Roberto Martínez reconnaît qu’« il y a des tensions au sein du groupe »

L’occasion, elle était en 2018.

Avec trois petits points au compteur, la Belgique est dans le rouge. Seul le Canada est moins bien classé dans ce groupe F, mais le Maroc et la Croatie comptent quatre points et semblent dans un ballottage plus favorable pour passer en huitièmes.

Pour ne rien arranger, des tensions dans le groupe apparaissent aux yeux de tous. À l’image des déclarations de Kevin De Bruyne dans les colonnes du Guardian. Des différents confirmés par Roberto Martínez. Dans un entretien accordé à la RTBF, le coach de la Belgique a confirmé la présence de « tensions dans le groupe ». Mais il ne s’en inquiète pas, selon lui, « c’est comme dans une famille. »

Pour la troisième journée, les Diables rouges se frotteront à la Croatie, pour tenter de décrocher leur ticket pour la suite du tournoi. Une situation pas banale pour Martinez, lequel avoue que « c’est la première fois qu’on se retrouve dans ce genre de situation. On espérait se qualifier dès le deuxième match, mais c’est la réalité. » Cela n’empêche pas le sélectionneur espagnol d’y « croire à 100% » et de miser évidemment sur une victoire de son équipe face aux Croates.

Le moment de relancer le débat pour savoir depuis quand la fameuse génération dorée appartient au passé.