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Mamadou Sakho n’aurait pas dû être condamné pour dopage
La nouvelle du contrôle antidopage positif de Mamadou Sakho avait fait l’effet d’une bombe il y a un an.
C’était le 28 avril 2016. Le monde découvrait que le Français avait consommé un brûleur de graisse illicite, et qu’il serait suspendu. Adieu l’Euro, et adieu la confiance de Liverpool. Après ça, son séjour chez les Reds avait tourné au cauchemar et même après avoir été relaxé en juillet, Sakho n’avait jamais réussi à redorer son blason.
L’Agence mondiale antidopage (AMA) vient d’apporter du neuf au dossier en déclarant que le produit utilisé par le Français n’était pas interdit, et que l’UEFA n’aurait pas dû le punir. « Cela montre qu’il y a un problème. La faute est pour l’Ama, sa liste de produits interdits et surtout sa communication avec ses laboratoires » annonce le communiqué de l’UEFA.
Justice est faite.
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