Coupe du monde : les pronos de SoFoot.com

L’Espagne : 25%Apparemment, on peut être double champion d’Europe en titre, vainqueur sortant de la Coupe du monde, être le pays qui a remporté la dernière Ligue des champions et la dernière Ligue Europa, mais ne pas être le favori de la compétition. Même pas sur le podium de la compétition selon les bookmakers, la Roja se pointe au Brésil avec un onze-type toujours aussi impressionnant et une profondeur de banc sans égal. Peut-être que personne n’a envie qu’ils gagnent, mais les vrais favoris de la compétition, ce sont eux.

Le Brésil : 20%C’est écrit : c’est leur Coupe du monde. Il faut dire que ça le fait, de gagner à la maison. Les Français en savent quelque chose. Seul bémol pour le Brésil, l’engouement national pourrait très vite devenir une pression populaire, notamment en cas de débuts loupés face à la Croatie. Impressionnant en défense où la ligne Marcelo – David Luiz – Thiago Silva – Dani Alves ne pâlit devant aucune attaque, les hommes de Scolari pourront également compter sur Neymar, qui a envie de bien faire pour son retour au bled. Surmotivés par la présence de leur public lors de la Coupe des confédérations, les Auriverde sont les autres favoris de la compétition avec l’Espagne qu’ils pourraient… croiser dès les huitièmes de finale.

L’Allemagne : 15%Le monde du football aurait aimer voir Marco Reus. Il aimera quand même l’Allemagne. Solide et complet, le onze de la Mannschaft compte l’un des grands protagonistes de la compétition en la personne de Miroslav Klose. Seul véritable neuf de la sélection allemande, le goleador est en course pour battre le record de buts de Ronaldo dans la compétition. Pour le reste, c’est du solide. L’Allemagne sera là, tout le monde le sait. Surtout les Français, déjà prêts à croiser le fer avec l’ennemi au stade des quarts de finale.

L’Argentine : 13%Gagner le Mondial chez l’ennemi juré. Tel est le fantasme que les joueurs de l’Albiceleste se voient proposer. Pour les Argentins, la thématique est la même que depuis de nombreuses saisons : c’est aussi extraordinaire devant que médiocre derrière. Avec Agüero, Lavezzi, Di Maria et évidemment Messi, les hommes de Sabella ont la capacité de faire sauter n’importe quelle défense. La Pulga, dont les performances seront évidemment scrutées, lui, Vomito, dont on dit qu’il n’arrive pas à s’imposer avec son équipe nationale.

L’Italie : 11 %L’Italie, c’est ce vieil oncle « très famille » . La santé va et vient, on le voit rarement, mais aux diners de famille, il est toujours là. La Nazionale, dans une poule comme celle-ci (Uruguay et Angleterre), c’est l’équipe qui va se qualifier avec 5 points et devenir l’adversaire que personne ne veut jouer dès les huitièmes de finale. Malgré la blessure de Montolivo, les Ritals possèdent le milieu de terrain le plus sexy de la compétition avec De Rossi, Verratti, Thiago Motta et Pirlo pour régaler la chique. Une cinquième étoile au Brésil, ce serait beau.

La France : 11%Et pourquoi pas ? Au vrai, les Bleus disposent du tableau le plus ouvert de la compétition. Une poule à priori facile – qu’ils ont souvent du mal à négocier, certes – un huitième contre le Nigéria ou la Bosnie et donc, ce quart de finale face à l’Allemagne. Equipe très homogène et capable de tout, le onze français peut sauter en huitième comme aller s’offrir une finale sur un but de la tête de Valbuena. Cette équipe revient de nulle part, alors pourquoi n’irait-elle pas droit au graal ?

La Belgique : 5%Parce qu’à chaque Mondial sa surprise, la génération dorée belge mérite de la considération. Hazard, Witsel, Kompany, Mertens, De Bruyne et d’autres encore, les Diables Rouges vont piquer quelques équipes à coups de cornes. Reste à savoir à quel niveau de la compétition ils payeront leur manque d’expérience. S’ils le payent, hein.

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