Le pilote du drone qui a espionné la Nouvelle-Zélande écope de huit mois de prison avec sursis

C’est un drone qui vaut cher.

Le Canadien qui a été interpellé pour avoir survolé la séance d’entraînement de la Nouvelle-Zélande avec un drone a été condamné à huit mois de prison avec sursis, selon France Bleu Saint-Étienne Loire. Cet homme de 43 ans, inconnu des services de police, a reconnu les faits, mais n’a pas impliqué la sélection canadienne. Le procureur de la République de Saint-Étienne, David Charmatz, a déclaré que l’homme a été condamné pour « survol de drone dans un espace interdit », et écope en conséquence d’une peine de « huit mois de prison avec sursis assortie de la confiscation de l’ensemble des scellés », donc de son drone.

Le Canada avait déjà précisé dans un communiqué que le pilote du drone était un membre non accrédité de l’équipe canadienne, mais ça n’a pas empêché la sélectionneuse canadienne Bev Priestman de se retirer temporairement, et son adjointe, responsable du recrutement du pilote de drone, de rentrer au pays.

Joue-la comme Bielsa.