- Euro 2016
- Le guide des villes hôtes
Comment bien suivre l’Euro à Saint-Denis
Avec sept matchs au Stade de France, Saint-Denis se nourrit littéralement de football pendant un mois. Une ville qui connaît pas mal le ballon rond.
Avec sept matchs au Stade de France, Saint-Denis se nourrit littéralement de football pendant un mois. Une ville qui connaît pas mal le ballon rond.
Parce que Lyon n’est pas la seule ville à disposer d’un nouvel outil, Nice, son soleil, sa Coupe de France 1997 et son Lionel Letizi méritent bien une petite visite.
Pendant longtemps sans stade, la ville de Lille est en revanche plutôt bien pourvue en bars. Pas étonnant, donc, d’y retrouver un Écossais et le prénom Marceau.
Une ville où les gens se déplacent en auto-stop et qui a vu jouer l’immense génération Sikora-Vairelles. Lens et son Bollaert, uniques en France.
Dans les caveaux de Saint Jean ou sur les pentes de la Croix-Rousse, footix et autres experts tactiques se croisent quotidiennement. Tout ça sous le regard attentif de Notre Dame de Fourvière.
Pénétrer dans le nouveau stade de Bordeaux se mérite, tant son accès peut se révéler pénible. Mais une fois installé dedans, le confort et la vue sont garantis. Un peu comme à une terrasse du centre-ville.
Parce que le cours d’Estienne d’Orves est magnifique quand il n’est pas un champ de bataille et que la France ne serait pas la France sans l’OM, il faut suivre l’Euro à Marseille.
Citadelle du ballon ovale, Toulouse n’en reste pas moins une ville qui aime le foot et qui l’accueille à bras ouvert à chaque compétition de grande envergure.
Ce n’est un secret pour personne, les supporters stéphanois comptent parmi les meilleurs de France. Car à Saint-Étienne, on ne rigole pas avec le foot, encore moins avec l’ASSE.