De Laurentiis, la Serie A et la corruption
Naples réalise une saison de dingue. Un jeu fluide, un stade plein à craquer, une qualification pour la prochaine Ligue des Champions possible. La ville est en ébullition. Pas autant que son sulfureux président Aurelio De Laurentiis, pour qui le championnat est faussé.
A la suite d’une -nouvelle- erreur d’arbitrage contre le Genoa, le président s’est emporté : « Nous ne nous sommes jamais assis autour d’une table pour en discuter. Chacun reste caché derrière des règles qui deviennent obsolètes. Personne n’a le courage de parler de façon objective. L’impossibilité de se parler clairement ne me semble pas être une façon sportive de procéder. Je crois en Collina… Les tifosi veulent bien croire qu’une erreur est possible et sont prêts à l’accepter mais deux, puis trois fois, non. Si les erreurs continuent, ça signifie qu’il y a quelque chose qui dénature le championnat et donc, il est inutile d’investir » .
De la corruption en Italie ? Ben voyons…