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Camavinga : « Avant, j’étais un mec qui avait trop la pression ! »

FG
Camavinga : «<span style="font-size:50%">&nbsp;</span>Avant, j&rsquo;étais un mec qui avait trop la pression !<span style="font-size:50%">&nbsp;</span>»

Eduardo Camavinga, dix-neuf ans sur sa carte d’identité, mais dix de plus dans la tête.

Au crépuscule de sa première saison avec le Real Madrid, avec qui il a été sacré champion d’Espagne il y a peu et disputera le 28 mai prochain la finale de la Ligue des champions face à Liverpool au Stade de France, Eduardo Camavinga s’est ouvert, expliquant notamment comme le talentueux et insouciant jeune footballeur qu’il est a facilement surmonté la pression à ses débuts.

« Avant, j’étais un mec qui avait trop la pression ! Surtout quand j’étais plus petit, vers 12 ou 13 ans, explique-t-il dans un article de France Football relayé ce samedi par L’Équipe. Mais, à partir du moment où tu commences à comprendre ce que tu peux et dois faire sur le terrain, elle se transforme en quelque chose d’autre. Après cette prise de conscience, que tu joues au Real ou ailleurs, ça reste tout le temps du ballon. Peu importe le club, le stade… » Une assurance gagnée en arrivant au Stade rennais. « Le jeu sans ballon, c’est révélateur, poursuit-il. Avant, je ne défendais jamais. Mais alors, une fois à Rennes, j’ai commencé à défendre comme un fou. Je ne mettais que des coups ! J’étais devenu un autre joueur. C’est à cette époque que les choses ont changé. La pression s’était transformée en adrénaline. Je n’allais plus jamais avoir la boule au ventre ou peur de mal faire. »

Toujours aussi lucide, l’international français (3 sélections) s’est également défendu de ne pas être un joueur décisif malgré des statistiques légères. « Moi, je ne suis pas trop dans ces trucs-là. Entre marquer et faire marquer, je choisirai toujours la seconde option, enchaîne Camavinga. Je ne dis pas ça pour faire genre. C’est aussi important que marquer. Les avant-dernières passes, c’est pareil. Mais qui en parle ? […]À Rennes, je n’avais pas d’énormes stats, mais j’étais souvent l’avant-dernier maillon. Je décalais ou donnais dans le bon tempo. Mais ça, les gens ne le relèvent jamais. Tu peux avoir un impact sur le match sans être « décisif » de la manière dont on l’entend aujourd’hui. Tu peux l’être défensivement, par exemple. Mais ça se mesure un peu moins bien statistiquement, alors les fans y font moins attention. »

Une leçon de maturité.

Lorenz Assignon quitte Rennes pour filer en Allemagne

FG

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