Arrêt sur image
Bref, de Green Street (Hooligans en VF) à Olive et Tom, discutons du football de fiction, mais pas que.
Giovanni Drogo a écritHaha
Et si je t'oblige à revoir Cannibal holocaust ou Cineman... Tu choisis quoi? Sacré dilemme haha
(je n'ai vu aucun des deux et heureusement pour moi, je suis déjà assez fragile comme ça)
Je ne verrai jamais ces deux films !
Tio Pepe a écritIl était ici question de spectacle et de divertissement, mais t'es passé complètement à côté
"No fun / With my Georges / No fun"
Georges Randal a écritL'attachement à ce divertissement, aux vertus du spectacle, relève des mêmes choses qui font qu'on prend l'avion pour un oui ou pour un non, parce qu'on peut, parce que les autres le font alors bon/quote]
Souplesse des adducteurs...
barrabravo a écritGeorges Randal a écritSouplesse des adducteurs...
Héhé...
Je n'ai qu'assez peu d'illusions sur la réception tant l'auditoire qui pourrait y répondre ici sera hermétique aux idées avancées, celles-ci dévoilant... un habitus, oserais-je pour emprunter à la vulgate consacrée...
Héhé...
Je n'ai qu'assez peu d'illusions sur la réception tant l'auditoire qui pourrait y répondre ici sera hermétique aux idées avancées, celles-ci dévoilant... un habitus, oserais-je pour emprunter à la vulgate consacrée...
Georges Randal a écritHéhé...
Je n'ai qu'assez peu d'illusions sur la réception tant l'auditoire qui pourrait y répondre ici sera hermétique aux idées avancées, celles-ci dévoilant... un habitus, oserais-je pour emprunter à la vulgate consacrée...
T'as pas forcément tort, quoique le lien que tu établis entre divertissement et frustration me semble hasardeux, mais les récits initiatiques, morale comprise, sont vieux comme le monde, et les histoires (films) que tu critiques ne sont rien d'autres que ça, et sont plutôt le contraire de ce que tu en dis (rites de passage vers l'âge adulte plutôt que régression). Ce qui m'intrigue c'est la façon que tu as de vouer aux gémonies ce qui relève du "(monde de) l'enfance", ou plus précisément le lien que l'on peut maintenir, en tant qu'adultes, avec ce monde, ce que tu qualifies de symptôme / manifestation d'une idéologie infantilisante / déresponsabilisante, quand tu pourrais y voir une forme d'ancrage, un lien maintenu avec une partie de son moi qui tend à s'estomper voire disparaître dans le temps. Des parenthèses de "retours à la source". On peut trouver ça con, mais entre ça ou des enfants-soldats, bon... Moi je ne pense pas que le sujet / problème soit réellement celui-là, mais plutôt qu'en bon marxiste, tu es un matérialiste utilitariste de première, et par conséquent en opposition frontale avec tout ce qui relève du "ludique" (j'ai vérifié pour être sûr : "Qui concerne le jeu en tant que secteur d'activité dont la motivation n'est pas l'action efficace sur la réalité mais la libre expression des tendances instinctives, sans aucun contrôle d'efficacité pragmatique"), ce que tu présentes (à tort je pense) comme synonyme de "puéril".
Fred Astaire a écritJe ne verrai jamais ces deux films !
Cannibal Holocaust est un classique.
barrabravo a écritT'as pas forcément tort, quoique le lien que tu établis entre divertissement et frustration me semble hasardeux, mais les récits initiatiques, morale comprise, sont vieux comme le monde, et les histoires (films) que tu critiques ne sont rien d'autres que ça, et sont plutôt le contraire de ce que tu en dis (rites de passage vers l'âge adulte plutôt que régression). Ce qui m'intrigue c'est la façon que tu as de vouer aux gémonies ce qui relève du "(monde de) l'enfance", ou plus précisément le lien que l'on peut maintenir, en tant qu'adultes, avec ce monde, ce que tu qualifies de symptôme / manifestation d'une idéologie infantilisante / déresponsabilisante, quand tu pourrais y voir une forme d'ancrage, un lien maintenu avec une partie de son moi qui tend à s'estomper voire disparaître dans le temps. Des parenthèses de "retours à la source". On peut trouver ça con, mais entre ça ou des enfants-soldats, bon... Moi je ne pense pas que le sujet / problème soit réellement celui-là, mais plutôt qu'en bon marxiste, tu es un matérialiste utilitariste de première, et par conséquent en opposition frontale avec tout ce qui relève du "ludique" (j'ai vérifié pour être sûr : "Qui concerne le jeu en tant que secteur d'activité dont la motivation n'est pas l'action efficace sur la réalité mais la libre expression des tendances instinctives, sans aucun contrôle d'efficacité pragmatique"), ce que tu présentes (à tort je pense) comme synonyme de "puéril".
Woaaah, t'envoies du "marxiste" comme ça sans prévenir ?
Moi qui avait essayé d'éviter la provocation autant que faire se peut...
Ce que je critique, c'est un objet de consommation culturel qui est en lien directe avec la consommation de ceux qui "achètent" l'objet en question...
Indy, c'est un gamin largement majeur, un adulescent en diable, qui vit des aventures en étant en butte avec le monde des adultes, lesquels sont invariablement des méchants méchant qui font rien qu'à l'embêter, jusqu'à la figure du nazi, histoire d'aller jusqu'au bout du délire...
Que ce soit le même Ford, qui joue le même rôle dans la trilogie de Lucas, c'est presque trop gros pour être vrai.
Je passe sur l'idéologie qu'il y a derrière...
En fait, et c'est récurrent donc ça vient également de moi, mais je suis encore stupéfait par l'incompréhension de ce que je dis, alors que je l'aborde pourtant de toutes les manières, je ne voue pas aux gémonies le monde de l'enfance, c'est pas le sujet, je pars du principe que le domaine de l'enfance s'est étendu jusqu'à plus de fin, le ludisme n'est pas l'activité ludique, c'est la vie comme fin ludique, et l'irresponsabilité normale de l'enfant permanente, sans autre but que de la faire durer.
Pour faire le lien avec ma caricature de l'avion, à un 'ment donné, si t'es tenté d'envisager l'urgence "écologique", t'as vite fait de comprendre que rien ne justifie que tu continues à le prendre.
Toute justification est dérisoire, mais pour quelqu'un biberonné avec Spielberg, le dérisoire devient l'essentiel, il faut sacrifier le tout à soi, parce qu'on peut, on fait et refait le rite de passage que tu relèves, contre les adultes, aujourd'hui ces affreux boomers qui vivent si bien alors que nous on veut nous empêcher de faire ci ou mi, et c'est trop injuste...
Ça fait 60 ou 70 ans qu'ça dure l'histoire...
Les infantilisés de la société infantilisante sont très satisfait de leur infantilisme, personne veut en sortir, les fascistes de salon réclament même des parents de substitution pour leur dire quoi faire.
Puis alors le maintien du lien avec l'enfance, on dirait que la nostalgie est devenu un sentiment perdu...
Blackadder the second. a écritCannibal Holocaust est un classique.
Ça sera sans moi !
Georges Randal a écritWoaaah, t'envoies du "marxiste" comme ça sans prévenir ?
Moi qui avait essayé d'éviter la provocation autant que faire se peut...
Ce que je critique, c'est un objet de consommation culturel qui est en lien directe avec la consommation de ceux qui "achètent" l'objet en question...
Indy, c'est un gamin largement majeur, un adulescent en diable, qui vit des aventures en étant en butte avec le monde des adultes, lesquels sont invariablement des méchants méchant qui font rien qu'à l'embêter, jusqu'à la figure du nazi, histoire d'aller jusqu'au bout du délire...
Que ce soit le même Ford, qui joue le même rôle dans la trilogie de Lucas, c'est presque trop gros pour être vrai.
Je passe sur l'idéologie qu'il y a derrière...
En fait, et c'est récurrent donc ça vient également de moi, mais je suis encore stupéfait par l'incompréhension de ce que je dis, alors que je l'aborde pourtant de toutes les manières, je ne voue pas aux gémonies le monde de l'enfance, c'est pas le sujet, je pars du principe que le domaine de l'enfance s'est étendu jusqu'à plus de fin, le ludisme n'est pas l'activité ludique, c'est la vie comme fin ludique, et l'irresponsabilité normale de l'enfant permanente, sans autre but que de la faire durer.
Pour faire le lien avec ma caricature de l'avion, à un 'ment donné, si t'es tenté d'envisager l'urgence "écologique", t'as vite fait de comprendre que rien ne justifie que tu continues à le prendre.
Toute justification est dérisoire, mais pour quelqu'un biberonné avec Spielberg, le dérisoire devient l'essentiel, il faut sacrifier le tout à soi, parce qu'on peut, on fait et refait le rite de passage que tu relèves, contre les adultes, aujourd'hui ces affreux boomers qui vivent si bien alors que nous on veut nous empêcher de faire ci ou mi, et c'est trop injuste...
Ça fait 60 ou 70 ans qu'ça dure l'histoire...
Les infantilisés de la société infantilisante sont très satisfait de leur infantilisme, personne veut en sortir, les fascistes de salon réclament même des parents de substitution pour leur dire quoi faire.
Puis alors le maintien du lien avec l'enfance, on dirait que la nostalgie est devenu un sentiment perdu...
Je veux pas me mêler à ce fascinant échange, mais parler d'infantilisation quand on passe 15h minimum par jour sur un site dédié à des gens qui courent après un ballon, c'est légèrement ironique, isn't it?
Fred Astaire a écritÇa sera sans moi !
Et un plat végétarien pour Frédo !
"Adieu, ma jolie" c'était bien sympa: un film de détective à l'ancienne avec des gens en pardessus et costard, qui fument des clopes et enchaînent les verres de spiritueux sur fond de musique jazzy.
Pêle-mêle, j'ai bien aimé Robert Mitchum, sa répartie, le recours à la voix off pour la narration, une pointe d'humour sarcastique, le bateau casino offshore, l'ambiance film policier noir dans un Los Angeles des années 40 et toute la palette de personnages qui va avec (le détective, les policiers, les gangsters, la maquerelle, le vendeur de journaux, le juge et sa femme venéneuse, etc.).
Quant au scénario il est efficace quand bien même on sent venir le twist final.
A noter la présence de Charlotte Rampling et Sylvester Stallone à peine trentenaires. Et aussi, Anthony Zerbe, je ne connaissais pas du tout, il a un petit rôle mais il m'a fait une très bonne impression.
Blackadder the second. a écritEt un plat végétarien pour Frédo !
Végétarien, non, mais je mange jamais jamais de viande rouge !
Blackadder the second. a écritJe veux pas me mêler à ce fascinant échange, mais parler d'infantilisation quand on passe 15h minimum par jour sur un site dédié à des gens qui courent après un ballon, c'est légèrement ironique, isn't it?
15h minimum.
Et pourquoi pas 18, ou 22, Priscilla ?
Tant qu'à faire.
Quant au rapport avec la choucroute...
Dès qu'on essaie de réfléchir, ça a vous met mal à l'aise vous autres, les gens de droite !
(Et en tant que Niçois, t'es de droite au carré...)
Georges Randal a écrit15h minimum.
Et pourquoi pas 18, ou 22, Priscilla ?
Tant qu'à faire.
Quant au rapport avec la choucroute...
Dès qu'on essaie de réfléchir, ça a vous met mal à l'aise vous autres, les gens de droite !
(Et en tant que Niçois, t'es de droite au carré...)
Si tu savais à quel point je suis bourgeois-bohème et à quel point ce terme ne me dérange pas du tout, bien au contraire.
J'ai deux trotinettes moi monsieur. Capice ?
je ne sais plus qui a mentionne "come and see "de klimov mais je le remercie au passage.
j ai emprunte l Europe barbare( annee45/50) de Lowe ce we et on dira que ce film m a mis en condition.
140 minutes bien eprouvantes
Fred Astaire a écritÇa sera sans moi !
Sans moi aussi. Le truc le plus degueux que j'ai vu au cinéma, c'est un homme qui s'arrache -de- son propre bras avec un cutter, je crois. C'était degueux mais super beau à la fois. Très jolie film que ce 127 heures.
" Un meurtre pour rien "
bon film criminel de 1956 du réalisateur argentin Fernando Ayala, avec Carlos Cores. Le twist final est amené d'une façon hitchckokienne. Partition musicale de Astor Piazzola, dont la musique dans un cabaret, où l'on entend évidemment du tango.
Blackadder the second. a écritSi tu savais à quel point je suis bourgeois-bohème et à quel point ce terme ne me dérange pas du tout, bien au contraire.
J'ai deux trotinettes moi monsieur. Capice ?
QUEUAAAAA ?
Deux trottinettes, la provocation mérite qu'on en démonte une rien que pour te la foutre dans l'cul !
(À la libération, en 2027, les vrais Niçois vont te tondre comme un mouton !)
"Le Palestinien Hamdan Ballal, coréalisateur du documentaire No Other Land oscarisé cette année, a été arrêté, lundi, par l’armée israélienne en Cisjordanie occupée, selon Yuval Abraham, un des deux coréalisateurs israéliens du film.
« Un groupe de colons a attaqué la maison de Hamdan Ballal (…), alors qu’il était blessé et ensanglanté, des soldats sont entrés dans l’ambulance qu’il avait appelée et l’ont arrêté », explique M. Abraham sur son compte X.
Les faits se sont déroulés à Soussiya, dans le sud de la Cisjordanie, occupée par Israël depuis 1967, selon le Center for jewish nonviolence, une ONG opposée à l’occupation israélienne, dont des membres étaient sur place et affirment avoir filmé les évènements.
Tourné à Massafer Yatta, un village proche de Soussiya, No Other Land suit un jeune Palestinien luttant contre ce que l’ONU qualifie de déplacement forcé des habitants des villages des environs.
Massafer Yatta, d’où est originaire un des deux coréalisateurs palestiniens du film Basel Adra, a été déclarée zone militaire par Israël. Après une longue bataille judiciaire, la Cour suprême a donné raison en mai 2022 à l’armée israélienne, dans une décision ouvrant la voie à l’expulsion des habitants des huit villages installés là où l’armée souhaite établir un champ de tir."
Et pendant ce temps là
https://youtu.be/bqSq7_M_1ak?feature=shared
Elle joue aussi mal dans les discours que dans les films, cest peut être sa son talent, la constance de sa médiocrité.
Dommage qu en il n y ait pas de boycott massif en France de tous ces artistes, les pro israéliens mais aussi ceux qui te sortent que leur quotidien et que leur art c'est pour questionner l humanité, c'est pour transmettre, faire passer un message, mais qui ferment bien leur gueule face à l évidence. Les collabos quoi.
Scouse a écrit"Le Palestinien Hamdan Ballal, coréalisateur du documentaire No Other Land oscarisé cette année, a été arrêté, lundi, par l’armée israélienne en Cisjordanie occupée, selon Yuval Abraham, un des deux coréalisateurs israéliens du film.
« Un groupe de colons a attaqué la maison de Hamdan Ballal (…), alors qu’il était blessé et ensanglanté, des soldats sont entrés dans l’ambulance qu’il avait appelée et l’ont arrêté », explique M. Abraham sur son compte X.
Les faits se sont déroulés à Soussiya, dans le sud de la Cisjordanie, occupée par Israël depuis 1967, selon le Center for jewish nonviolence, une ONG opposée à l’occupation israélienne, dont des membres étaient sur place et affirment avoir filmé les évènements.
Tourné à Massafer Yatta, un village proche de Soussiya, No Other Land suit un jeune Palestinien luttant contre ce que l’ONU qualifie de déplacement forcé des habitants des villages des environs.
Massafer Yatta, d’où est originaire un des deux coréalisateurs palestiniens du film Basel Adra, a été déclarée zone militaire par Israël. Après une longue bataille judiciaire, la Cour suprême a donné raison en mai 2022 à l’armée israélienne, dans une décision ouvrant la voie à l’expulsion des habitants des huit villages installés là où l’armée souhaite établir un champ de tir."
Et pendant ce temps là
https://youtu.be/bqSq7_M_1ak?feature=shared
Elle joue aussi mal dans les discours que dans les films, cest peut être sa son talent, la constance de sa médiocrité.
Dommage qu en il n y ait pas de boycott massif en France de tous ces artistes, les pro israéliens mais aussi ceux qui te sortent que leur quotidien et que leur art c'est pour questionner l humanité, c'est pour transmettre, faire passer un message, mais qui ferment bien leur gueule face à l évidence. Les collabos quoi.
Ça* quil*
O'Neal ?
Giovanni Drogo a écritSans moi aussi. Le truc le plus degueux que j'ai vu au cinéma, c'est un homme qui s'arrache -de- son propre bras avec un cutter, je crois. C'était degueux mais super beau à la fois. Très jolie film que ce 127 heures.
Ahah, bel oxymore. Le moment où il coupe son nerf au couteau suisse émoussé est particulièrement dégueux. J'aurais pas dit joli film par contre, sauf pour ceux qui souhaitent voir souffrir James Franco.
Vu Canine de Lanthimos récemment. Ben ils sont super tolérants le jury d'un certain regard à Cannes. C'est sacrément glauque, avec des scènes de sexe non-simulées. Du Haneke en version un peu plus pervers, si cela est possible. @Marie Cinéma (tu es où d'ailleurs ?) ne m'avait pas préparé à ça. Je vais me refaire Alps du coup, histoire d'être sûr.
Georges Randal a écritWoaaah, t'envoies du "marxiste" comme ça sans prévenir ?
Moi qui avait essayé d'éviter la provocation autant que faire se peut...
Déçu que tu sois passé à coté de ma vanne ("marxiste vs ludique / marxiste vs luddique")... J'aurais dû mettre un point d'exclamation.
Mais au-delà de la vanne, je persiste à penser qu'il y a un rapport, qui transparait d'ailleurs en filigrane du reste de ta réponse. Mon commentaire relevait de l'intuition, puis j'ai cherché un peu et j'ai trouvé ça, qui synthétise bien le truc :
« L’analyse marxiste définit le plus souvent le loisir comme une fausse conscience de liberté, comme un outil des classes dirigeantes pour dominer les autres, particulièrement en leur donnant l’illusion qu’elles ont un intérêt dans le système existant : le loisir est alors perçu comme un moyen de répression car il permet, dans un espace trompeur d’autonomie, une évasion par rapport à la réalité de l’aliénation sociale. »
(https://www.persee.fr/doc/noroi_0029-182x_1983_num_120_1_4144)
Avec peut-être aussi, pour le même prix, un petit enjeu de réalisme ?
Sinon, pas trop convaincu par le reste de ton argumentaire (en l’occurrence Indiana Jones - le personnage - pour ce dont je me souviens est un adulte normalement constitué, ses péripéties, pour rocambolesques et caricaturales qu’elles soient - gentil Américain vs méchants Etrangers - sont certes infantilisantes dans l’usage de trames narratives prémâchées, mais qui ne sont pas le propre de ce cinéaste ni de ce genre, et qui existent par ailleurs dans d’autres domaines - au théâtre par exemple - mais pas forcément dans le "contenu" de ces péripéties ; et plus globalement, comme je disais dans mon 1e message, je reprocherais plutôt à ces films l'inverse de ce que tu leur reproches, à savoir non pas une déresponsabilisation / infantilisation des spectateurs, mais une "sur-responsabilisation" / "sur-individualisation" avec ces archétypes de héros charismatiques qui, à eux seuls - la plupart du temps, à quelques exception près - se sortent seuls du pétrin de façon improbable, et sont les véhicules typiquement US du mantra "aide-toi le Ciel t'aidera" : en d'autres termes, "responsabilisez-vous" / "vous êtes la solution à vos problèmes" - même si vous êtes un enfant. Super...).
Et je n'ai pas compris cette phrase :
Georges Randal a écritPuis alors le maintien du lien avec l'enfance, on dirait que la nostalgie est devenu un sentiment perdu...