Entre vraies illusions et fausses certitudes des matchs amicaux, Didier Deschamps donne tant bien que mal l’impression d’avancer. Dimanche soir, ses remplaçants ont rappelé que l’essentiel n’est pas de trouver une équipe type, mais de bâtir un groupe.
Ongles rongés, jambes flageolantes ou élèves sûrs de leur force, les membres de la classe bilingue espagnole sont, comme à l’accoutumée, passés au peigne fin par les professeurs principaux.