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« À Trappes, ça a eu un impact considérable », Jamel Debbouze revient sur les débuts de Nicolas Anelka
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Cette fois, il ne blague pas.
À l’affiche de Mercato, en salles le 19 février prochain, Jamel Debbouze s’est confié – entre autres – sur son rapport au foot dans les colonnes de SOCIETY, disponible en kiosque dès ce jeudi. L’acteur français est notamment à l’origine du transfert de Nicolas Anelka du Real Madrid au Paris Saint-Germain à l’été 2000 en ayant fait le forcing pour que Pierre Lescure recrute l’attaquant déjà passé au club après sa formation à l’INF Clairefontaine.
« Avec Anelka, on se connaît du quartier, on a grandi ensemble. Moi, je suis arrivé à Trappes à 8 ans, il devait en avoir 4. Il s’entraînait avec son frère Didier, qui le chronométrait. À 14 ans, il faisait déjà onze secondes au 100 mètres. Il était prodigieux. Je me souviens d’un tournoi international où il finit meilleur buteur, t’avais tous les entraîneurs autour de lui qui voulaient lui parler, le toucher », s’est souvenu le comédien avec émotion.
Gros feu d'artifice cette semaine pour le numéro 248 ! Et encore, vous n'avez rien, on revient demain avec une annonce fracassante. pic.twitter.com/ZR7ystSIKU
— Society Magazine (@SocietyOfficiel) January 29, 2025
La locomotive Anelka
Tous deux originaires des Yvelines, ils ont conquis la France dans leur domaine respectif, mais si Jamel a fait rire le pays dans H ou Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, c’est notamment grâce à l’exemple que donnait Anelka sur les terrains. « À Trappes, une énergie est passée, on s’est tous chauffés… Je te jure, moi, ça m’a grisé, mais je ne suis pas le seul, j’en ai parlé avec Omar (Sy, NDLR), avec La Fouine, ça a eu un impact considérable aussi sur eux de voir Nicolas percer. »
L’occasion aussi pour lui de s’expliquer : oui, il sait bien prononcer le nom de Zinédine Zidane.
SF