- Turquie
- Trabzonspor
Et si l’arrêt du football turc était syonyme de divorces en pagaille ?
Radical.
En Turquie, les matchs de foot continuent de se disputer à huis clos. Un problème pour certains, qui estiment que les championnats nationaux – première division en tête – doivent s’inspirer de ce qui se fait ailleurs en Europe, et suspendre tout bonnement la saison, alors que le pays a déjà recensé près de 50 cas de coronavirus.
Ce n’est pas le cas d’Ahmet Agaoglu, le président de Trabzonspor : « En Turquie, le football est ce qui permet aux gens d’évacuer leur stress, de s’amuser, d’occuper leur esprit » , a-t-il lancé. Le dirigeant de 62 ans a d’ailleurs été plus loin en évoquant une forte hausse des problèmes conjugaux si le football venait à s’arrêter : « Si on suspend le championnat, d’ici un mois, on ne trouvera plus assez de juges pour prononcer les divorces. »
Bon, faut aussi dire que son équipe est leader du championnat… Voilà un copain pour Jean-Michel Aulas.
FB