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Le président de la Fédé italienne sera intransigeant avec les « ligues rebelles »
L’UEFA prend les devants.
Gabriele Gravina, président de la Fédération italienne de football et tout fraîchement élu au comité exécutif de l’UEFA, est revenu sur la Superligue et sur les projets de réformes en mesure d’être votés par l’instance européenne. Dans des propos rapportés par la Gazzetta dello Sport, le dirigeant souhaite ainsi que « chaque club relié à une fédération soit obligé de disputer les compétitions promues par l’UEFA ».
Une initiative qui a pour but de favoriser l’organisation de compétitions officielles et reconnues, notamment la Ligue des champions, et d’interdire la formation de mouvements indépendants comme la Superligue. Une pression mise sur les équipes italiennes, qui seront ainsi dans l’obligation d’intégrer les tournois mis en place par l’UEFA « pour espérer jouer en Serie A ». Cette étude sera proposée au Conseil fédéral de la FIGC le 26 avril et devrait être étendue à toutes les fédérations européennes « quel que soit le projet des ligues rebelles ».
L’art de faire passer une réforme de C1 bien pourrie.
AB