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La FFF lance un processus pour progresser aux tirs au but
À nous la troisième étoile !
La principale faiblesse de la France est identifiée : les tirs au but. Échaudé par une finale de Coupe du monde masculine perdue dans cet exercice et une élimination en quarts de finale contre l’Australie chez les femmes, Hubert Fournier, directeur technique national, est bien décidé à ce que ces séances ne soient plus jamais considérées comme une loterie. Selon les informations de RMC, une stratégie globale devra être mise en place dès le mois de mars, avec au centre du projet les sélectionneurs. « C’est lui qui est le responsable et tout part de lui. Il devra leur proposer (aux joueurs et joueuses) un scénario en essayant au maximum de contextualiser la séance de tirs au but. Il faudra aussi préparer, au même titre que celle pour le match, une vraie stratégie en lien avec cette spécificité qu’est le tir au but », a indiqué le DTN.
Fini les « sauveurs de la patrie », les joueurs jugés « importants » ne tireront plus en cinquième position, car « 20% des séances de tirs au but finissent avant ». Pour progresser, il va falloir que Didier Deschamps revienne sur son idée de ne pas travailler les tirs au but. En effet, que ce soit l’équipe de France masculine, féminine ou les jeunes, les Bleu(e)s restent sur cinq échecs de suite, deux pour les hommes (Euro 2021 et Mondial 2022), un pour les femmes (Mondial 2023) et deux pour les U17 (finales de l’Euro et de la Coupe du monde).
C’est con, Lloris aurait bien pris une séance de rattrapage.
QF