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Pour Ocampos, le Vélodrome, c’est l’Argentine
La ferveur argentine.
Lucas Ocampos est un des hommes de base du système Garcia. Un temps envoyé en Italie, il s’est finalement imposé à Marseille, faisant primer sa grinta et son goût de l’effort. Galvanisé par l’ambiance du Vélodrome, le joueur s’aventure à la comparaison avec les stades de son Argentine natale : « Le Vélodrome, c’est un peu la représentation de l’Argentine en Europe » , confie-t-il à La Provence.
S’ensuit un tour d’horizon des stades dont l’ailier gauche a piétiné le gazon : entre Monaco où, fait remarquable, il n’a « pas retrouvé cette passion » , le Genoa, où « c’était assez chaud, mais ce n’était pas la folie comme ici » et le Milan où « c’est plus un théâtre. Les supporters vont au stade pour se divertir » . Bref, à Marseille, c’est différent : « Je ressens la peine de la ville lorsque l’équipe perd. Et inversement lorsqu’on gagne. La saison passée lors de notre parcours en Ligue Europa et après les grands matchs que l’on a faits au Vélodrome, la ville était différente, heureuse, illuminée. C’est cela qui rapproche Marseille de l’Argentine. »
PHGC