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Wenger révèle le secret de ses galères avec sa fermeture éclair
Tonton Arsène se confie.
De passage à Tokyo dans le cadre d’une mission de conseil pour un projet de nouveau stade, Arsène Wenger s’est longuement confié à l’AFP, expliquant notamment pourquoi il n’était toujours pas de retour sur un banc malgré de nombreuses sollicitations : « Jusqu’à présent, j’ai refusé de revenir parce que nous avions des problèmes de santé dans la famille » , a-t-il confié.
Mais il a affirmé qu’il désirait ardemment revenir, si possible à la tête d’un club et non d’une sélection nationale, un travail qu’il n’estime pas vraiment fait pour lui. C’est le contact avec les gens qui manque, c’est d’être dans le même bateau, de partager les mêmes émotions, la victoire, la défaite, a poursuivi l’Alsacien. Je supporte assez bien la pression, parce que j’ai fait ça toute ma vie, alors ça me manque. »
L’ancien coach d’Arsenal est aussi revenu avec humour sur la scène récurrente qui le voyait se battre avec la fermeture éclair de sa parka, les yeux rivés sur le match : « Mon manteau était très long et je le mettais seulement lorsque je me sentais déjà gelé, a-t-il rigolé. Parfois, j’avais très froid aux mains. Aussi, on se concentre sur le jeu, pas sur sa fermeture éclair. Mais je suis peut-être aussi un peu maladroit. »
Un mystère de moins à percer pour le genre humain.
QJ