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Bianchi rouge-colère

Bianchi rouge-colère

Ca craint sérieusement pour Rolando Bianchi. Recruté pour environ 12 à 13 millions d’euros cet été, l’Italien n’entre toujours pas dans les plans de Sven Goran Eriksson à Manchester City.

Une disgrâce encore illustrée samedi. Devant se passer de Mpenza à la pointe de l’attaque pour jouer à Chelsea, le Suédois à lunettes a préféré faire appel au talent de vendangeur du Grec Samaras. « Je n’ai pas l’habitude d’être laissé sur le banc. Je laisse jusqu’en décembre pour que les choses changent. Je n’aime pas jouer cinq ou dix minutes d’un match » .

Une situation indigne de ses 18 buts l’an passé en Série A. Mais n’est pas Gianfranco Zola n’importe quel Italien en Angleterre qui veut.

PM

Frédéric Villeroux, le Messi du Cécifoot

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