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Galtier, le LOSC et la DNCG
De quoi rendre ringards Les Feux de l’amour.
Le LOSC et la DNCG vivent une relation compliquée depuis la reprise du club nordiste par Gérard Lopez en janvier 2017. En cause, des financements venus de fonds d’investissement tendance vautours, des intérêts élevés à rembourser et des montages apparemment trop intelligents, trop subtils, trop techniques pour le gendarme financier. Résultat, alors qu’il a été auditionné le 10 décembre, le club lillois n’a toujours pas reçu de décision quant à ses possibilités d’action sur le mercato d’hiver et reste en stand-by.
Ce qui a le don d’énerver Christophe Galtier, en prélude du 32e de finale de son équipe face à Sochaux : « On attend une décision de la DNCG. On est peut-être le seul club à prendre du retard, relève Galette. L’an dernier, cela avait été très difficile. Et là, on ne peut pas travailler comme les autres. J’espère que la décision ne sera pas rendue le 29 janvier. » Et de conclure : « Je ne suis pas dans le dossier, mais je défends mon président et l’institution. »
« Quand je me regarde, je me désole. Quand je me compare, je me console » dit l’adage. Preuve une nouvelle fois ce soir avec la réception de Lionceaux à l’agonie.
EC
