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Benjamin Pavard : « Je sais que je ne peux pas plaire à tout le monde »
La frappe de bâtard, les critiques, les hauts, les bas, le zouk, l’Euro ou encore la passion sandwich au salami de Niklas Süle : dans le numéro 193 de SO FOOT, en kiosques depuis jeudi, Benjamin Pavard fait le bilan des 25 premières années de sa vie chez lui, dans le Nord. Le latéral des Bleus évoque notamment les difficultés rencontrées lors du dernier championnat d’Europe : « Je sais que je n’ai pas fait un bon Euro. J’ai traîné un choc reçu à la tête, je n’ai rien voulu dire… Je me suis donné à fond. Le problème a plus été collectif qu’uniquement centré sur moi, mais je ne peux pas empêcher les gens d’avoir une opinion. Je sais que je ne peux pas plaire à tout le monde. Même les meilleurs joueurs du monde ne font pas l’unanimité, donc je me concentre sur moi, mes performances… Je suis sûr de mes qualités, mais on ne peut pas être toujours bon. Si c’était le cas, ce serait magnifique, mais encore une fois, on reste des êtres humains. »
Le défenseur du Bayern assume aussi son rôle d’ambianceur… particulier. « Quand je me sens bien avec les gens, je blague, sourit-il. Je mets l’ambiance, des musiques des années 1980. Sinon, ils ont du rap toute la journée. Quand je suis avec Olive et Hugo, on ne met que de la variété. Je tiens ça de mes parents qui écoutent RFM. »
Cookie Dingler dans les oreilles pour Benjamin.
SF