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Orsoni : « Je crains fort que la place de troisième soit celle de cocu »
Il y a encore de la vie sur Facebook, et ça vaut le détour.
« La messe est dite, le Havrais à tranché… » Par ces mots qui désignaient directement Édouard Philippe, Alain Orsoni a libéré sur son profil personnel sa déception à la suite de l’arrêt des championnats français. L’ancien président de l’AC Ajaccio estime que le club corse, actuellement troisième de Ligue 2 avec un point de retard sur Lens (2e) et deux sur Lorient (1er), sera floué par cette décision.
« Bon maintenant va commencer la foire d’empoigne… Qui monte, qui descend ? Il y a moult options. Ce qui est certain, c’est que les deux premiers montent… Normal ! Quid des barragistes, puisque visiblement il n’y aura pas de barrages. Je crains fort que la place de troisième soit celle du cocu », a regretté le dirigeant de 66 ans. Orsoni a continué en égratignant pour de bon le Premier ministre et ses origines sur un ton conspirationniste, alors que le houleux barrage de 2018 entre le HAC et l’ACA est encore dans toutes les têtes : « Si Le Havre était à notre place, il aurait une chance… Ajaccio, bon on peut toujours rêver. »
Il s’agirait de trouver un nom à cette brûlante rivalité normando-corse.
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