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Les États-Unis, principal pays exportateur dans le football féminin
European Dream.
Selon le dernier rapport de l’Observatoire du football CIES sur les ligues féminines publié ce mercredi, les Américaines sont les plus nombreuses à s’exporter à l’étranger. Avec 82 expatriées dans les dix ligues majeures observées, les États-Unis devancent la Suède et le Canada. En matière de minutes jouées, la plupart des équipes les plus compétitives alignent en priorité des joueuses étrangères. Champion d’Europe en titre, l’Olympique lyonnais ne déroge pas à la règle, avec près de la moitié (47,1%) des minutes jouées par des étrangères. Tout le contraire du FC Barcelone, finaliste de C1, qui affiche un pourcentage bien inférieur (25,1%).
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— CIES Football Obs (@CIES_Football) June 15, 2022
Après de fortes hausses constatées entre 2017 et 2021, l’âge moyen des joueuses sur le terrain est resté stable. « Après s’être fortement développé grâce aux ressources investies par les clubs traditionnellement axés sur leurs sections masculines, le football féminin est entré dans une période de consolidation, conclut le CIES. Cette nouvelle phase devrait aller de pair avec un renforcement généralisé des filières de formation. Ce processus permettra d’accroître le niveau des compétitions, en soutenant durablement la croissance du football féminin, que ce soit sur le plan sportif ou économique. »
Vivement que la D1 Arkema ne soit plus qu’un éternel bras de fer entre l’OL et le PSG.
GJ