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« J’ai arrêté des ballons biens meilleurs que ça » : Emiliano Martínez ne lâche pas la veste de Kolo Muani
Les Argentins ont peut-être gagné, mais Vegedream ne leur a pas pondu un banger national.
Il y a deux ans, Emiliano Martínez, gardien de l’Albiceleste, dégoûtait Randal Kolo Muani d’un arrêt venu d’ailleurs dans les ultimes instants de la finale de la Coupe du monde. Grâce à cette parade exceptionnelle, l’Argentine arrachait la séance de tirs au but. Le reste appartient à l’histoire… Celui que l’on surnomme « Dibu » est revenu sur ce moment clé, déclarant avec assurance : « J’ai arrêté des ballons bien meilleurs que ça. »
Une chanson en boucle depuis 730 jours
Ce mercredi, la fédération argentine a réuni Enzo Fernandez, Emiliano Martínez, Lautaro Martínez, Gonzalo Montiel et Alexis Mac Allister pour revivre cette soirée inoubliable, l’une des plus mémorables de l’histoire du football. Le gardien d’Aston Villa, peu apprécié en France pour sa célébration polémique et son goût pour le chambrage, ne semble pas près de changer d’attitude. Lors de cette discussion entre joueurs argentins, Martínez a une nouvelle fois affirmé son statut, continuant de remuer le couteau dans la plaie du pauvre Randal, et lâche même une balle perdue sur son coéquipier, Nicolas Otamendi. « Ne pas faire confiance à ma défense m’a permis de rester concentré. Quand Ota se fait avoir, je me tenais face à lui, en diagonale », a-t-il déclaré, bravache.
Au moins le poteau touché par Gignac à l’Euro 2016 ne peut pas parler, lui.
BGC