L’équipe de France olympique bute sur le Japon pour la dernière répétition avant les JO

France olympique 1-1 Japon olympique

Buts : Olise (47^e) pour la France // Fujita (25^e) pour le Japon

Une dernière répétition quelque peu décevante.

À Toulon, ce mercredi soir, l’équipe de France olympique n’a pas réussi à prendre le meilleur sur une équipe japonaise tenace (1-1) à l’occasion du dernier match de préparation avant le début des Jeux olympiques. Les Bleus ont bien mal entamé la partie, bousculés par des Japonais rugueux mais joueurs. C’est assez logiquement que l’ouverture du score leur revient, au bout d’une jolie action collective conclue par Joel Fujita (25^e), mais qui a pu exister grâce à une perte de balle française assez inutile. Le scénario a même failli être bien pire, lorsque l’arbitre a désigné le point de penalty en faveur des Nippons, après que Loïc Badé a pris la balle à la main dans sa surface, pensant être victime d’une faute. Après vérification de la VAR, le défenseur français avait finalement raison, et l’arbitre est revenu sur sa décision initiale. Malgré plusieurs situations, les Bleus n’ont pas su se montrer tranchants dans le premier acte, à l’image d’Alexandre Lacazette, plutôt maladroit.

Le but 𝗠𝗔𝗚𝗜𝗦𝗧𝗥𝗔𝗟 de Michael Olise 🤩

On démarre fort la seconde période 🔥

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— Equipe de France ⭐⭐ (@equipedefrance) July 17, 2024

Ce n’était pas la même musique au retour des vestiaires, où l’on imagine que Thierry Henry a dû gentiment élever la voix à la pause, avec des Tricolores bien plus inspirés en attaque. Ce réveil français s’est d’ailleurs tout de suite matérialisé par une superbe égalisation signée Michael Olise, d’une très belle frappe du gauche (47^e). Plus que jamais, le tout nouveau joueur du Bayern s’impose comme le grand homme de cette préparation. Le sélectionneur a ensuite envoyé de nombreuses forces dans la bataille, pour peaufiner les derniers détails avant le grand bain des JO, mais ses garçons ne sont pas parvenus à faire basculer la rencontre en leur faveur.

On préférera retenir la deuxième période plutôt que la première.