- So Foot n°114 en kiosques le 28 février
De Rossi et la lumière de Batistuta
La fidélité n’a jamais été un vain mot pour Daniele De Rossi. Dans le numéro 114 de So Foot à paraître le 28 février, le milieu de terrain nous parle de son amour pour la ville éternelle et son club de toujours, l’AS Rome : « Quand j’étais môme, je n’étais pas supporter de l’équipe d’Italie. C’était Rome, Rome, Rome. Quand t’es ici, tu crois que Rome est la plus grande et la seule équipe au monde. » Un coup de foudre.
C’est aussi une osmose, la sensation d’entrer dans un grande écurie avec des aînés qui l’ont fait rêver, comme Il Capitano : « Quand Francesco a commencé, il y avait beaucoup de Romains dans l’équipe. Scarchilli, Beretta, Di Biagio, Petruzzi. (…) Mais lui est resté. Il est devenu un symbole. J’avais 16-17 ans, ce qui veut dire qu’assez vite, je me suis retrouvé assis à côté de lui, dans un rapport mi-idole, mi-coéquipier. Entrer dans le vestiaire et l’entendre dire :« De Rossi, passe-moi la bouteille »,ça a été un choc. Et il y avait aussi les autres :« De Rossi, tu me donnes une pomme »,tu te retournais, et tu voyais Batistuta. C’était lui qui me faisait le plus d’effet, d’ailleurs. Quand Batistuta arrivait il y avait une lumière… Une lumière merveilleuse. »
Après avoir suivi la même trajectoire que l’ancien numéro 10 de la Nazionale, le joueur n’oublie pas de garder les pieds sur terre : « Je lis parfois des interviews de jeunes joueurs de 18 ans qui débutent en Serie A, au poste de milieu de terrain.« Qui est ton joueur préféré, qui est ton idole ? » demande le journaliste. Et il arrive que le gars réponde :« De Rossi. » Et là… Je n’ai même pas besoin que ce soit Iniesta qui le dise, en fait. » Derrière son rôle de capitaine meneur d’hommes, Daniele a aussi un cœur tendre.
Retrouvez l’intégralité de cet entretien, rendez-vous dans vos kiosques le 28 février prochain.
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