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Luís Figo ne comprend pas qu’on puisse fêter les 50 ans de la mort de Franco
Va-t-il enfin réunir Barcelone et Madrid ? Pas sûr.
En cette année 2025, l’Espagne est tiraillée entre le fait de célébrer, ou non, le cinquantième anniversaire du décès de Franco. Mercredi, le gouvernement du socialiste Pedro Sánchez a ouvert les commémorations de la mort du dictateur avec l’ambition de rendre « hommage » à ceux qui ont permis de transformer le royaume en une « démocratie prospère » et de « transmettre aux jeunes l’importance de vivre en démocratie ». La droite et l’extrême droite locales ont décidé de boycotter les événements officiels, preuve que le sujet reste brûlant.
Luís Figo aussi a un avis sur la question. Ce jeudi, il s’est exprimé sur X pour afficher sa position : « Quel dommage que toutes les dépenses qui vont être engagées pour la célébration d’un mort dans l’histoire de l’Espagne il y a 50 ans ne soient pas utilisées pour toutes les victimes de la DANA à Valence, afin qu’elles puissent sortir de cet enfer le plus rapidement possible. Le plus grand problème aujourd’hui, ce sont les vivants, pas les morts. » Le Portugais fait référence aux inondations survenues en octobre dernier dans la région de Valence et en Andalousie, qui ont fait au moins 225 morts.
Que pena me da que todo los gastos que se van a producir con la celebración de un muerto en la historia de España de hace 50 años, no lo utilicen para todos los damnificados de la DANA en Valencia, para que salgan lo antes posible de ese infierno. El mayor problema hoy en día…
— Luís Figo (@LuisFigo) January 9, 2025
Bon, on ne va pas demander son avis à Dani Carvajal…
EL