Arrêt sur image
Bref, de Green Street (Hooligans en VF) à Olive et Tom, discutons du football de fiction, mais pas que.
Fred Astaire a écritIl est en exclusivité sur le discord de Pinte de foot avec votre serviteur, Dip, Rui, Modrobilly, Xixon, et des tas d'autres.
Ah ces exclusivités. Va falloir payer, c'est ça ?
Fred Astaire a écritImagine Noiret ou Piccoli.
Dans les années 30/40 ce genre de rôles était dévolu à Jacques Dumesnil ou Victor Francen.
J'ai imaginé Piccoli. Mouais, pourquoi pas. Puis Noiret. Ça matche pas d'un premier abord, mais vraiment pas, sa bonhommie naturelle ne cadrant pas avec le personnage. Puis je l'ai imaginé en cocu magnifique post-colonial comme dans le très bon Coup de torchon, et je me dis que cette scène aurait pris un tout autre sens. Pas sûr toutefois que cela eut servi la noirceur profonde du film...
Doc Savage a écritPas sûr toutefois que cela eut servi la noirceur profonde du film...
Le mec s'appelait Noiret, il te faut quoi de plus ?
Fred Astaire a écritIl est en exclusivité sur le discord de Pinte de foot avec votre serviteur, Dip, Rui, Modrobilly, Xixon, et des tas d'autres.
Et Bobby Malembouché, l'est vivant ?
barrabravo a écritLe mec s'appelait Noiret, il te faut quoi de plus ?
Michel Blanc, paix à son âme, n'est pas un suprémaciste.
Vu Juré n°2 d'Eastwood, de retour à Savannah, GA après Minuit dans le jardin du Bien et du Mal. Avec des références appuyées à 12 hommes en colère, Clint continue à décortiquer les dessous de son pays en s'attaquant de nouveau à la justice et à ses biais, car la justice est faite par les humains et par un système fondamentalement inégal. Les thèmes de la justice (évidemment), de la vérité, de la rédemption et de l'intérêt personnel sont ici convoqués et traités avec le classicisme et la sobriété du cinéma d'Eastwood, ce qui rend ce film de procès prenant de bout en bout. Nicholas Hoult est très juste dans sa partition de juré en plein dilemme.
Tu vas me manquer Clint.
Doc Savage a écritVu Juré n°2 d'Eastwood, de retour à Savannah, GA après Minuit dans le jardin du Bien et du Mal. Avec des références appuyées à 12 hommes en colère, Clint continue à décortiquer les dessous de son pays en s'attaquant de nouveau à la justice et à ses biais, car la justice est faite par les humains et par un système fondamentalement inégal. Les thèmes de la justice (évidemment), de la vérité, de la rédemption et de l'intérêt personnel sont ici convoqués et traités avec le classicisme et la sobriété du cinéma d'Eastwood, ce qui rend ce film de procès prenant de bout en bout. Nicholas Hoult est très juste dans sa partition de juré en plein dilemme.
Tu vas me manquer Clint.
GA ?
MarieCinema a écritGA ?
Georgia.
Content de te voir mon ami.
Quelqu'un a vu The substance ?
J'hésite à me fader un truc qui se complaît dans les monstruosités pour pas grand-chose, Revenge cassait pas trois pattes à un canard.
C'est pas du cinéma, mais "La flûte enchantée" vue par Cédric Klapisch, c'est formidable.
Doc Savage a écritVu Juré n°2 d'Eastwood, de retour à Savannah, GA après Minuit dans le jardin du Bien et du Mal. Avec des références appuyées à 12 hommes en colère, Clint continue à décortiquer les dessous de son pays en s'attaquant de nouveau à la justice et à ses biais, car la justice est faite par les humains et par un système fondamentalement inégal. Les thèmes de la justice (évidemment), de la vérité, de la rédemption et de l'intérêt personnel sont ici convoqués et traités avec le classicisme et la sobriété du cinéma d'Eastwood, ce qui rend ce film de procès prenant de bout en bout. Nicholas Hoult est très juste dans sa partition de juré en plein dilemme.
Tu vas me manquer Clint.
Ca donne envie en tout cas !
Georges Randal a écritQuelqu'un a vu The substance ?
Oui.
MarieCinema a écritCa donne envie en tout cas !
Il sait bien défendre ses films préféré, oui.
Giovanni Drogo a écritIl sait bien défendre ses films préféré, oui.
Et toi c'est quoi les tiens ?
MarieCinema a écritEt toi c'est quoi les tiens ?
J'en ai déjà parlé plusieurs fois de mes préférés. Je t'ai déjà donné quelques devoirs d'ailleurs huhu mais je peux tout de même te donner mon top 10 si tu veux.
Giovanni Drogo a écritJ'en ai déjà parlé plusieurs fois de mes préférés. Je t'ai déjà donné quelques devoirs d'ailleurs huhu mais je peux tout de même te donner mon top 10 si tu veux.
J'arrive pas à suivre les changements de pseudo.
MarieCinema a écritJ'arrive pas à suivre les changements de pseudo.
Pourtant proche du dernier.
Fred Astaire a écritC'est pas du cinéma, mais "La flûte enchantée" vue par Cédric Klapisch, c'est formidable.
Je l'ai joué ça, la flûte enchantée !
Celle qui soufflait dedans, formidable, aussi...
Georges Randal a écritJe l'ai joué ça, la flûte enchantée !
Celle qui soufflait dedans, formidable, aussi...
Quelle vulgarité !
Fred Astaire a écritQuelle vulgarité !
Ah, non... Pourquoi ?
Je suis élégant en toutes circonstances, y compris pendant l'amour.
La France, Monsieur.
MarieCinema a écritJ'arrive pas à suivre les changements de pseudo.
Jai été banni et est dû me recréer un nouveau compte
Giovanni Drogo a écritJai été banni et est dû me recréer un nouveau compte
J'avoue être allé un peu loin.
Giovanni Drogo a écritIl sait bien défendre ses films préféré, oui.
C'est pas mon film préféré, mais un chouette moment de cinéma.
The Substance est un vrai film de body horror (Cronenberg, Otomo et dans une moindre mesure Lynch, De Palma et Refn sont convoqués), et ce qui est bien, assumé jusqu'au bout. Certes, pour les amateurs de la thématique, rien de nouveau sous le soleil (à ce titre je ne comprends pas la Palme du scénario), mais la mise en abysse de Demi Moore est intéressante et courageuse, et pour laquelle on ne peut pas dire que sa carrière ait été réellement florissante. Ça manque de finesse, c'est direct, c'est frontal, mais c'est réjouissant et très sexualisé. En 2024, on peut dire que si ce film avait été filmé par un homme, ça eut été un outrage. Margaret Qualley y est sulfureuse.
Doc Savage a écritThe Substance est un vrai film de body horror (Cronenberg, Otomo et dans une moindre mesure Lynch, De Palma et Refn sont convoqués), et ce qui est bien, assumé jusqu'au bout. Certes, pour les amateurs de la thématique, rien de nouveau sous le soleil (à ce titre je ne comprends pas la Palme du scénario), mais la mise en abysse de Demi Moore est intéressante et courageuse, et pour laquelle on ne peut pas dire que sa carrière ait été réellement florissante. Ça manque de finesse, c'est direct, c'est frontal, mais c'est réjouissant et très sexualisé. En 2024, on peut dire que si ce film avait été filmé par un homme, ça eut été un outrage. Margaret Qualley y est sulfureuse.