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Antonio Valencia et son « willy »
Il y a quelque temps déjà, Antonio Valencia s’était « amourachée » via Twitter d’une étudiante le félicitant de son titre de champion de Premier League.
Les tabloïds anglais viennent de sortir une nouvelle embarrassante pour l’Équatorien mancunien à un seul crochet. Katy Laham, esthéticienne de son état, sans doute pas mécontente de faire un beau billet sur le coup, raconte dans les colonnes d’un Sun tout ouïe le harcèlement par textos de Valencia. Et l’Équatorien est plutôt du genre direct, avec une technique en deux temps : « La première fois qu’il m’a envoyé un message, il m’a dit « Hay amor ». Il disait que j’étais belle et que je devais lui envoyer des photos de moi » commence Katy Laham. Puis Antonio décide de passer à la vitesse supérieure, toujours selon les dires de cette esthéticienne : « C’est devenu clair à un moment donné, qu’il voulait des photos de mes parties intimes. Et lui avait pris l’habitude de m’envoyer « Hay amor », suivi d’une photo de son « willy » (le sexe masculin, en argot mignon anglais, ndlr). » Après de multiples relances de ce goût et malgré la promesse de lui payer l’avion et l’hôtel à Manchester, cette chère Katy, encore intriguée, découvre surtout que « willy » était déjà engagé avec une dame, avec qui Antonio a eu un enfant.
Et Kate, qui se dit « scandalisé » , a donc préféré tout déballer. Et de finir par préciser : « Tous ses messages étaient en espagnol parce qu’en dépit du fait qu’il vive en Angleterre depuis huit ans, son anglais est nul. »
AR