au-delà du complot, c’est tout simplement de la bêtise.
Putain CMF, t'es vraiment patient avec ce débile.
Doc Savage a écritPutain CMF, t'es vraiment patient avec ce débile.
Il est patient comme le chat qui s'amuse à prendre le temps pour torturer sa proie.. des qu'il bouge il remet un coup de griffe, sous ses airs affables c'est un fou de violence le CMF! Je vais finir par avoir pitié du pauvre boug' en face.
Champion-Mon-Frère a écritAdmettons que cela soit vrai (je te laisse à tes interprétations), le lobbying dans sa définition n’est pas une mauvaise chose s’il est transparent, éthique et responsable.
Le fait d’être complotiste par contre…
Si être complotiste c'est croire que certains groupes gouvernés par l'argent mènent parfois des actions qui ne vont pas nécessairement dans le sens de l’intérêt général, alors oui, je suis complotiste.
Un bon nombre d'associations tout à fait respectables mènent les combats qu'il faut, où il faut.
T'inquiète CMF.
Médoc indépendant! a écritIl est patient comme le chat qui s'amuse à prendre le temps pour torturer sa proie.. des qu'il bouge il remet un coup de griffe, sous ses airs affables c'est un fou de violence le CMF! Je vais finir par avoir pitié du pauvre boug' en face.
Tu as suivi quoi au juste ? Quelle est ton opinion sur tout ça ? Tu as compris quoi à mon propos ?
Et pour rappeler pour la millième fois que je ne suis pas contre les énergies renouvelables :
1. Le projet éolien de Fécamp (Seine-Maritime)
Le projet de parc éolien offshore à Fécamp, en Normandie, est un exemple de projet d'énergie renouvelable qui a fait l'objet de critiques concernant son impact environnemental. Bien que l’éolien offshore soit une source d’énergie renouvelable privilégiée par la France, le projet a été contesté sur la base de son impact sur les écosystèmes marins et la biodiversité.
En 2019, plusieurs associations environnementales ont déposé des recours en justice contre l'arrêté autorisant le projet, notamment pour non-respect de la directive européenne relative à l’évaluation des incidences environnementales (EIE) et des zones Natura 2000. Ces recours ont souligné que l'impact potentiel sur la faune marine n’avait pas été suffisamment pris en compte, notamment les effets sur les oiseaux marins et les mammifères marins. Malgré ces objections, le projet a été maintenu en raison de son importance dans la politique de transition énergétique et du soutien de l'État. Cela a soulevé des interrogations sur la balance entre les impératifs environnementaux et les besoins de développement des énergies renouvelables.
2. Les parcs solaires sur terres agricoles
De nombreux projets de centrales solaires au sol ont été autorisés sur des terres agricoles, malgré les préoccupations juridiques concernant la perte de terres agricoles et les impacts négatifs sur la biodiversité. Ces projets sont souvent défendus comme essentiels pour atteindre les objectifs de production d’énergie renouvelable, mais ils entrent en conflit avec la loi sur la protection des terres agricoles et des espaces naturels.
Un exemple notable est celui du projet de centrale solaire de Cestas (Gironde), qui a été implantée sur une grande surface de terres agricoles. Bien que la centrale solidaire ait été l'une des plus grandes en Europe et ait été soutenue par le gouvernement, elle a été critiquée par des associations de défense de l'environnement pour son impact sur les sols agricoles, la faune et la flore locales. Certaines contestations juridiques ont porté sur la non-conformité avec les principes de la loi sur la préservation des espaces naturels et la protection des terres agricoles. Cependant, la nécessité de promouvoir les énergies renouvelables a conduit à des ajustements dans les procédures d'autorisation, ce qui a permis la réalisation du projet malgré ces objections.
3. Les projets de biomasse dans des zones sensibles
La biomasse, bien qu’étant une énergie renouvelable, a suscité plusieurs controverses concernant son impact environnemental, notamment en ce qui concerne la gestion des ressources forestières et la pollution de l'air. Un exemple est celui de la centrale biomasse de Gardanne (Bouches-du-Rhône), qui a été lancée pour remplacer une centrale à charbon par une centrale fonctionnant à la biomasse. Ce projet a été soutenu par l’État dans le cadre de la transition énergétique, mais plusieurs contestations ont émergé en raison des préoccupations liées à la gestion de la biomasse (exploitation forestière, empreinte carbone, émissions de particules fines).
Des associations environnementales ont contesté ce projet en invoquant la loi sur la protection de la biodiversité et les principes de la transition énergétique, soulignant les impacts écologiques liés à l’approvisionnement en bois, qui pourrait nuire à la régénération des forêts. Malgré ces objections, le projet a été autorisé, ce qui a conduit à une discussion sur la compatibilité de certains projets dits « renouvelables » avec des objectifs écologiques plus larges, notamment en matière de gestion des ressources naturelles et de pollution.
4. Les projets éoliens en zones Natura 2000
Certains projets éoliens ont été réalisés dans des zones classées Natura 2000, des zones protégées en vertu de la directive européenne Habitat-Faune-Flore. Bien que ces zones soient protégées en raison de leur biodiversité, des projets d'éoliennes y ont été autorisés, créant une tension entre les impératifs de transition énergétique et les obligations de protection de la nature.
Un exemple est celui du parc éolien de la Montagne de Lure (Alpes-de-Haute-Provence), où un projet d’éoliennes a été contesté sur la base de l'impact sur la biodiversité locale, notamment les espèces protégées d'oiseaux. Malgré les arguments des opposants, qui soulignaient que la zone faisait partie d'un site Natura 2000, les autorités ont permis la mise en œuvre du projet, argumentant que l'impact écologique pouvait être minimisé et que le besoin d’énergies renouvelables primait. La décision a suscité des critiques quant à l'inadéquation entre les objectifs de préservation des espaces naturels et ceux de la transition énergétique.
5. Le projet hydroélectrique de Sivens (Tarn)
Le projet de barrage de Sivens, bien que principalement axé sur l'hydroélectricité, est un exemple de projet d’énergie renouvelable qui a vu le jour malgré des objections juridiques et environnementales importantes. Le projet visait à créer un réservoir d'eau pour l'agriculture, mais il a été fortement critiqué par des associations écologiques en raison de ses impacts sur la biodiversité, notamment sur les zones humides et les espèces protégées.
Des recours en justice ont été déposés pour contester la validité de l’évaluation environnementale du projet, mais le développement a continué pendant plusieurs années, jusqu'à ce que le projet soit finalement abandonné après une forte mobilisation et des protestations, y compris des événements tragiques. Cet exemple illustre la pression exercée pour avancer dans la transition énergétique, parfois au détriment des principes de conservation de la nature.
Conclusion
Ces exemples montrent que bien que le droit de l'environnement soit conçu pour protéger les écosystèmes et garantir un développement durable, des projets d’énergies renouvelables ont parfois été autorisés malgré des préoccupations juridiques légitimes concernant leur impact sur la biodiversité, les terres agricoles, ou d’autres aspects de l’environnement. Ces situations soulignent la complexité de la transition énergétique, où des compromis sont parfois nécessaires entre la protection de l'environnement et les besoins de développement des énergies renouvelables. Cependant, elles montrent aussi que ces compromis peuvent conduire à des décisions qui, bien que légales, posent des questions sur leur alignement avec les principes fondamentaux du droit environnemental.
EH OUAIS MON POTE a écritEt pour rappeler pour la millième fois que je ne suis pas contre les énergies renouvelables :
Un peu comme un Le Pen qui explique qu’au fond, il n’a rien contre les Africains ?
Sebek a écritUn peu comme un Le Pen qui explique qu’au fond, il n’a rien contre les Africains ?
Probablement oui, si cela te convient de penser cela. Moi tu sais, je m'en branle complet.
EH OUAIS MON POTE a écritProbablement oui, si cela te convient de penser cela. Moi tu sais, je m'en branle complet.
Mouais, pas sûr qu’une branlette génère suffisamment d’énergie pour résoudre la crise. Surtout que les complotistes en ont généralement une petite, l’idée étant qu’ils compensent par des propos très incohérents.
Sebek a écritont généralement une petite, l’idée étant qu’ils compensent par des propos très incohérents.
Ah, on est reparti sur du niveau collège alors ? Bien, bien, bien ...
Doc Savage a écritPutain CMF, t'es vraiment patient avec ce débile.
Ne dit-on pas, patience est mère de toutes les vertus ?
Huhu
EH OUAIS MON POTE a écritEt pour rappeler pour la millième fois que je ne suis pas contre les énergies renouvelables :
1. Le projet éolien de Fécamp (Seine-Maritime)
Le projet de parc éolien offshore à Fécamp, en Normandie, est un exemple de projet d'énergie renouvelable qui a fait l'objet de critiques concernant son impact environnemental. Bien que l’éolien offshore soit une source d’énergie renouvelable privilégiée par la France, le projet a été contesté sur la base de son impact sur les écosystèmes marins et la biodiversité.
En 2019, plusieurs associations environnementales ont déposé des recours en justice contre l'arrêté autorisant le projet, notamment pour non-respect de la directive européenne relative à l’évaluation des incidences environnementales (EIE) et des zones Natura 2000. Ces recours ont souligné que l'impact potentiel sur la faune marine n’avait pas été suffisamment pris en compte, notamment les effets sur les oiseaux marins et les mammifères marins. Malgré ces objections, le projet a été maintenu en raison de son importance dans la politique de transition énergétique et du soutien de l'État. Cela a soulevé des interrogations sur la balance entre les impératifs environnementaux et les besoins de développement des énergies renouvelables.
2. Les parcs solaires sur terres agricoles
De nombreux projets de centrales solaires au sol ont été autorisés sur des terres agricoles, malgré les préoccupations juridiques concernant la perte de terres agricoles et les impacts négatifs sur la biodiversité. Ces projets sont souvent défendus comme essentiels pour atteindre les objectifs de production d’énergie renouvelable, mais ils entrent en conflit avec la loi sur la protection des terres agricoles et des espaces naturels.
Un exemple notable est celui du projet de centrale solaire de Cestas (Gironde), qui a été implantée sur une grande surface de terres agricoles. Bien que la centrale solidaire ait été l'une des plus grandes en Europe et ait été soutenue par le gouvernement, elle a été critiquée par des associations de défense de l'environnement pour son impact sur les sols agricoles, la faune et la flore locales. Certaines contestations juridiques ont porté sur la non-conformité avec les principes de la loi sur la préservation des espaces naturels et la protection des terres agricoles. Cependant, la nécessité de promouvoir les énergies renouvelables a conduit à des ajustements dans les procédures d'autorisation, ce qui a permis la réalisation du projet malgré ces objections.
3. Les projets de biomasse dans des zones sensibles
La biomasse, bien qu’étant une énergie renouvelable, a suscité plusieurs controverses concernant son impact environnemental, notamment en ce qui concerne la gestion des ressources forestières et la pollution de l'air. Un exemple est celui de la centrale biomasse de Gardanne (Bouches-du-Rhône), qui a été lancée pour remplacer une centrale à charbon par une centrale fonctionnant à la biomasse. Ce projet a été soutenu par l’État dans le cadre de la transition énergétique, mais plusieurs contestations ont émergé en raison des préoccupations liées à la gestion de la biomasse (exploitation forestière, empreinte carbone, émissions de particules fines).
Des associations environnementales ont contesté ce projet en invoquant la loi sur la protection de la biodiversité et les principes de la transition énergétique, soulignant les impacts écologiques liés à l’approvisionnement en bois, qui pourrait nuire à la régénération des forêts. Malgré ces objections, le projet a été autorisé, ce qui a conduit à une discussion sur la compatibilité de certains projets dits « renouvelables » avec des objectifs écologiques plus larges, notamment en matière de gestion des ressources naturelles et de pollution.
4. Les projets éoliens en zones Natura 2000
Certains projets éoliens ont été réalisés dans des zones classées Natura 2000, des zones protégées en vertu de la directive européenne Habitat-Faune-Flore. Bien que ces zones soient protégées en raison de leur biodiversité, des projets d'éoliennes y ont été autorisés, créant une tension entre les impératifs de transition énergétique et les obligations de protection de la nature.
Un exemple est celui du parc éolien de la Montagne de Lure (Alpes-de-Haute-Provence), où un projet d’éoliennes a été contesté sur la base de l'impact sur la biodiversité locale, notamment les espèces protégées d'oiseaux. Malgré les arguments des opposants, qui soulignaient que la zone faisait partie d'un site Natura 2000, les autorités ont permis la mise en œuvre du projet, argumentant que l'impact écologique pouvait être minimisé et que le besoin d’énergies renouvelables primait. La décision a suscité des critiques quant à l'inadéquation entre les objectifs de préservation des espaces naturels et ceux de la transition énergétique.
5. Le projet hydroélectrique de Sivens (Tarn)
Le projet de barrage de Sivens, bien que principalement axé sur l'hydroélectricité, est un exemple de projet d’énergie renouvelable qui a vu le jour malgré des objections juridiques et environnementales importantes. Le projet visait à créer un réservoir d'eau pour l'agriculture, mais il a été fortement critiqué par des associations écologiques en raison de ses impacts sur la biodiversité, notamment sur les zones humides et les espèces protégées.
Des recours en justice ont été déposés pour contester la validité de l’évaluation environnementale du projet, mais le développement a continué pendant plusieurs années, jusqu'à ce que le projet soit finalement abandonné après une forte mobilisation et des protestations, y compris des événements tragiques. Cet exemple illustre la pression exercée pour avancer dans la transition énergétique, parfois au détriment des principes de conservation de la nature.
Conclusion
Ces exemples montrent que bien que le droit de l'environnement soit conçu pour protéger les écosystèmes et garantir un développement durable, des projets d’énergies renouvelables ont parfois été autorisés malgré des préoccupations juridiques légitimes concernant leur impact sur la biodiversité, les terres agricoles, ou d’autres aspects de l’environnement. Ces situations soulignent la complexité de la transition énergétique, où des compromis sont parfois nécessaires entre la protection de l'environnement et les besoins de développement des énergies renouvelables. Cependant, elles montrent aussi que ces compromis peuvent conduire à des décisions qui, bien que légales, posent des questions sur leur alignement avec les principes fondamentaux du droit environnemental.
Le sujet, encore une fois, n’est pas se savoir si tu es pour ou contre les énergies renouvelables mais simplement de donner des exemples (que toi-même tu dis avoir, et en nombre !) de ce sur quoi tu t’avances.
Donc là aussi, pour la millième fois, et c’est toi qui t’es lancé sur ce truc, je veux bien que tu me donnes un exemple de projet qui a pu se réaliser malgré un avis conforme défavorable.
En réponse, tu m’as déjà donné l’exemple du projet de l’A69. Il n’est pas bon (cf nos échanges).
Concernant ton nouveau post :
1. Projet éolien de Fécamp : pas bon non plus (je te laisse aller voir dans l’arrêté d’autorisation qui mentionne par exemple les avis conformes - j'imagine favorables - du Préfet maritime de la Manche et la mer du Nord et du commandant de la zone maritime de la Manche et la mer du Nord)
2. Les parcs solaires sur terres agricoles : C’est l’objet de mon post initial ou je te dis que s'il y a avis conforme défavorable des CDPENAF (dans laquelle siège les chambres d’agricultures), et bien pas d’obtention de permis de construire. Donc si un projet se fait sur les terres agricoles, c’est que la CDPENAF a donné son accord.
Pour ce qui est de la centrale solaire de Cestas, le permis a été accordé avant que le CDPENAF existe. Donc exemple pas bon là aussi.
3. La centrale biomasse de Gardanne. Idem, et l’arrêté d’autorisation d‘exploitation ne mentionne pas d’avis conforme (qu’il soit défavorable ou non).
4. Parc éolien de la Montagne de Lure : je ne sais pas de quel parc il s’agit.
5. Projet de barrage de Sivens : pas d’avis conforme défavorable à mon sens
Que le droit de l’environnement soit mal fichu ou que des projets aient vu le jour alors qu’il y a des préoccupations juridiques légitimes concernant leur impact est une chose (et je suis d’accord là-dessus), mais encore une fois, c'est aux instances décisionnaires de faire leur travail (accordé ou refusé un projet).
Pour en revenir au post de départ, pour ce qui est des projets photovoltaïques sur des terres agricoles (donc projet agrivoltaïques) et comme indiqué une nouvelle fois dans ce post, à la CDPENAF (ou siège la chambre d’agriculture) de faire son travail. Si un projet se fait, c’est qu’elle a donné son accord.
Amen.
"(...)Or les magistrats des juridictions civiles et pénales ne bénéficient pas d’une formation initiale suffisante en matière de droit de l’environnement, ce dernier étant "réservé" à celles et ceux suivant un cursus de droit public. Et même si l’ENM fait de grands efforts pour la formation continue, cette dernière n’est malheureusement pas suffisante pour appréhender au plus vite ce droit technique, changeant et pluridisciplinaire."
https://www.village-justice.com/articles…agistrats,46832.html
CMF tu dis amen à tout, c'est très bien.
Heureusement que d'autres ont un peu plus de libre-arbitre pour éviter de ne plus avoir un seul hectare de libre pour cultiver du quinoa.
EH OUAIS MON POTE a écrit"(...)Or les magistrats des juridictions civiles et pénales ne bénéficient pas d’une formation initiale suffisante en matière de droit de l’environnement, ce dernier étant "réservé" à celles et ceux suivant un cursus de droit public. Et même si l’ENM fait de grands efforts pour la formation continue, cette dernière n’est malheureusement pas suffisante pour appréhender au plus vite ce droit technique, changeant et pluridisciplinaire."
https://www.village-justice.com/articles…agistrats,46832.html
CMF tu dis amen à tout, c'est très bien.
Heureusement que d'autres ont un peu plus de libre-arbitre pour éviter de ne plus avoir un seul hectare de libre pour cultiver du quinoa.
Hein ?
(et ça ne répond toujours pas à ton propos du départ)
Champion-Mon-Frère a écritHein ?
(et ça ne répond toujours pas à ton propos du départ)
Bah j'ai pourtant répondu. Bien que sachant très bien ce qui allait arriver : que tu allais contester en bloc sans discernements et bloquer sur 1 point. Classic shit.
Si tu lis bien les extraits d'articles que j'ai posté plus haut, on peut y lire des propos très nuancés qui n'ont pas à être remis en cause.
De plus, je parle bien dès le départ de projets ENR et non ENR.
Et pour conclure, je répète que développer à tout va pour maintenir notre modèle économique n'est pas durable. Rapports de mes couilles ou pas.
Croire que le technologisme sauvera le genre humain, je n'y crois pas. Imaginer que le croissance éternelle est l'unique solution, je me marre. Est-ce que cela fait de moi un illuminé ? Je ne pense pas.
A partir de là, pour ma part, notre "échange" est clôt.
Car il n'y aura pas de terrain d'entente et que tu me gonfles prodigieusement.
EH OUAIS MON POTE a écritBah j'ai pourtant répondu. Bien que sachant très bien ce qui allait arriver : que tu allais contester en bloc sans discernements et bloquer sur 1 point. Classic shit.
Si tu lis bien les extraits d'articles que j'ai posté plus haut, on peut y lire des propos très nuancés qui n'ont pas à être remis en cause.
De plus, je parle bien dès le départ de projets ENR et non ENR.
Et pour conclure, je répète que développer à tout va pour maintenir notre modèle économique n'est pas durable. Rapports de mes couilles ou pas.
Croire que le technologisme sauvera le genre humain, je n'y crois pas. Imaginer que le croissance éternelle est l'unique solution, je me marre. Est-ce que cela fait de moi un illuminé ? Je ne pense pas.
A partir de là, pour ma part, notre "échange" est clôt.
Car il n'y aura pas de terrain d'entente et que tu me gonfles prodigieusement.
Ce n’est absolument pas une question de discernement ou autre. Juste de compréhension et de faits.
On part d’une situation où je te dis qu’un projet agrivoltaique ne peut se faire s’il a un avis conforme défavorable. Tu me réponds que tu as en contre-exemple des centaines d’exemples ou des projets EnR et hors EnR se font fait malgré des avis conformes défavorables.
Que les extraits d'articles que tu as posté plus haut présentent des propos très nuancés qui n’ont pas être remis en cause, soit, je n’ai jamais dis le contraire. Mais cela n’est pas le sujet et surtout il ne s’agit pas d’exemples de projets qui ont été réalisés (ou non) ou un avis conforme défavorable a été donné.
Il n’y a pas d’entente tout simplement car tu donnes des exemples qui n’illustrent pas ce sur quoi tu m’as repris et dis que tu pouvais en donner. Donc oui, en effet, à partir de là c’est difficile de s’entendre…
Et si on va plus loin, au lieu de donner de (bons) exemples, tes répondes ridicules à base de « que tu es naïf CMF », « t’es plus modo » etc n’aident pas à améliorer l’entente non plus…
Quand je te demande de me donner des exemples sur lesquels tu t’engages, plutôt que de me répondre un truc ridicule comme repris juste au dessus tu me dirais, « en effet, méa culpa je me suis planté, un projet avec un avis conforme défavorable ça ne peut se faire. Par contre la justice a besoin de mieux être formée sur les sujets environnementaux etc », là oui ce serait déjà plus constructif et propice à l’échange.
Faut mesurer à quel point c'est fabuleux : le type ne fait que casser les couilles, ne propose rien, n'est pas foutu d'articuler une pensée qu'il est pas aller péché ailleurs en entonnant son antienne "yakafokon" et il ose dire à celui qui est l'objet de ses assiduité : "tu me gonfles prodigieusement".
Mais à quel point faut-il être débile pour oser paraître aussi débile.
Faut le noyer dans du formol le gars, pour la science...
EH OUAIS MON POTE a écritBah j'ai pourtant répondu. Bien que sachant très bien ce qui allait arriver : que tu allais contester en bloc sans discernements et bloquer sur 1 point. Classic shit.
Si tu lis bien les extraits d'articles que j'ai posté plus haut, on peut y lire des propos très nuancés qui n'ont pas à être remis en cause.
De plus, je parle bien dès le départ de projets ENR et non ENR.
Et pour conclure, je répète que développer à tout va pour maintenir notre modèle économique n'est pas durable. Rapports de mes couilles ou pas.
Croire que le technologisme sauvera le genre humain, je n'y crois pas. Imaginer que le croissance éternelle est l'unique solution, je me marre. Est-ce que cela fait de moi un illuminé ? Je ne pense pas.
A partir de là, pour ma part, notre "échange" est clôt.
Car il n'y aura pas de terrain d'entente et que tu me gonfles prodigieusement.
Quel beau ragequit.
Pendant que les débiles légers comme l'aut' racontent de la merde pour se faire briller le cul, le sénat a forcé la mule avec le projet de loi d'orientation agricole pour en faire un plus gros tas de merde, la grande perdante est évidemment la biodiversité puisque pour tomber au plus bas il faut scier la branche sur laquelle on est assis, mais 'ttention, avant le salon, hein :
La France, toujours aussi bon élève... :
Accélération du déploiement des renouvelables : la France rappelée à l’ordre par Bruxelles
La France s’est faite rappeler à l’ordre par la Commission, mercredi 12 février. L’exécutif européen reproche à huit pays dont la France de ne pas avoir transposé les mesures d’accélération des procédures d’autorisation pour les projets d’énergies renouvelables, et les infrastructures associées, prévues dans la directive RED3, adoptée en 2023. Selon cette directive, les Etats membres doivent aussi créer des “zones d’accélération des énergies renouvelables”, dans lesquelles les délais d’autorisation sont plus courts. Ces mesures devaient être transposées dans le droit français avant le 1er juillet 2024. La France a instauré dans sa loi d’accélération des énergies renouvelables — examinée au même moment que la directive — de telles zones où les démarches sont facilitées. Un amendement du gouvernement au projet de loi adaptant le droit français aux textes européens, en cours d’examen à l’Assemblée, entend expliciter que les cartographies de la loi d’accélération, aussi bien pour les ENR terrestres que maritimes correspondent à ce que l’Europe prévoie. La France a deux mois pour répondre à cette procédure d’infraction et pour prendre des mesures au risque que la Commission ne saisisse la Cour de justice de l’Union européenne.
Elements plus complets ici : https://energy.ec.europa.eu/news/februar…energy-2025-02-12_en
Champion-Mon-Frère a écritLa France, toujours aussi bon élève... :
Accélération du déploiement des renouvelables : la France rappelée à l’ordre par Bruxelles
La France s’est faite rappeler à l’ordre par la Commission, mercredi 12 février. L’exécutif européen reproche à huit pays dont la France de ne pas avoir transposé les mesures d’accélération des procédures d’autorisation pour les projets d’énergies renouvelables, et les infrastructures associées, prévues dans la directive RED3, adoptée en 2023. Selon cette directive, les Etats membres doivent aussi créer des “zones d’accélération des énergies renouvelables”, dans lesquelles les délais d’autorisation sont plus courts. Ces mesures devaient être transposées dans le droit français avant le 1er juillet 2024. La France a instauré dans sa loi d’accélération des énergies renouvelables — examinée au même moment que la directive — de telles zones où les démarches sont facilitées. Un amendement du gouvernement au projet de loi adaptant le droit français aux textes européens, en cours d’examen à l’Assemblée, entend expliciter que les cartographies de la loi d’accélération, aussi bien pour les ENR terrestres que maritimes correspondent à ce que l’Europe prévoie. La France a deux mois pour répondre à cette procédure d’infraction et pour prendre des mesures au risque que la Commission ne saisisse la Cour de justice de l’Union européenne.
Elements plus complets ici : https://energy.ec.europa.eu/news/februar…energy-2025-02-12_en
Et comme un bon point n'arrive jamais seul, le projet de loi amendé par les sénateurs dont cause le papier au dessus a été adopté à l'assemblée. En gros, le saccage est encouragé, en dépit de toute logique.