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Nasri, Gallas et suppos pour les mythos
Les ordonnances du docteur Samir.
Le milieu du FC Séville a répondu dans une interview à Onze Mondial à William Gallas, qui l’avait accusé d’avoir voulu le « taser » à la sortie d’une boîte de nuit en 2009. Et il faut reconnaître à Samir un certain art de la punchline, puisqu’il a conseillé à Gallas de prendre des « mythopranes » , « c’est des dolipranes en suppositoire, pour les mythos » .
Un incident que les deux hommes avaient pu évoquer lors de leurs retrouvailles postérieures à Clairefontaine. Et, là encore, Samir a une version légèrement différente de celle de Gallas sur le contenu de leurs échanges : « Qu’est-ce que tu inventes comme histoire ? Tu es venu me voir avant le repas, tu es venu dans ma chambre, tu m’as dit :« Je m’excuse, je ne te manquerai plus de respect, on fait quoi à partir de maintenant ? »Je lui ai dit :« Je ne veux plus te dire bonjour, ne me dis plus bonjour, on ne s’aime pas. »Tu ne m’as jamais dit :« Viens, on va s’expliquer dehors. »Parce qu’on se serait expliqués dehors, tu n’es pas Rambo, tu n’es pas Hulk, tu n’es pas Tyson, il n’y a aucun problème. »
Mais Samir ne s’arrête pas là. L’ex-Gunneren profite aussi pour tacler Emmanuel Petit, présent sur le plateau de l’émission Le Vestiaire lors des révélations de Gallas : « Ils font une émission où lui, il est consultant, il est invité juste pour dire des conneries. Et ils se mouillent entre eux, en train de faire leur salade, leur mayonnaise. Qu’ils arrêtent ceux-là ! »
Avant de conclure sur une invitation à la baston : « Emmanuel Petit, il dit :« À mon époque, on se serait battus. »Mais viens mon ami. Si tu veux, on va se battre toi et moi avec ta queue de cheval… »
On peut peut-être espérer sous peu un combat de boxe entre les deux hommes au Sánchez-Pizjuán, diffusé en mondovision.
AC