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En direct : Allemagne – Japon
À jouer
C’EST FINI ! UN DERNIER COUP DE GANT DE GONDA ET LE JAPON S’IMPOSE ! Quelle prestation mes aïeuls. Et quel retournement de situation. Bravo aux hommes Moriyasu, ils ont été grands. L’Allemagne, déjà éliminée eu premier tour en 2018 est dans la mouise : elle jouera sa survie au prochain match contre l’Espagne.
Je vous laisse entre de bonnes mains, je file avec les supporters japonais. Bises !
Coup franc, Kimmiche à la baguette, Neuer dans la surface… Et ça file en corner de l’autre côté… Putain la tension.
Et Neuer obligé de sortir à 40 mètres de sa cage pour couper la course de Doan.
Avec Goretzka, à la retombée d’une remise de la tête, c’est plus crédible par contre. Ca passe juste à côté.
Quand tu n’as plus d’idées, tu envoies Rüdiger à la frappe des 30 mètres. Bah non ça ne marche pas.
L’Allemagne pousse, mais Füllkrug est cerné dans la surface.
Sept minutes de temps additionnel : c’est là qu’il va falloir être costaud.
Rüdiger a pris la marée, pressé par Asano qui se saisit du ballon et décale Doan. Antonio tacle ce dernier : penalty ??? Non.
Au vu de la première période, je n’aurais jamais imaginé les Japonais se réveiller comme ça. Bravo eux et au coach qui a fait les bons changements.
Ma connexion au stade n’arrive pas à suivre les énévements, mais je m’accroche. Et vous ???
MAIS WAHHHH !!!! Sur une longue ouverture, Asano part à la limite du hors jeu, résiste à Schlotterbeck et la cale sous le filet de Neuer. Le Japon mène : le vent à tourné.
OOOOOOH OUI !!! Ritsu Doan égalise ! Je ne l’ai même pas vu rentré (d’où le temps à afficher le but), mais l’attaquant de Fribourg pousse au fond un centre de Minamino détourné par Neuer. Toute machine qu’il est, le voilà dans la mouise.
QUELLE HORIZONTALE DE NEUER !! FOU ! Le ballon piqué vers Asano était parfait, mais le robot allemand, qui n’avait rien eu à faire jusque là s’est déployé en deux-deux.
OOOOOH QUELLES FOLIES DE GONDA !!! Il a d’abord fallu assurer pour contre carrer cette tentative de Hofmann après une louche subtile de Kimmich et une remise de Gnabry, puis sauver les meubles face au même Gnabry…
De la tête Sakai lance Asano, omniprésent, et sur le corner suivant Itakura est proche de profiter d’un énorme cafouillage. Wow.
Sur corner Ikatura tente de la rabattre, mais Schlotterbeck est dsur le coup.
L’Allemagne ne fait plus rien.
Je ne l’ai pas encore dit, mais il y a quand même huit japonais qui jouent en Allemagne : ça peut aider.
Mitoma et Asano amènent beaucoup d’énergie : avec Ito à leur droite, les deux entrants ont parfaitement joué le 3 contre 2, mais l’attaquant de Bochum dose mal sa frappe.
LE POTEAU DE GÜNDOGAN ! Le Citizen s’est tranquillement avancé jusqu’à l’entrée de la surface mais sa frappe attrape la base. Le tout avec placidité. Ok.
Avoir Gonda dans ses cages, c’est comme avoir du cellophane à la place des vitres : ça peut contenir des gouttelettes, mais au premier coup de vent, ça craque. Sa sortie dans les pieds de Havertz n’était pas déconnante, mais il ne savait plus quoi faire après. Heureusement le faux 9 était hors jeu et ses potes sont revenus.
Il y avait de l’idée dans cette passe de Tanaka, mais elle est trop longue pour que Kamada puisse la remettre. Et les supporters japonais continuent eux de donner une leçon de supportérisme aux Allemands. On y croit de nouveau à ma droite !
JAMAL !!! La jeune pousse navigue à vue dans la surface et force une frappe qui s’envole dans les airs.
Encore une poussée de Ito sur la droite, qui offre une possibilité de frappe à Kamada : corner et un peu de grains à moudre pour les Japonais.
Müller pousse avec ses genoux cagneux et décale Gnabry. Le Bavarois arrose au-dessus.
On y retourne, les p’tits potes ?
Pouce ! On arrête tout et on revient dans 15 minutes. Les Allemands jouent petit bras face à des Japonais en souffrance. Dans un monde normal, il y a déjà 4-0 pour le Nationalelf. Peut-être que le vent finira par se lever et tourner pour les compatriotes de Miyazaki.
Oh la déviation de la tête, sur un bon centre de Nagatomo, de Maeda qui ne trouve pas le cadre ! C’eût été succulent.
Vous préférez avoir Pavard ou Süle en arrière droit ? Cette grande perche a l’air quand même bien emmerdée quand il doit monter face à des équipes aussi regroupées…
Quatre minutes de bonheur en plus. Ca nous apprendra à ne pas avoir beaucoup de célébrations.
Une ola est partie. Je suis toujours un peu inquiet quand il y a « Japon » et « vague » dans la même phrase.
Que c’est nul, un supporter allemand. Les mecs s’excitent jamais sauf pour dire guten tag aux joueurs qui partent à l’échauffement.
Bon, c’est malheureux à dire, mais je vois mal le Japon rééditer la bonne impression de 2018. C’est vraiment nul en défense, notamment le Gonda dans ses sorties (un comble). Les Allemands se sont organisés une tomate dans la surface et personne n’a pu leur prendre leur balle en mousse…
Le problème du Japon, c’est qu’on ne voit qu’Ito.
TOOOOOOOOOR : Ilkay Gündogan pour l’Allemagne. C’était tiré plein centre.
Magnique ouverture de Kimmich vers Raum qui, face à Gonda, fait un crochet vers l’arrière et se fait déséquilibrer par le gardien… PENALTY ! Qu’est-ce qu’il lui a pris à Shuichi ??
Les Allamands et particulièrement Gündo continuent de pilonner la cage adverse… Ca commence à être dur défensivement pour les Asiatiques.
Tiens, les Allemands savent jouer au rugby ? Leur 13 (Müller) parti sur l’aile a libéré pour son 10 (Gnabry) qui sur un pas a décalé son 8 (Gündogan). Il y a pas d’en avant, mais depuis quand un troisième ligne tape au pied ? Gonda était sur la trajectoire.
Musiala est un futur grand. A moins qu’il ne le soit déjà.
Sinon on a checké la VAR, pour un éventuel contre de la main, mais tout est ok, circulez !
Il ne sont quand même pas serein-serein nos amis de la défense japonaise. Itakura ne savait plus quoi faire…
@Cockney, je peux pas tout savoir mon cher. Et puis je compte sur vous aussi.
Et encore Junya Ito qui fout le bordel dans l’arrière boutique allemande. Le championnat de France détient une pépite.
Oh scheisse ! Grosse combinaison initiée par Musiala qui se fait faucher par Endo (il me semble), Kimmich envoie une sacoche repoussée par Gonda sur Gündogan qui ne peut ajuster sa reprise, finalement hors jeu.
@marrakech, le maillot japonais est bleu, le maillot allemand est blanc : dans les deux cas, aucun rapport à avec les drapeaux. Ils font ce qu’ils veulent non ?
La tête d’Antonio Rüdiger au second poteau qui file à côté ! L’ex de Chelsea avait bien bondi sur ce corner de Kimmich.
en tribune, gros fan club de Daniel Schmidt, le gardien remplaçant du Japon au nom de Hambourgeois.
Tiens les supporters allemand ont fini de digérer leur houmous et se mettent à entonner leur petit chant de fête de village. Mais juste une fois.
Musiala s’infiltre côté gauche pour détricoter le joli maillage défensif japonais, remet à Kimmich, mais sa frappe est contrée.
Pour répondre à vos questions sur l’absence de 9 chez les Deutsch, la réponse se trouve sur le banc en la personne de Niclas Füllkrug, avec sa dent en moins et son nom d’entreprise de scierie.
Allez, c’est sûr, ça va être un bon match, je le sens.
OH MAEDA QUI OUVRE LE SCORE SUR UN MAGNIFIQUE CENTRE DE ITO !!! Mais il est tout de suite signalé hors jeu. Franchement, ça ressemblait à l’action sur le but australien hier contre les Bleus, sauf que les Allemands s’en sortent bien.
Les Allemands sont repartis dans une récitation de guardiolisme et font tourner la baballe. La seule vraie course est celle de Havertz qui a tapé un sprint pour éviter que la passe de Süle finisse en sortie de but.
Maeda s’est envoyé un beau tango avec Rudiger sur le côté droit, mais c’est le Madrilène qui a remporté son duel. Derrière, le Rémois Ito montre qu’il est en cannes et va chercher le corner. Bonne entame japonaise, sans complexe.
Ca me fait penser que je n’ai pas fini de regarder Tokyo Vice avant de partir…
Pas idéal le mix de couleur entre le blanc et le noir de l’Allemagne et le bleu marine et blanc du Japon. Comment ça rend dans votre poste ?
Je ne vois pas d’arc-en-ciel sur le biceps de Neuer… Dommage.
Après niveau équilibre dans les tribunes, les Teutons occupent l’espace. Après, difficile de se faire une idée du nombre, les tribunes oscillantes du Khalifa étant bizarrement foutues. La Blue Army sur ma droite a le mérite d’être bien coordonnée.
Quelle partie d’orgue sur celui du Japon… c’est beau, profond.
On accueille les artistes, messieurs-dames. Veuillez vous lever pour les hymnes !
L’ambiance est bon enfant, comme depuis le début de la Coupe du monde (faut-il faire un lien avec l’absence de bière ?), mais par contre, j’en peux plus de cette clim. C’est d’un ridicule : il fait un bon 28°C à 15h45, pas de quoi suer à grosses gouttes…
Chez les Germains, on connaît les bails : Neuer dans les cages, une défense de mammouths Süle, Rüdiger, Schlotterbeck, Raum, les cervelles de Gündogan et Kimmich au milieu, et les jeunes Havertz, Gnabry, Musiala pour entourer ce vieux grigou de Thomas Müller devant. Pas là pour déconner non plus, ceux là.
Salut @Xixon, bon match à toi. Il y a quand même beaucoup de potentiel côté japonais. L’attaque Kubo, Kamada, Ito, Maeda, ça a de la gueule. Le soucis c’est que ça me paraît un peu plus limité derrière, même si j’ai toujours aimé ce bon vieux Maya Yoshida. Je ne suis pas loin de penser qu’ils peuvent créer la surprise de la journée.
C’est aussi avec plaisir qu’on retrouve des visages connus en Ligue 1 : Eiji Kawashima et Takumi Minamino sont sur le banc mais les anciens de l’OM Hiroki Sakai et Yuto Nagatomo occupent les ailes, tout comme Junya Ito un peu plus haut.
110e match de Coupe du monde pour nos amis allemands, mais le tout premier face au Japon. L’occasion de rattraper le temps perdu ?
Salut les petites cailles, prêts è becter un joli match de football ? L’Allemagne et le Japon lancent leur compétition au Khalifa International Stadium, où flotte une jolie ambiance de kermesse.
Allemagne
Japon
Mathieu Rollinger
