SO FOOT #158

+ LE BILAN DU MONDIAL 2018 Parce qu’il faudra s’en souvenir longtemps pour le raconter encore et encore à nos enfants, voici le tour du mondial 2018: le résumé jour après jour de ce qu’il s’est passé pendant un mois.

+ HEURE PAR HEURE Le jour de boire est arrivé. Les journalistes de SO FOOT ont vécu la finale à Paris, Bondy, Saint-Denis. Ils racontent la finale et la liesse, heure par heure. Reportage au bout de la nuit.

+ PORTRAIT À 56 ans, le sélectionneur du Mexique, Juan Carlos Osorio, s’est enfin révélé au monde grâce à sa victoire tactique sur l’Allemagne. Focus sur un ancien sans-papiers complètement taré.

+ REPORTAGESLes routes du paradis. Divisés par les questions migratoires, les dirigeants européens n’ont pas saisi tous les enjeux de ce mondial: pour nombre de supporters africains, le voyage vers l’est représentait une occasion en or de rallier illégalement, via la Russie, la Finlande et donc l’Europe. Reportage avec des types pour qui le foot est plus qu’une question de vie ou de mort.

Quality street. La rue Nikolskaïa, à Moscou. Au rythme de la Coupe du monde et de la folie des supporters internationaux, un vent de liberté inattendu a secoué l’esprit des Russes, remué les idées reçues des visiteurs et titillé les complexes de tout un pays. Attention, plongée dans l’épicentre du mondial.

+ DÉCRYPTAGELa patte à Dédé. Deux ans après avoir perdu en finale de l’Euro, l’équipe de France s’est offert la deuxième coupe du monde de son histoire en suivant le sillage de Didier Deschamps, qui a plus que jamais érigé le pragmatisme au rang de religion. Retranchés dans leur camp de base d’Istra, imperméables aux critiques, les Tricolores sont allés chercher une nouvelle étoile comme on remplit une mission: en étant imperturbables. C’est ça, la France qui gagne. Peu importe le comment.

+ MAIS AUSSIVAR de rage: foot, mensonges et vidéo? Le photobomb d’Ivan Rakitic et la couverture à laquelle vous avez échappé.